Trish Trash est une jeune martiate de 15 ans (7 ans 1/2 sur Mars) qui passe son temps entre l'école et le travail dans les chamops. A l'étroit dans cette vie harassante et sans horizon, elle se lance corps et âme dans sa passion : le hoverderby, sport star de toute la galaxie. Un rêve qui pourrait lui offrir un passeport vers une vie meilleure, mais aussi l'occasion de découvrir le vaste Univers et ses mystères... Car, tapis dans l'ombre de cette planète poussiéreuse, les indigènes se terrent, suscitant chez les colons défiance et effroi... Une intrigante aventure SF en 3 tomes, réunis pour la première fois !

Trish Trash, Rollergirl sur Mars Intégrale : Tome 1 à 3

Une comédie romantique dans la droite ligne de Clerks et Buffy, deux séries télé mythiques chez les ados/jeunes adultes, avec en vedette le plus sympathique loser de l'histoire des vampires !
Quand on est végétarien, le pire en devenant un vampire, ce n'est pas d'avoir à se nourrir de sang, c'est de savoir que c'est pour l'éternité ! C'est ce que se dit Dave, devenu vampire à Los Angeles, et contraint pour payer son loyer de devenir l'employé de son maître. Il travaille donc dans un magasin pour vampires, en assurant le tour de nuit. Sa vie éternelle va changer quand il tombe amoureux d'une jolie mortelle gothique...

Ouvert la nuit

La Perdida raconte les mésaventures d'une jeune américaine exilée à Mexico. Carla, délaissée par son père mexicain, part à la recherche de ses racines. Elle commence son périple en rejoignant un ex-petit ami, Harry, perdu dans les mêmes brumes alcoolisées que ses héros, William S. Burroughs et Jack Kerouac. Il accueille Carla à bras ouverts jusqu'à ce qu'il réalise qu'elle n'est pas décidée à retourner aux États-Unis. Lorsque la relation entre Harry et Carla atteint un point de non-retour, elle choisit de rejeter le petit monde de ses concitoyens expatriés, et se concentre sur ses nouveaux amis : Oscar le beau gosse, qui deale et rêve de devenir DJ, et le charismatique Memo, pseudo-intellectuel de gauche très porté sur la gente féminine. Déterminée à se plonger dans la " véritable " culture mexicaine, Carla ne veut pas voir la superficialité de ses nouveaux amis. En revanche, elle tape dans l'œil d'un baron local de la drogue, El Gordo, et sa vie devient beaucoup plus compliquée. Elle doit alors faire face aux conséquences inévitables de sa naïveté. Le trait extrêmement expressif de Jessica Abel et le mélange savamment dosé des langages parlés par ses personnages offrent une vision particulièrement vivante du Mexique d'hier et d'aujourd'hui. L'histoire de Carla évoque l'héritage de Burroughs et de Kahlo. Ce récit fort fait écho au désir de vivre une existence authentique et riche, mais évoque également le piège des vérités toutes faites. La Perdida est une histoire ancrée dans le Mexique d'aujourd'hui - tout en restant pleinement universelle - sur la quête de soi... mais aussi sur la façon de se perdre.

La Perdida

Pourquoi le besoin d'expliquer toujours les bandes dessinées? Parce que ce préjudice existe toujours. C'est la décoloration, mais c'est toujours très fort. Il est important de continuer à repousser les limites de ce que les gens savent que les bandes dessinées sont afin qu'ils soient réceptifs au monde entier des bandes dessinées, pas seulement un ou deux genres de travail.

Quand je vivais au Mexique, j'ai commencé à réévaluer mon style de dessin et j'ai plongé dans une période de faire des exercices et des recherches pour développer une nouvelle façon de dessiner. Le résultat a été un style qui implique plus qu'il ne le montre, et donc, ironiquement, se sent plus "vrai" à la scène que je veux dessiner qu'un style plus spécifique. Il me semble que l'imagination du lecteur est capable de combler les lacunes plus efficacement que jamais. De plus, c'est beaucoup plus rapide et plus amusant à faire.

