C'est sous l'impulsion de deux passionnés de leur terre et de leur région que ce livre est né. Il témoigne de l'action humaine positive et de la relation entre activité et montagne, il nous dévoile également une faune et une flore souvent ignorées et pourtant emblématiques du Mont Aigoual. « L'homme a son rôle et sa place dans la nature et le massif de l'Aigoual nous démontre que les activités humaines peuvent enrichir le milieu naturel et participer au développement de la biodiversité... »  L'objectif de l'auteur Nicolas Pagès et du photographe Jean-Louis Aubert pourrait paraître ambitieux : démontrer la relation homme/habitat/faune et flore et prouver que certaines activités sont indissociables de l'Aigoual. C'est un pari réussi grâce cet ouvrage où se mêlent textes, informations insolites et photographies.

L'Aigoual, la nature et les hommes

"texte dAvec cet ouvrage, Jean-Louis Aubert conjugue deux de ses passions : la tauromachie et la photo. Il a publié de nombreux livres illustrant les Cévennes, les Causses, la Camargue ou encore les Arlésiennes, il retrace ici par le texte et les images des années passées dans le callejon à admirer et à trembler auprès des toreros. 
« Souvenirs de callejon » met très justement en lumière les toreros dans leur quotidien fait de triomphes, d'échecs, de doutes et de courage. Un vibrant hommage que les aficionados comme les non-initiés apprécieront... 
Escriptif de l'oeuvre"

Souvenirs de callejon

Une merveilleuse plongée dans les Cévennes avec trois thèmes emblématiques qui à eux seuls, symbolisent l'âme d'une passionnante région. Ce livre, où s'entremêlent habilement textes et photographies, témoigne d'un passé intimement lié au travail d'une terre difficile à dompter et démontre que tout est possible lorsque la force et l'ingéniosité sont bien conjuguées.

Avec ce livre, le photographe Jean-Louis Aubert rend un vibrant hommage aux Cévennes qui l'ont vu naître et qu'il aime tant. Après l'enseignement qu'il délaisse pour gérer un centre équestre, il peut se consacrer à sa passion de toujours : la photographie. Les images des Cévennes et de la Camargue avec son univers tauromachique lui tiennent particulièrement à coeur.

Chroniques des Cévennes

La correspondance littéraire de Karlsruhe a été adressée pratiquement sans interruption de 1757 à 1783 à la Markgräfin Karoline Luise von Baden-Durlach. Seule la mort de la destinataire y a mis fin. Le manuscrit, presque intégralement conservé, contient plus de 600 lettres. Il constitue une partie de l'importante collection des écrits de la margrave conservée actuellement dans le "Grossherzogliches Familienarchiv des Badischen Generallandesarchivs" à Karlsruhe. Le contour de cette correspondance a été fixé dès le début de l'abonnement. Conformément aux désirs de la destinataire, elle offre un vaste panorama de la vie culturelle et de la société parisiennes. Chaque envoi contient des nouvelles sur les dernières parutions, sur le théâtre, ainsi que, dans une moindre proportion, sur des événements du moment, politiques et sociaux, et il se clôt, selon une règle non écrite, mais observée par tous les écrits de ce type, par des pièces en vers, relevant du genre de la poésie fugitive. Quatre correspondants se sont succédé pour assurer la continuité sans faille de cette chronique de la vie parisienne : Pierre de Morand, Antoine Maillet-Duclairon, Pougin de Saint-Aubin et l'abbé Jean-Louis Aubert.

Correspondance littéraire de Karlsruhe - Tome 4 (1er janvier 1769 - 31 décembre 1771)

Aubert chante Houellebecq - Les parages du vide

Les Cévennes sont une merveilleuse mosaïque de paysages, vastes étendues herbeuses des causses calcaires parsemées de hameaux perdus, moutonnements couverts de landes des massifs granitiques avec leurs villages massifs, forêts s'accrochant aux pentes des vallées, terrasses cultivées et fermes suspendues. Aujourd'hui protégées par des parcs naturels, zone de réintroduction d'espèces menacées, en partie classée " réserve de biosphère ", rêvant d'une inscription au patrimoine mondial de l'humanité, laboratoire d'écotourisme, les Cévennes sont un milieu vivant où les hommes s'efforcent de conserver leur patrimoine, maintenir les traditions séculaires et mettre en valeur les productions locales. Un espace immense et immuable, rude et émouvant à la fois. Cet ouvrage lui rend hommage et nous invite à le parcourir, en texte et photographies d'auteurs.

Cévennes

Cévennes, de la mer à la lune

Correspondance littéraire de Karlsruhe - Tome 3 (12 juillet 1766 - 15 decembre 1768)

Jean-Louis Aubert, né le 12 avril 1955 à Nantua (Ain), est un auteur-compositeur-interprète, chanteur, guitariste et producteur français, artiste de rock avec le groupe Téléphone, puis en solo et dès 2015 en tournée avec le groupe Les Insus ?, groupe composé des membres de Téléphone sans la bassiste Corine Marienneau.

Quand je suis né, j'ai crié ; ébloui par la lumière j'ai crié. Chassé du ventre de ma mère, pour le meilleur ou pour l'enfer.

Tout en haut de la grande montée... y'a une autre vallée. Tout au bout, tout au bout de la vie, y'a encore de la vie.

De monde meilleur on ne parle plus. Tout juste sauver celui là celui là.

Argent, trop cher,
Trop grand.
La vie n'a pas de prix.

Rien n'arrête un vent qui souffle, un esprit.

La vie n'est qu'une journée et la mort qu'une nuit.

Oui, je sais que le monde a des dents
Comme nous, le monde se défend.

Oui, je sais que le monde a des dentsComme nous, le monde se défend.

L'avenir est liquide Le passé est solide. Le chagrin est une carpe Le bonheur une anguille.

Même noyé dans le vague
Essayer d'être honnête.

Pourquoi toujours attendre ? Et plus j'attends, plus je sens le poids du temps. Plus j'attends, plus je me sens condamné, condamné à attendre.

Comme ça à se regarder
Chacun de chaque côté
On a l'air de mérous
Coincés dans l'aquarium.

Argent, trop cher, trop grand. La vie n'a pas de prix.

Oui, je sais que le monde a des dents Comme nous, le monde se défend.

De monde meilleur on ne parle plus.
Tout juste sauver celui là celui là.

Si tu laisses quelqu'un Prendre en main ton destinC'est la fin.

On joue sa vie comme on joue au flipperOn gagne, on perds, et toujours on espèrePouvoir s'en refaire une petiteGratuite, gratuite.

La vie est un long je t'aime Que l'on doit écrire soi-même.

Ta prison est en toi.
Le poison est en toi.

Tout en haut de la grande montée...
Y'a une autre vallée.
Tout au bout, tout au bout de la vie
Y'a encore de la vie.

Au nom de qui, au nom de quoi Verser le sang d'un innocent. Au nom de qui, au nom de quoi Vouloir du mal à un enfant.

La vie est un long je t'aime
Que l'on doit écrire soi-même.

Au nom de qui, au nom de quoi
Verser le sang d'un innocent.
Au nom de qui, au nom de quoi
Vouloir du mal à un enfant.

Je rêvais d'un autre monde
Où la terre serait ronde,
Où la lune serait blonde,
Et la vie serait féconde.

Je rêvais d'un autre monde où la terre serait ronde, où la lune serait blonde, et la vie serait féconde.

Même noyé dans le vague Essayer d'être honnête.

Les trous noirs sont si troublants, pas de racisme dans l'espace.

De monde meilleur on ne parle plus. Tout juste sauver celui là.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Louis_Aubert

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