Comment vit-on avec un génie ? A quoi ressemble l'existence aux côtés de «l'héritier d'Einstein» ? Pendant 25 ans, Jane Hawking a partagé le quotidien de Stephen, avec ses bonheurs et ses difficultés. Ils se rencontrent à Oxford alors que Stephen est encore étudiant, déjà gravement malade. Très vite, ils décident de se marier. Jane évolue alors totalement dans l'ombre de son mari, à peine tolérée par les autres scientifiques. Elle oublie sa carrière et se consacre entièrement à Stephen, avec qui elle aura trois enfants. Dans ce livre, Jane retrace la lutte désespérée d'un esprit de génie dans un corps malade, l'échec de leur mariage et la transformation de leur amour initial en une immense et profonde amitié. Finalement, une magnifique histoire de vie.

Une Merveilleuse Histoire du Temps: Ma Vie avec Stephen Hawking

Comment vit-on avec un genie ? A quoi ressemble l'existence aux cotes de l'heritier d'Einstein Pendant 25 ans, Jane Hawking a partage le quotidien de Stephen, avec ses bonheurs, ses peines et ses difficultes. Ils se sont rencontres a Oxford alors que Stephen est encore etudiant et deja gravement malade. Tres vite, ils decident de se marier. Jane evolue alors totalement dans l'ombre de son mari, a peine toleree par les autres scientifiques. Elle oublie sa carriere et se consacre entierement a Stephen, avec qui elle aura trois enfants. Dans ce livre, Jane retrace la lutte desesperee d'un esprit de genie dans un corps malade, l'echec de leur mariage et la transformation de leur amour initial en une immense et profonde amitie. Finalement, une magnifique histoire de vie. Le livre qui a inspire le film Une merveilleuse histoire du temps."

Jane Hawking a vécu pendant 25 ans avec un homme dont les scientifiques disent qu'il est l'héritier d'Einstein. Dans ce livre de souvenirs, Jane, sa première femme, raconte de l'intérieur la vie avec un tel génie. Elle voit la maladie de son mari qui progresse et le handicape de plus en plus durement. L'espérance de vie de Stephen est alors de deux ans. Mais 25 années de vie commune vont suivre, elle aura trois enfants. Jane raconte la lutte désespérée d'un esprit de génie dans un corps délabré, l'échec de leur mariage et la transformation de leur amour en une immense et profonde amitié.

Vers l'infini ; ma vie avec Stephen Hawking

J'aime rester en forme, et quand je ne jardiquais pas ou ne chante pas en solo ou dans une chorale, je fais du vélo, je joue du tennis, de la natation, de la danse et de la pratique du yoga.

Alors que la renommée de Stephen commençait à décoller de manière importante, et parce qu'il était tellement immergé dans la physique, il devenait de plus en plus difficile de communiquer avec lui.

Après le succès du livre de Stephen, une toute nouvelle foule de personnes s'est intéressée à lui et la famille a été poussée dans un coin.

La tension entre la position athée de Stephen et ma foi a toujours existé, mais aucun de nous n'a essayé de convertir l'autre. Je ne suis pas évangélique.

En chantant, j'ai rencontré mon deuxième mari, Jonathan, qui est un musicien professionnel. Il a transformé nos vies et m'a soulagé d'une grande partie de la tension que je portais depuis si longtemps.

Je devais être ferme dans mes croyances chrétiennes, en leur cherchant de force.

J'ai fait la première relecture de «une brève histoire du temps», et quand il s'agit d'écrire mes mémoires, j'ai consulté de nombreux amis scientifiques afin que, contrairement à ce que de nombreux critiques supposaient et étaient assez grossiers pour exprimer, j'ai réellement écrit le scientifique sections moi-même.

La conviction de Stephen était que si vous étiez libre de faire votre meilleur travail absolu, vous seriez récompensé. Ma conviction était que si vous vous donniez tous à ce que vous croyiez bien, alors ce serait suffisant.

Bien sûr, je ne pense pas que tout le passé disparaisse. Le fait est que, avec moi et Stephen, pendant de nombreuses années, j'ai mis chaque cuillère de nourriture dans sa bouche, je l'ai habillé et je l'ai baigné. Vous n'oubliez pas cette expérience.

Je suis né à Norwich, que je considère toujours comme la plus belle ville du monde, malgré les tentatives de la Luftwaffe pour la détruire pendant la Seconde Guerre mondiale.

Lorsque Stephen a été diagnostiqué pour la première fois, nous ne sortons pas réellement ensemble, mais je tombais déjà amoureux de lui. Il avait de beaux yeux et ce sens de l'humour incroyable, donc nous riions toujours.

Je me sentais très attaché à Stephen et je ne pensais pas qu'il pouvait gérer sans moi. Je voulais qu'il continue à faire son travail incroyable, et je voulais que les enfants aient une famille stable derrière eux - alors nous avons juste continué.

Je sentais que c'était terriblement important, pour Stephen et les enfants, de garder la famille ensemble.

J'ai senti que Stephen était devenu une figure si importante, un scientifique d'une telle renommée internationale, qu'à une date future, quelqu'un serait sûr de tenter une biographie inexacte et sensationnelle, peut-être m'incluant, peut-être m'écrivant du script.

Vivant ici à Cambridge, vous deviez avoir une identité. Ce n'était pas suffisant pour être une femme. J'ai donc fait un doctorat. dans la poésie espagnole médiévale.

Dans un sens, je réalise ce que j'ai décidé de faire - pour me consacrer à Stephen, pour lui donner la chance de réaliser son génie. Mais qu'est-ce que je suis devenu dans le processus? Qui suis je? Que reste-t-il de moi? Je commence à douter de ma propre identité.

Notre mariage a été un grand succès. Stephen a réalisé ce qu'il voulait réaliser, nous avons continué pendant très longtemps et nous avons eu trois merveilleux enfants ensemble.

Nous nous sommes rencontrés dans notre ville natale de St. Albans alors que je venais de quitter l'école et Stephen commençait son doctorat. Études à Cambridge.

Au début de notre mariage, Stephen pouvait se promener dans Cambridge sur mon bras - un bâton d'une main, s'appuyant sur moi avec l'autre. J'ai porté un bébé sur un bras et Stephen sur l'autre.

Nous regardions le ciel nocturne ensemble, et bien que Stephen ne soit pas vraiment très bon pour détecter les constellations, il me parlait de l'univers en expansion et de la possibilité de se contracter à nouveau et de décrire une étoile s'effondrer sur elle-même pour former un noir Trou d'une manière assez facile à comprendre.

J'ai toujours été extrêmement déterminé, mais j'étais aussi assez timide.

Bien que linguiste, j'ai toujours été intéressé et fasciné par les explications de Stephen sur son travail et fier de ses découvertes et de ses réalisations.

Je ne pouvais pas partir et quitter Stephen. Des charbons de feu auraient été entassés sur ma tête si je l'avais fait.

Le soignant de la personne handicapée est toujours en arrière-plan. Les gens ne veulent pas entendre parler du Sleaze et du Nitty-Gritty et des difficultés.

J'avais à peine rencontré Stephen, puis un samedi, j'ai rencontré de vieux amis pour un café, et ils disaient: "Mon Dieu, c'est terrible avec Stephen, non?" Ils m'ont dit qu'il avait été à l'hôpital de St. Bartholomew à Londres à des tests horribles et avait ensuite été diagnostiqué avec une forme atypique d'une maladie rare - une maladie des motoneurones.

Stephen est le grand survivant, n'est-ce pas? Il continue encore et encore.

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