Lorsque vous dessinez dans un style serré et contrôlé, vous vous ouvrez - dans mon cas, la critique - la critique que les choses ne sont pas tout à fait correctes. Si la chambre est dessinée si attentivement, lorsqu'un détail est mauvais ou manquant, il est mal ou manquant. L'imagination du lecteur n'ajoute pas les détails car il y a déjà tellement d'autres détails. Le lecteur est limité à voir les éléments qui sont là devant lui.

Le dessin animé est complètement différent des autres médias : il est étroitement lié au film et à la prose, d'autres formes narratives, mais les compétences nécessaires pour réaliser une histoire sont très différentes et comprennent non seulement le dessin et l'écriture de dialogues et de narration, mais aussi la conception graphique et la capacité pour représenter visuellement le temps qui passe. C'est toute une série de compétences qui doivent entrer dans la création d'une page de bande dessinée, des compétences qui sont bien distinctes de celles qui entrent dans l'écriture d'une page de prose ou la réalisation d'un film.

Mon dessin, comme celui de la plupart des caricaturistes, est d'abord destiné à être fonctionnel: créer un espace crédible et communiquer des informations. Mon point le plus fort dans le dessin a toujours été ma capacité à montrer la communication non verbale des personnages par l'expression faciale et la posture.

C'est un mystère pour moi pourquoi les bandes dessinées sont si méprisées depuis si longtemps. De toute évidence, cela a à voir avec l'histoire du médium - résultant de livrets à bas prix de bandes de journaux, juste à l'extérieur pour faire de l'argent, suivi d'une œuvre originale principalement frappée. Il a fallu un certain temps aux artistes vraiment talentueux pour emménager dans le monde de la bande dessinée des journaux. Il est vraiment étrange que même les publicités télévisées aient obtenu du respect avant les bandes dessinées. Je n'ai jamais pu le comprendre.

Je n'ai pas vraiment perdu confiance dans mon travail - à part pendant des périodes assez courtes où le travail est plus difficile que d'habitude - mais j'ai des points de frappe où je veux arrêter parce que le dessin animé est tout simplement trop dur, trop exigeant une forme d'art. Fondamentalement, il n'y a rien à faire à ce sujet, mais pour continuer (si vous êtes au milieu de quelque chose), ou arrêtez-vous pendant un certain temps et faites d'autres choses pendant que vous attendez que votre motivation revienne.

Je peux certainement être surpris à tour de temps une histoire, mais généralement pas une fois que je suis réellement dans la scène d'écriture / dessin. Dans la phase de complot, tout peut arriver. C'est pourquoi j'essaie de terminer cette partie avant de commencer à écrire. J'exagère peut-être ici - je suis sûr qu'il y a des moments où je pense à quelque chose à travers qui change l'histoire, mais le résultat ultime ne change pas. Ou pas encore. Cela pourrait toujours arriver.

Je n'utilise pas de caractères récurrents. Je m'intéresse très bien mes personnages pendant que je travaille avec eux, et je trouve le processus de les intégrer dans une histoire et de leur permettre de créer l'histoire autour d'eux-mêmes, fascinante. Mais non, je n'imagine pas qu'ils ont une vie en dehors de ce que je fais pour eux.

Les voix des femmes, les voix LGBT et les voix des personnes de couleur sont toutes nécessaires dans n'importe quelle forme d'art si nous voulons explorer les vraies possibilités de cette forme d'art. La diversité est la force.

Je ne pense pas que les bandes dessinées utilisent des formulaires emblématiques - ou ils ne le sont pas. Mais cela les rend encore plus "cool", si je comprends l'idée. Il faut être très impliqué pour faire fonctionner les bandes dessinées. Les signaux doivent être décodés au niveau verbal et visuel, simultanément, et le lecteur doit également faire beaucoup de travail cognitif entre les panneaux. Les bandes dessinées ont certainement besoin d'un lecteur engagé.

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