Il a tout: le pouvoir, le charisme, une épouse dévouée, de beaux enfants et un destin hors du commun. Et pourtant, pas un jour ne passe sans que le Président souffre de sa santé fragile et de ses pulsions. Plus efficace que les corticoïdes et les amphétamines, le sexe devient le remède à ses maux. Tout y passe: stars d'Hollywood, secrétaires, admiratrices - il en va de sa santé et de celle du pays.

La vie sexuelle d'un Américain sans reproche

Impudique, lancinant, hypnotique, impossible à lâcher, un roman d’une totale originalité qui donne à voir ce qui aurait dû rester caché.« Le sujet est un citoyen américain investi d’une haute fonction élective, marié et jeune père, aux yeux de qui la monogamie est rarement le principe moteur de la vie des grands hommes. »Imaginez un américain de trente-six ans, héritier d’une grande famille d’origine irlandaise. Un vétéran de la guerre de Corée. Un politicien idéaliste, brillant, flamboyant, symbole d’une Amérique jeune et pleine d’espoir, où tous les rêves étaient possibles. Un homme d’État qui avait le monde à ses pieds. Un mari aimant et père dévoué de ses deux enfants : John Fitzgerald Kennedy, le 35eprésident des États-Unis, un mythe toujours d’actualité.Imaginez maintenant un patient atteint de la maladie d’Addison, obligé de porter un corset pour soulager son dos, gavé d’anti-douleurs, de somnifères, d’amphétamines. Mais aussi, et surtout, un infatigable séducteur qui, poussé par d’irrésistibles pulsions sexuelles, mettait dans son lit starlettes, stagiaires, prostituées, femmes mariées, actrices, groupies, journalistes, et même la plus grande des stars. Un homme blessé qui souffrait de terribles migraines s’il ne faisait pas l’amour au moins tous les trois jours et ne pouvait trouver l’apaisement que dans une sexualité débridée. John Fitzgerald Kennedy ou la vie sexuelle d’un Américain d’exception.

Impudique, lancinant, hypnotique, impossible à lâcher, un roman d'une totale originalité, qui donne à voir ce qui aurait dû rester caché. Rongé par la maladie, gavé de somnifères, d'amphétamines, d'antidouleurs, serial séducteur que seule la satisfaction de ses irrépressibles pulsions sexuelles peut apaiser, voici John Fitzgerald Kennedy, 35e président des États-Unis. Tout au long d'un hallucinant voyage au coeur du pouvoir, Jed Mercurio révèle les ambiguïtés de la First Lady, l'entourage complaisant, la cohorte des docteurs Feelgood, les fausses amitiés, le linge sale du gotha hollywoodien, les enquêtes de la CIA, les dessous de la crise de Cuba... Déconstruction d'un mythe et naissance d'un homme au courage parfois surhumain, La Vie sexuelle d'un Américain sans reproche ou quand la fiction dépasse de loin une réalité trop parfaite...

La vie sexuelle d'un américain sans reproche

Gerald Gary " Jed " Mercurio (né en septembre 1966) est un écrivain, producteur, réalisateur et scénariste pour la télévision britannique. 
Ancien médecin hospitalier et officier de la Royal Air Force, il figure parmi les écrivains de premier plan de la télévision britannique,.
En 2017, Mercurio a reçu une bourse de la Royal Television Society et la médaille Baird de RTS Midlands.

L'avantage que vous obtenez de quelque chose qui a été en ondes depuis un certain temps est que les gens apprennent davantage aux personnages, et ils peuvent être plus investis dans le monde.

Les effets spéciaux deviennent de plus en plus abordables et ressemblent de plus en plus à la vraie chose.

L'une des choses que j'ai apprises sur le drame médical «Bodies» était que les acteurs ne peuvent pas jouer l'ambiguïté.

"Line Of Duty" est avant tout un thriller. Mais j'espère qu'il sera également perçu comme un commentaire révisionniste sur le maintien de l'ordre au XXIe siècle.

Il est toujours utile de savoir que les gens sont investis émotionnellement dans une série car cela signifie que vous pouvez les empêcher sur une certaine route, et ils devraient être intéressés.

Adolescent, j'ai lu beaucoup de science-fiction, mais j'ai lu «Catch-22» et «The Catcher in the Rye» et j'ai commencé à lire plus de fiction littéraire.

