Noah et Jude sont plus que frère et soeur, ils sont jumeaux, fusionnels. Sous le ciel bleu de Californie, Noah, le solitaire, dessine constamment et tombe amoureux de Brian, le garçon magnétique qui habite à côté. Tandis que Jude, l’exubérante, la casse-cou, est passionnée par la sculpture. Mais aujourd'hui ils ont 16 ans et ne se parlent plus. Un événement dramatique les a anéantis et leurs chemins se sont séparés. Jusqu'à ce que Jude rencontre un beau garçon écorché et insaisissable, ainsi que son mentor, un célèbre sculpteur...Chacun des deux jumeaux doit retrouver la moitié de vérité qui lui manque.Un livre superbe, lumineux, bouleversant, où s'entremêlent, comme dans la vie, la tristesse et la joie, et qui déborde de romantisme et de passion.Jandy Nelson sait faire rire, faire pleurer, et faire rire et pleurer.Prix littéraire jeunes adultes le plus préstigieux des USA : Le printz Medal.

Le soleil est pour toi

'Je suis censée pleurer la mort de ma sour, pas tomber amoureuse..." 

Comment Lennie peut-elle continuer à vivre après une telle tragédie ? A-t-elle encore le droit de plaire et de désirer ? D'être heureuse, de rire ? 

Parfois, il faut tout perdre pour se trouver...

Le ciel est partout

"Je suis censée pleurer la mort de ma soeur, pas tomber amoureuse..." Comment Lennie peut-elle continuer à vivre après une telle tragédie ? A-t-elle encore le droit de plaire et de désirer ? D'être heureuse, de rire ? Parfois, il faut tout perdre pour se trouver.... Un hymne à l'amour, à la vie, à la musique, à la nature et à l'écriture.

Un amour brûlant, une perte dévastatrice, Lennie lutte pour trouver sa propre mélodie. Alors que Bailey, sa soeur, sa meilleure amie, vient de mourir, comment continuer ? A-t-elle le droit de plaire, elle aussi ? De désirer Toby? D'être heureuse sans Bailey ? Et comment ose-t-elle rire encore ? Parfois, il faut tout perdre pour se trouver...

C'est un effort tellement colossal de ne pas être hanté par ce qui est perdu, mais d'être enchanté par ce qui était.

La vie est un gâchis effrayant… il n'y a pas une seule vérité, juste un tas d'histoires, tout en se passe en même temps, dans nos têtes, dans nos cœurs, tous entravés les uns des autres. C’est tout un beau gâchis calamitaire.

C'est ce que je veux: je veux saisir la main de mon frère et courir dans le temps, perdre des années comme des manteaux tombant de nos épaules.

C'est une fille de plage ensoleillée qui va gothgrungunkhippierockerememememetalfreakfashionistabraingeekboycrazyhiphoprastagirl pour le garder sous les wraps.

L'architecture de la pensée de ma sœur, maintenant Phantom. Je tombe dans les escaliers qui ne sont que de l'air.

Pour la première fois dans nos vies, je suis quelque part qu'elle ne trouve pas, et je n'ai pas la carte pour lui donner qui m'entraîne.

Le. Monde. Est. Pas. Un coffre-fort. Lieu.

Je pourrais sortir de cette triste vie comme si c'était une vieille robe désolée.

Je me demande pourquoi les gens endeuillés se soucient même de vêtements de deuil lorsque le chagrin lui-même fournit une garde-robe si indubitable.

J'étais en fait né à New York et j'ai passé une partie de mon enfance à Boston. Mais ma famille a déménagé à San Diego quand j'avais 12 ans et je suis allé au lycée ici.

Nous souhaitons avec nos mains, c'est ce que nous faisons en tant qu'artistes.

Comment le mot aime-t-il, le mot vie, même dans la bouche?

Prenez une (deuxième ou troisième ou quatrième) chance. Refaire le monde.

Et puis il sourit, et dans tous les endroits du monde entier où c'est la nuit, les pauses jour.

Le chagrin est une maison où les chaises ont oublié comment nous tenir les miroirs comment nous refléter les murs comment nous contenir le chagrin est une maison qui disparaît chaque fois que quelqu'un frappe à la porte ou sonne la cloche une maison qui souffle en l'air La moindre rafale qui s'enfoure profondément dans le sol pendant que tout le monde dort le chagrin est une maison où non peut vous protéger où la sœur cadette vieillira que la plus âgée où les portes ne vous laissent plus entrer ou sortir

Je me sens soudain exclu d'un avenir qui ne se produira même pas.

Peut-être qu'une personne est juste composée de beaucoup de gens, dis-je. Peut-être que nous accumulons ces nouveaux moi tout le temps.

D'après tous les experts, il est temps pour moi de parler de ce que je traverse... Je ne peux pas. J'aurais besoin d'un nouvel alphabet, celui de la chute, des plaques tectoniques qui se déplacent, de l'obscurité dévorante profonde.

Chaque fois que quelqu'un décède, une bibliothèque brûle.

Quand il joue toutes les fleurs, échangez des couleurs et des années et des décennies et des siècles de pluie se retourner dans le ciel

Le chagrin est une maison qui disparaît chaque fois que quelqu'un frappe à la porte ou sonne la cloche une maison qui souffle en l'air à la moindre rafale qui s'enfoure au fond du sol pendant que tout le monde dort

Il y a des années, j'ai été écrasé dans le jardin de Gram et Big m'a demandé ce que je faisais. Je lui ai dit que je regardais le ciel. Il a dit: «C'est une idée fausse, Lennie, le ciel est partout, ça commence à vos pieds.

Pour moi, il n'y a rien de mieux que de s'immerger dans une saga familiale tentaculaire, épique et multigénérationnelle, et `` cent ans de solitude '' de Gabriel Garcia Marquez est la plus tentaculaire, épique et multi-générationnelle de toutes.

C'est comme si quelqu'un aspirait l'horizon pendant que nous regardions dans l'autre sens.

Toutes ses connaissances ont disparu maintenant. Tout ce qu'elle a appris, entendu ou vu. Sa façon particulière de regarder Hamlet ou les marguerites ou de penser à l'amour, toutes ses pensées intimes complexes, ses rêveries secrètes sans conséquence - elles ont disparu aussi. J'ai entendu cette expression une fois : chaque fois que quelqu'un meurt, une bibliothèque brûle. Je le regarde brûler jusqu'au sol.

Mais que se passe-t-il si la musique est ce qui s'échappe quand un cœur se brise?

Quelqu'un pourrait aussi bien enrouler le ciel entier, emballer pour de bon.

Parfois, vous pensez que vous savez des choses, que vous connaissez les choses très profondément, seulement pour réaliser que vous ne savez rien.

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