Janet Mock est une écrivaine, présentatrice de télévision, productrice, scénariste, réalisatrice et activiste pour les droits des personnes transgenres américaine, née le 10 mars 1983 à Honolulu.
Elle est l'autrice du best-seller Redefining Realness, rédactrice pour Marie Claire, et ancienne membre de l'équipe éditoriale du site web du magazine People,,,,,.

Nous devons avoir l'audace pour augmenter la fréquence de nos vérités.

Un incontournable de ma trousse de maquillage est le fond de teint True Color Skin Perfecting Stick de Black Opal, qui offre une gamme de couleurs avec de nombreuses nuances.

Je n'ai rien à expliquer aux femmes trans. Les femmes trans savent exactement ce qui se passe.

Je suis une fille de l'île, donc j'aime la peau super bronzy!

Les gens trans, en particulier de la couleur, ne devraient pas être obligés d'aider les gens de CIS à rattraper nos expériences. L'effort peut nuire à notre travail pour nous protéger et nous libérer.

Dire que j'aimais l'école serait un euphémisme. C'était mon oasis, mon sanctuaire.

Mes parents se sont séparés avant mon cinquième anniversaire, et j'ai déménagé avec maman et mes trois frères et sœurs à son Oahu natal.

Hawaï faisait tellement partie intégrante de mon voyage. J'étais juste là au bon moment.

Une comédie musicale qui m'a profondément influencé - et continue de le faire - est le téléfilm ABC 1997 de Rodgers et `` Cendrillon '' de Hammerstein, avec Brandy, avec Whitney Houston comme la marraine de fées et Whoopi Goldberg comme maman du prince.

Nous devons nous organiser. Nous devons constituer des coalitions de toutes ces personnes qui sont considérées comme «l'autre». Si nous nous regroupions tous et construisions des coalitions vraiment intersectionnelles, nous serions au pouvoir. Je crois au pouvoir du peuple.

C'est formidable de s'engager avec les médias grand public pour diffuser des messages, mais l'outil le plus stimulant est de créer des enregistrements de nos vies, et de nos propres images, qui ne sont pas filtrées à travers des jugements, des biais ou des malentendus.

Le soir, j'utilise une huile nettoyante - l'huile de coco fonctionne également - pour éliminer le maquillage.

Je me sens souvent échoué par le féminisme.

Nous faisons tous partie d'un plus grand collectif qui cherche à créer un monde plus beau et plus juste.

J'ai passé ma vie à naviguer sur des systèmes construits sur moi - un enfant noir en Amérique - ne pas le faire.

Pour beaucoup, les cheveux ne sont que des cheveux. C'est quelque chose que vous cultivez, formez, adaptez, ornez et coupez. Mais mes cheveux ont toujours été bien plus que ce qui est sur ma tête. C'est un marqueur de la libre que je me sentais dans mon corps, à quel point j'étais à l'aise avec moi-même et à quel point je devais contrôler mon corps et m'exprimer avec.

Je savais très tôt que je n'étais pas jolie. Personne ne m'a jamais appelé jolie. Ce ne sont pas les adjectifs incontournables que les gens me décrivent.

Internet m'a présenté certains de mes amis les plus proches.

Comme beaucoup d'adolescents, j'ai lutté avec mon corps et mon apparence, mais mon désespoir a été amplifié par les attentes de la cisnormativité et du genre binaire ainsi que des normes de beauté incroyablement élevées que moi et mes pairs féminines, m'ont mesuré.

Je veux - non, j'ai besoin - de voir des images de filles noires et de femmes twerking, tuer et amortir, tout comme j'ai besoin de voir Symone Sanders se baisser la tête et la représentante Maxine Waters récupérant son temps.

Si nous voulons éclairer les gens ou leur donner de nouvelles pensées et idées, nous devons être prêts à faire le travail de les éduquer.

La "beauté" est le plus souvent synonyme de minceur, de blancheur, de capacité physique et de cisité, et plus vous vous rapprochez de ces idéaux, plus vous serez étiquetée comme jolie - et bénéficierez de cette beauté.

Nous avons besoin d'espace pour discuter de vérités sombres tacites et inconfortables.

En tant que militant qui utilise la narration pour lutter contre la stigmatisation, j'ai toujours été catégorique que nous racontons nos propres histoires.

Une fois, quand j'avais 5 ans, une petite fille qui vivait à côté de ma grand-mère m'a osé mettre un muumuu et courir sur un parking à proximité. Alors je l'ai fait. Je l'ai jeté, je l'ai parcouru dans une main et j'ai couru comme un enfer. C'était incroyable d'être dans une robe. Mais soudain, ma grand-mère est apparue, un regard d'horreur sur son visage.

Mon premier livre portait sur le grappin avec mon identité et la transition médicale et sociale en tant que jeune. À ce moment-là, il n'avait pas encore été raconté. Il n'y avait pas de mémoire trans qui a été écrit du point de vue d'un jeune qui a transféré.

Cette idée omniprésente que les femmes trans méritent la violence doivent être abolies. C’est une pratique socialement sanctionnée de blâmer la victime. Nous devons commencer à blâmer notre culture, qui stigmatise, rabote et dépouille les femmes trans de leur humanité.

Je ne poursuis pas les tendances de la beauté.

Les femmes trans de couleur tombent dangereusement entre les fissures de la justice raciale, des mouvements féministes et LGBT.

J'adore briller, briller, donc avec ma routine de soin et de maquillage, je gravite vers des produits qui m'aident à réaliser ce look rosé et rosé.

Ses oeuvres