« Un homme doit mourir comme il a vécu. Courageusement.
» Ainsi raisonne Pétrone lorsqu'en 66 après J.-C., accusé d'avoir participé à la conjuration de Pison, il choisit de se donner la mort. Avant d'accomplir le geste fatal, le condamné réunit ses proches pour un ultime repas. Au milieu de l'allégresse forcée des convives, Pétrone s'échappe dans ses souvenirs :
Sa passion pour l'énigmatique Melissa, la rencontre avec le jeune et impétueux poète Martial, sa carrière politique... Mais désormais, que reste-t-il de tout cela ?
Jesse Browner imagine la dernière nuit de l'auteur du Satyricon. Porté par une écriture aérienne, ce roman rend hommage à l'ambiguïté du coeur humain, au sentiment insaisissable de la mélancolie qu'un homme, à l'aube de sa mort, sent frémir sous la caresse du soleil et les parfums du vent...

Villa du crépuscule

" Un homme doit mourir connue il a vécu. Courageusement. " Ainsi raisonne Pétrone lorsqu'en 66 après J.-C, accusé d'avoir participé à la conjuration de Pison, il choisir de se donner la mort. Avant d'accomplir le geste fatal, le condamné réunit ses proches pour un ultime repas. Au milieu de l'allégresse forcée des convives. Pétrone s'échappe dans ses souvenirs : sa passion pour l'énigmatique Melissa, la rencontre avec le jeune et impétueux poète Martial, sa carrière politique... Mais désormais, que reste-t-il de tout cela ? Jesse Browner imagine la dernière nuit de l'auteur du Satiricon. Porté par une écriture aérienne, ce roman rend hommage à l'ambiguïté du cœur humain, au sentiment insaisissable de la mélancolie qu'un homme, à l'aube de sa mort, sent frémir sous la caresse du soleil et les parfums du vent...

Nous sommes tous condamnés à chercher notre propre bonheur; Nous ne pouvons pas nous aider. Nous sommes tous, les cruels et les doux, condamnés à chercher ce bonheur dans l'obscurité. Nous utilisons nos besoins car les aveugles utilisent un bâton de marche, pour déterminer la sécurité de chaque pas vers l'avant.

Il y a aussi une peur sous-jacente et moins spécifique - ce que certains pourraient appeler une anxiété ontologique ou existentielle - qui lance nos jours et s'infiltre dans nos rêves. Nous nous sentons vides et cherchons un sens. Nous nous sentons vides et cherchons un sens. Nous aspirons et ne savons pas ce que nous aspirons. Il y a un trou noir au centre de notre compréhension qui engloutit et écrase notre tentative de l'explorer. Quelque chose manque.

Manger et l'hospitalité en général est une communion, et tout repas qui mérite d'être assisté par vous-même est amélioré par les multiples de ceux avec qui il est partagé.

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