"A literary experience unlike any I've had in recent memory . . . a blueprint for this moment and the next, for where Black folks have been and where they might be going."--The New York Times Book Review (Editors' Choice) What does it mean to be Black and alive right now?

Kimberly Drew and Jenna Wortham have brought together this collection of work--images, photos, essays, memes, dialogues, recipes, tweets, poetry, and more--to tell the story of the radical, imaginative, provocative, and gorgeous world that Black creators are bringing forth today. The book presents a succession of startling and beautiful pieces that generate an entrancing rhythm: Readers will go from conversations with activists and academics to memes and Instagram posts, from powerful essays to dazzling paintings and insightful infographics.

In answering the question of what it means to be Black and alive, Black Futures opens a prismatic vision of possibility for every reader.

Black futures

Jenna Wortham, née le 4 novembre 1982, est une journaliste américaine connue sous le nom de plume Jenny Deluxe.
Féministe intersectionnelle, elle est rédactrice au New York Times Magazine et co-anime le podcast Still Processing, produit par le New York Times.
Elle est co-autrice de l'anthologie visuelle intitulée Black Futures.

La plupart des efforts pour approximer le comportement humain normal dans le logiciel ont tendance à être effrayant ou ennuyeux.

Lorsque j'ai visité ma famille en Virginie, j'ai retrouvé mon meilleur ami de septième année et je me suis assis dans les vendredis TGI près d'un centre commercial pendant des heures, riant pendant que sa fille prenait des selfies fous sur mon téléphone.

Les médias sociaux sont mon portail dans le reste du monde - mon périscope dans les communautés à côté de ma communauté, dans la façon dont le reste du monde pense et ressent.

Il m'a fallu des années pour trouver un programme qui m'a gardé en forme: les gymnases se sont sentis intimidants, et les magazines féminins semblaient adaptés pour tonifier les corps des femmes blanches déjà tailler.

Nous sommes conditionnés, en tant que population, à ne jamais attendre, à ne jamais retarder notre satisfaction, à accepter la consommation irréfléchie et constante comme nouvelle norme. Mais comment nous réfléchissons à la consommation et à la volonté d'embarquement des implications énormes pour l'environnement et la culture de la société dans son ensemble.

La production de zines peut offrir un répit inattendu du contrôle sur Internet, qui peut être aussi oppressant que libérateur.

Nos téléphones ne nous maintiennent pas simplement en contact avec le monde; Ce sont également des journaux intimes, des stands confessionnels, des référentiels pour nos secrets les plus profonds.

Internet nous pousse - à bon côté et en mauvais - pour réaliser que la version officielle des événements ne devrait pas toujours faire confiance ou accepter sans aucun doute.

Il devient beaucoup plus courant de voir des studios de yoga offrir des cours destinés exclusivement sur les personnes de couleur qui recherchent des moyens de faire face au racisme et aux craintes autour de la brutalité policière.

Je suis une fille blanche et non une fille blanche, identifiée par d'autres comme noires et pas noires aussi longtemps que je me souvienne - qui, en mixte, parle, signifie biracial.

La vitesse à laquelle la société moderne s'est adaptée pour s'adapter au vaste spectre mondial de genre et d'identités sexuelles peut être la métamorphose culturelle la plus importante de notre temps.

Spotify, Tidal et même YouTube, dans une certaine mesure, sont de vastes et riches mèches de musique, mais elles fonctionnent principalement comme des moteurs de recherche organisés par des algorithmes. Vous devez généralement savoir ce que vous recherchez pour le trouver.

Les obsessions des artistes pour la technologie ne sont pas nouvelles, mais à la fin des années, le travail avait tendance à se concentrer sur la possibilité du médium, traitant la technologie comme un nouvel outil plutôt qu'un cadre sociopolitique.

Les médias sociaux pourraient un jour offrir un éventail éblouissant, voire écrasant, de matériel source pour les historiens.

Je m'intéresse depuis longtemps à la façon dont la technologie intervient sur le désir et la façon dont nos téléphones, une extension de nous-mêmes, favorisent les interactions intimes qui se sentent si personnelles et profondes, bien qu'elles soient relayées à travers une machine.

Obtenir un tatouage est sans doute l'une des décisions les plus folles qu'un humain sensé peut prendre.

Les gens de la technologie adorent voir leur travail comme incarnant la «phiro-éthique»: un désir de décomposer les systèmes afin de les changer. Mais cette fierté peut souvent être transmise plutôt maladroitement.

La plupart du temps, au cinéma, mes niveaux de stress sont à la touche si élevés que je peux à peine m'asseoir à travers la production complète sans m'excuser, serrer les gens à côté de moi ou sortir de mon siège, incapable par l'inconnu.

Les guides traditionnels ne l'ont jamais tout à fait fait pour moi. Trop souvent, ils semblent viser un certain type de voyageur confortable de la classe moyenne.

Les artistes ont longtemps exhorté l'introspection culturelle en créant une œuvre qui force la conscience de notre paysage politique et économique actuel.

La technologie peut faire partie d'une solution, mais il faut bien plus que des logiciels pour inaugurer la réforme.

Apprendre à vivre en ne répondant pas aux attentes des autres a été extrêmement libérateur et est le seul cadeau que je souhaite transmettre à toute progéniture future.

Pour toutes les avancées de la technologie qui essayons de diverses formes pour jouer avec qui nous sommes, il semble que nous voulons juste de nouvelles façons d'être nous-mêmes.

Quand j'étais enfant, «Quantum Leap» était l'une de mes émissions de télévision préférées.

En théorie, la maturation d'Internet aurait dû tuer complètement le désir de zines.

Internet est particulièrement apte à compresser l'humanité et à faciliter l'oubli, il y a des gens derrière les tweets, les publications et les mèmes.

Il est absolument nécessaire de faire de l'espace pour faire face au bilan psychologique du racisme.

L'application de partage vidéo Vine a été le premier endroit où j'ai eu un aperçu des cultures au-delà des miennes, y compris celles du Moyen-Orient. J'ai pu voir comment certaines femmes voulaient que nous les voyions: prospérer, consciente.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jenna_Wortham

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