Aux Jeux Olympiques de 1936, Adolf Hitler voulait prouver la supériorité de la race aryenne. Jesse Owens démontra qu'il se trompait. Dans son autobiographie spirituelle, l'étoile olympique raconte comment il a trouvé Dieu.

Jesse - Autobiographie spirituelle

James Cleveland Owens dit Jesse Owens, né le 12 septembre 1913 à Oakville et mort le 31 mars 1980 à Tucson, est un athlète américain considéré comme le premier sportif noir de renommée internationale, et comme le meilleur sprinteur de l'entre-deux-guerres,.
Quadruple médaillé d'or lors des Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin, il a par ailleurs amélioré à plusieurs reprises les records du monde du 100 mètres, du 200 mètres et du saut en longueur, discipline dans laquelle sa performance de 8,13 mètres, réalisée en 1935, resta inégalée durant plus d'un quart de siècle.

Nous avions l'habitude de s'amuser beaucoup. Nous n'avons jamais eu de problème. Nous avons toujours mangé. Le fait que nous n'avions pas de steak? Qui avait du steak?

"Elle (Minnie Ruth Solomon) était inhabituelle parce que même si je savais que sa famille était aussi pauvre que la nôtre, rien de ce qu'elle disait ou faisait ne semblait touché par cela. Ou par des préjugés. Ou par quoi que ce soit que le monde disait ou faisait. C'était comme si elle avait quelque chose en elle qui, d'une manière ou d'une autre, faisait que tout cela ne comptait pas. Je suis tombé amoureux d'elle la première fois que nous avons parlé, et un peu plus à chaque fois par la suite jusqu'à ce que je pense que je ne pouvais pas l'aimer plus que je ne l'aimais. quand j'ai ressenti cela, je lui ai demandé de m'épouser... et elle a dit qu'elle le ferait."

Je ne voulais aucune partie de la politique. Et je n'étais pas à Berlin pour rivaliser avec un athlète. Le but des Jeux olympiques, de toute façon, était de faire de votre mieux. Comme je l'avais appris il y a longtemps de Charles Riley, la seule victoire qui compte est celle sur vous-même.

Toute une vie d'entraînement pour seulement dix secondes.

La route vers les Jeux olympiques ne mène pas à aucune ville, pas de pays. Il va bien au-delà de New York ou de Moscou, de la Grèce antique ou de l'Allemagne nazie. La route vers les Jeux olympiques mène - à la fin - aux meilleurs en nous.

Trouvez le bien. C'est tout autour de toi. Trouvez-le, montrez-le et vous commencerez à y croire.

J'ai combattu, j'ai combattu plus fort. . . Mais une cellule à la fois, la panique s'est glissée dans mon corps, me prenant le dessus.

Joe Louis et moi avons été les premières figures sportives nationales modernes qui étaient noires ... mais aucun de nous ne pouvait faire de la publicité nationale parce que le Sud ne l'achèterait pas. C'était la stigmatisation sociale dans laquelle nous vivions.

C'était assez grave pour avoir renversé les sommets olympiques pour que ma vie en concurrence avec des animaux. Mais la compétition n'était même pas juste. Aucun homme ne pouvait battre un cheval de course, même pas pour 100 mètres.

Bien que je n'aie pas été invité à serrer la main d'Hitler, je n'ai pas non plus été invité à la Maison Blanche pour serrer la main du président.

Les gens viennent vous voir jouer et vous devez leur donner le meilleur que vous ayez en vous.

C'est comme avoir un chien de compagnie pendant longtemps. Vous vous attachez et quand il meurt, vous le manquez.

Pendant un certain temps, au moins, j'étais la personne la plus célèbre du monde entier.

Nous avons tous des rêves. Mais pour faire entrer les rêves en réalité, cela prend énormément de détermination, de dévouement, d'autodiscipline et d'efforts.

Une chance est tout ce dont vous avez besoin.

Eh bien, je ne pouvais pas jouer d'un instrument. Je me tiendrais juste à l'avance et annoncer les chiffres. Ils m'ont fait chanter un peu, mais c'était une horrible erreur. Je ne peux pas porter de mélodie dans un seau. Nous avons joué des théâtres noirs et des boîtes de nuit partout en enfer. One Nights. Apollo Theatre à Harlem et The Earle Theatre à Philly - c'était grand temps pour les Noirs.

J'ai toujours aimé courir ... c'était quelque chose que vous pouviez faire par vous-même et sous votre propre pouvoir.

Si vous n'essayez pas de gagner, vous pourriez aussi bien tenir les Jeux olympiques dans la cour arrière de quelqu'un.

La vie de la plupart des hommes est des courtepointes patchwork. Ou au mieux une tenue assortie avec un placard et un sac à linge plein d'accumulations incongrues. Une vie de formation pendant seulement dix secondes.

Le secret est, d'abord, d'obtenir un cheval pur-sang car ce sont les animaux les plus nerveux de la terre. Ensuite, obtenez le plus gros pistolet que vous puissiez trouver et assurez-vous que le démarreur tire ce gros pistolet juste à côté de l'oreille du pur-sang nerveux.

Je laisse mes pieds passer le moins de temps sur le sol que possible. De l'air, jeûne en bas et du sol, rapidement vers le haut.

Les championnats sont mythiques. Les vrais champions sont ceux qui vivent à travers ce qu'ils sont enseignés chez eux et leurs églises. L'attitude que «nous devons gagner» dans le sport doit être modifiée. Apprenez à vos jeunes, qui sont le futur espoir de l'Amérique, l'importance de l'amour, le respect, le dévouement, la détermination, l'auto-sacrifice, l'autodiscipline et une bonne attitude. C'est la route sur l'échelle des championnats.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jesse_Owens

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