Si vous êtes un écrivain dramatique, vous devez évidemment dire la vérité; Il n'y a aucun élément de fiction dans le tout.

Je pense que le grand public comprend que ses propres médecins sont humains, faillibles et défectueux.

Je m'intéresse aux institutions, en particulier dans la façon dont les institutions concluent les rangs. Ils ont des hiérarchies et leur propre éthique.

Les choses que j'ai découvertes lors de la rédaction de «ligne de service» étaient les outils dont vous disposez pour écrire un thriller.

Je pense qu'une fois que vous avez fait l'inattendu et que vous emmenez les téléspectateurs à une position d'inconfort de pouvoir compter sur des personnages survivant, cela affecte complètement la façon dont le drame est vu.

Entre les âges de 12 et 15 ans, je voulais être pilote parce que je pensais que ce serait glamour et dangereux.

J'essaie toujours de faire la distinction entre les faits et les opinions.

Il y a des écrivains qui n'écrivent pas sur les gens qui font des emplois. Je ne vais pas les nommer, mais vous regardez un de leurs films, ou vous lisez un de leurs livres, et vous pensez: «Quel travail font-ils? Ils semblent avoir une belle maison et un bon revenu. Comment l'ont-ils?

Dans le lieu de travail moderne, le sexisme a adopté une personnalité plus subtile; Par conséquent, les gens peuvent être accusés de sexisme où il est beaucoup plus difficile de déterminer s'ils commettent réellement du sexisme ou de la pensée de manière sexiste.

Avec «un arrêt cardiaque», je voulais montrer qu'il y avait des moments où les médecins s'en fichaient vraiment.

Le monde est un endroit horrible, mais personne ne s'inquiète parce que nous avons tous été pacifiés par la télévision anodale dans laquelle les flics incorruptibles résolvent des crimes, les avocats croisés gardent les innocents hors de prison et les travailleurs sociaux de Streetwise sauvent les enfants des abus.

J'aime rester à l'écart de l'écriture sur le bien contre le mal. Je pense que le monde est plus compliqué.

La science-fiction vous donne la portée de faire de grandes histoires.

Avec le genre thriller de police, les gens y viennent avec une attente. Il vous permet de vous en sortir avec un peu de violence, de nervosité, d'obscurité.

Je crois que la recherche correctement réglementée en biotechnologie des cellules souches entraînera de nombreuses améliorations précieuses du traitement médical et que les objections pour des motifs religieux ou éthiques devraient être vigoureusement opposés.

Je dis la vérité où c'est la chose éthique à faire, mais en termes de divertissement, il y a un certain plaisir et un plaisir qui peuvent être ajoutés à l'expérience par quelques mensonges judicieux.

L'idée d'une stigmatisation physique est assez attrayante. Quand j'ai écrit le livre de «corps», il y en avait beaucoup dans le livre sur la façon dont il y a des manifestations physiques de problèmes psychologiques - je pense qu'il est décrit comme «narrativant le corps».

Je pense qu'il est extrêmement important d'avoir un fort épisode un; Vous pouvez perdre un public si rapidement maintenant. Vous ne pouvez pas vous permettre de prendre l'attitude que vous utiliserez la première comme introduction et sauverez le drame élevé pour plus tard.

Je n'ai pas étudié l'écriture ou le drame ou quelque chose comme ça ... ce n'était pas vraiment un itinéraire viable pour moi.

Vous pouvez avoir des personnages qui disent une chose et en faire une autre, et dans certains types de drame, vous ne pouvez pas vous en tirer parce que le public deviendra confus - ou certainement, les commissaires deviendront confus et vous diront de cesser de le faire!

Il est important que l'acteur n'ait pas l'impression de travailler dans le vide. Si l'acteur est dit: «Oh, c'est un secret; Jouez-le de cette façon ou de cette façon: «C'est un peu condescendant. Je pense que vous devez amener l'acteur dans votre réflexion et expliquer les choses.

Je viens des lieux de travail équilibrés entre les sexes. J'ai commencé à travailler en médecine, et quand je suis passé par l'école de médecine, il est 50/50 hommes et femmes. Et quand j'ai commencé à travailler en tant que médecin, il est 50/50 hommes et femmes. J'ai donc toujours été très habitué aux femmes occupant des rôles charnières dans l'environnement professionnel.

Je veux être l'un de ces écrivains sérieux et de mauvaise humeur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jed_Mercurio

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