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Jerry Leiber

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    Jerry Leiber

    @jerryLeiber

    Elvis Presley, vous ne pouvez pas le définir dans quelques phrases, mais il était un garçon de la campagne et il était très respectueux.

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    Et il y a toujours un élément spécial. Dans 'There Goes My Baby', ce sont les timbales désaccordées. "Stand by Me", c'est le motif de basse. Bien sûr, tous les éléments sont réunis pour faire un excellent disque. Mais il y a toujours une vedette.

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    Les adolescents sont surtout très, très conscients de ce qui est la hanche et de ce qui est boiteux et de ce qui est carré et de ce qui est sorti et ce qui se passe, vous savez. Et, je veux dire, j'ai grandi juste là au milieu d'une culture noire. Et je connaissais ce que c'était.

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    @jerryLeiber

    Hound Dog' a pris environ douze minutes. Ce n'est pas un travail compliqué. Mais le schéma de rimes était difficile. La structure métrique de la musique n'était pas facile non plus. Kansas City a duré huit minutes, voire plus. L'écriture des premiers blues était spontanée. L'énergie qui s'en dégage est palpable.

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    @jerryLeiber

    Nos chansons n'ont pas transcendé d'être R&B Hits. C'étaient des succès R&B pour lesquels les enfants blancs étaient attirés. Et si les gens l'ont acheté, c'est devenu rock & roll. C'est le marketing. Pourquoi ne pourrait-il pas être toujours R&B? Le motif de basse n'a pas changé. La chanson n'a pas changé. C'était encore «Yakety Yak» et «Searchin».

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    J'ai entendu cette musique sortir de la radio et ce n'était «ce n'est pas des affaires». Ça m'a fait. J'ai pensé: «Je peux faire ça». J'ai décidé comme ça. Pas d'histoire romantique.

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    Des chansons chauffées par Red sont nées dans les rues noires de Baltimore, où j'ai livré des canettes de cinq gallons de kérosène et des sacs de charbon de dix livres.

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    @jerryLeiber

    Le premier souvenir que j'ai a été mes sœurs dansant à la radio quand ils ont joué des disques de Benny Goodman et Harry James et du genre. Mais le record qui m'a gère était un record de Derek Sampson, qui était un jeune gars, appelé «Boogie Express», et c'était Boogie-Woogie. Vraiment, c'était en feu, et cela m'a amené.

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    Je me sentais noir. J'étais en ce qui me concerne. Et je voulais être noir pour beaucoup de raisons. C'étaient de meilleurs musiciens, c'étaient de meilleurs athlètes, ils n'étaient pas tendres sur le sexe, et ils savaient comment profiter de la vie meilleure que la plupart des gens.

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    Écoutez n'importe quel cantor, tout bon Hazan, chantez et vous pouvez entendre un peu de Ray Charles en cours.

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    Irving Berlin était le plus grand auteur-compositeur de tous les temps. J'étais impressionné par lui. Mais sa musique n'était pas ma musique. Ma musique était le blues.

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    Les premières influences, à bien des égards, étaient à Baltimore. Je passais des fenêtres ouvertes où il pourrait y avoir une radio jouant quelque chose de funky. En été, il y aurait parfois un homme assis sur une étape, jouant une guitare acoustique, jouant une sorte de blues folkloriques. La graine avait été plantée.

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    J'ai été élevé dans des quartiers noirs dans le sud de Baltimore. Et nous avions vraiment l'impression que nous étions très noirs. Nous avons agi noir et nous parlions du noir. Quand j'étais enfant en grandissant, d'où je venais, c'était la hanche d'être noir. Être blanc était un peu carré.

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    C'est effacé, c'est dur, les histoires Shtetl. Toutes ces objets de sous-traitants sont un amalgame d'humour yiddish et noir.

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    @jerryLeiber

    Le fond juif n'est pas si loin de la rainure noire. Les Noirs sont opprimés, les Juifs sont opprimés, ils ont donc quelque chose en commun dans cette affliction. Être opprimé rend souvent un plus empathique et sympathique.

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    Le premier souvenir que j'ai a été mes sœurs dansant à la radio quand ils ont joué des disques de Benny Goodman et Harry James et du genre. Mais le record qui m'a gère était un record de Derek Sampson, qui était un jeune gars, appelé «Boogie Express», et c'était Boogie-Woogie. Vraiment, c'était en feu, et cela m'a amené.

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    Hound Dog' a pris environ douze minutes. Ce n'est pas un travail compliqué. Mais le schéma de rimes était difficile. La structure métrique de la musique n'était pas facile non plus. Kansas City a duré huit minutes, voire plus. L'écriture des premiers blues était spontanée. L'énergie qui s'en dégage est palpable.

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