Jerri Nielsen
@jerriNielsen
Je comprends que ce n'est pas quand ni comment vous mourrez, mais comment et si vous étiez vraiment en vie.
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Je comprends que ce n'est pas quand ni comment vous mourrez, mais comment et si vous étiez vraiment en vie.
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Certains journalistes ont décrit le pôle Sud comme «l'enfer sur terre». D'autres se réfèrent à mon temps ici comme «une épreuve». Ils seraient surpris de savoir à quel point l'Antarctique m'a semblé belle, avec ses vagues de glace dans une centaine de nuances de bleu et de blanc, son ciel d'hiver noir, sa roue extatique d'étoiles. Ils ne comprendraient jamais comment les lumières du dôme m'ont accueilli à distance, ni à quelle fréquence j'ai dansé et chanté et ri ici avec mes amis. Et comment je n'avais pas peur.
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Je ne crois pas que la vie puisse être comptée par des années ou des jours, mais par l'expérience et comment vous quittez le monde par la façon dont vous vivez.
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Certains journalistes ont décrit le pôle Sud comme «l'enfer sur terre». D'autres se réfèrent à mon temps ici comme «une épreuve». Ils seraient surpris de savoir à quel point l'Antarctique m'a semblé belle, avec ses vagues de glace dans une centaine de nuances de bleu et de blanc, son ciel d'hiver noir, sa roue extatique d'étoiles. Ils ne comprendraient jamais comment les lumières du dôme m'ont accueilli à distance, ni à quelle fréquence j'ai dansé et chanté et ri ici avec mes amis. Et comment je n'avais pas peur.
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J'ai toujours été une personne de nuit. Lorsque le soleil se couche, mes esprits s'élevaient. Je suis plus alerte, plus rapide, plus en phase avec les rythmes du monde.
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Certains journalistes ont décrit le pôle Sud comme «l'enfer sur terre». D'autres se réfèrent à mon temps ici comme «une épreuve». Ils seraient surpris de savoir à quel point l'Antarctique m'a semblé belle, avec ses vagues de glace dans une centaine de nuances de bleu et de blanc, son ciel d'hiver noir, sa roue extatique d'étoiles. Ils ne comprendraient jamais comment les lumières du dôme m'ont accueilli à distance, ni à quelle fréquence j'ai dansé et chanté et ri ici avec mes amis. Et comment je n'avais pas peur.
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Certains journalistes ont décrit le pôle Sud comme «l'enfer sur terre». D'autres se réfèrent à mon temps ici comme «une épreuve». Ils seraient surpris de savoir à quel point l'Antarctique m'a semblé belle, avec ses vagues de glace dans une centaine de nuances de bleu et de blanc, son ciel d'hiver noir, sa roue extatique d'étoiles. Ils ne comprendraient jamais comment les lumières du dôme m'ont accueilli à distance, ni à quelle fréquence j'ai dansé et chanté et ri ici avec mes amis. Et comment je n'avais pas peur.
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Certains journalistes ont décrit le pôle Sud comme «l'enfer sur terre». D'autres se réfèrent à mon temps ici comme «une épreuve». Ils seraient surpris de savoir à quel point l'Antarctique m'a semblé belle, avec ses vagues de glace dans une centaine de nuances de bleu et de blanc, son ciel d'hiver noir, sa roue extatique d'étoiles. Ils ne comprendraient jamais comment les lumières du dôme m'ont accueilli à distance, ni à quelle fréquence j'ai dansé et chanté et ri ici avec mes amis. Et comment je n'avais pas peur.
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Je crois aux remèdes géographiques - ils vous permettent de jeter toutes vos cartes en l'air et de voir où ils atterrissent, puis de les ramasser et de les faire à nouveau.