L'Économie circulaire, le nouveau modèle : Extraire, Produire, Recycler. Pouvons-nous aligner les systèmes mondiaux de production et de consommation sur la durabilité ? La croissance des entreprises peut-elle réellement conduire à une planète plus saine ? Les entreprises peuvent-elles innover grâce à l'Économie circulaire pour créer un avantage concurrentiel et un impact réel ?

Le manuel de l'économie circulaire : mettre en oeuvre les avantages de l'économie circulaire

Jessica Long, née Tatiana Kirillova, est une nageuse handisport américaine, née le 29 février 1992 à Bratsk (oblast d'Irkoutsk) en Russie, qui a remporté 27 médailles aux Jeux paralympiques dont 14 médailles d'or. Elle est amputée des deux jambes.

Tout le monde avait des jambes. Même mes jeunes sœurs avaient toutes deux des jambes. C'était difficile de comprendre ce que j'ai fait de mal: pourquoi moi? Ensuite, j'ai découvert les Jeux paralympiques. Cela a vraiment complètement changé ma vie.

J'ai toujours été vraiment vraiment actif et je n'ai jamais voulu que mes jambes me retiennent.

Avant le mouvement paralympique, je n'aimais vraiment pas porter de short parce que les gens me regardaient fixement.

Lorsque j'ai commencé à concurrencer, les marques hésitaient assez à présenter des athlètes handicapés dans des publicités, peut-être en raison de la peur d'offenser les consommateurs.

Mes parents en Amérique m'ont toujours dit que j'étais adopté. Cela n'a jamais été un secret pour moi.

Il fut un temps où je me concentrais juste sur le fait d'être maigre, et maintenant je pense vraiment à comment puis-je être fort.

J'ai toujours dit, dès que j'ai cessé d'aimer ce sport, c'est quand je prendrai probablement ma retraite.

En grandissant, j'étais l'un de ces enfants énergiques qui ne s'assit jamais encore.

J'adore prendre des bains de sel d'Epsom.

J'adore mettre une bougie, lire un livre et prendre une seconde pour moi.

Mettre des chaussures avec mes jambes prothétiques est toujours difficile pour moi, mais à la fin de la journée, je mets juste des chaussures très hautes.

Il est important que les gens puissent être eux-mêmes et vivre une vie normale qui n'est pas définie par un handicap.

Pour moi, je ne donne pas de coups de pied parce que je n'ai pas de jambes.

Les jeunes enfants me taquineront parfois, et cela me dérange un peu, mais je m'en fiche finalement.

Dès que nous avons atterri à Tokyo, c'est à ce moment-là que j'étais comme, OK. Je veux vraiment ramener à la maison une médaille d'or.

Toute ma vie, j'ai dû me battre pour rattraper les gens. Mais pas dans l'eau. C'est le seul endroit où tout le monde essaie de me suivre !

Avant de marcher sur un bloc de départ, je vais applaudir trois fois et secouer mes bras deux fois. Je ne me sens pas prêt à courir à moins que je ne fasse ça.

Gagner des médailles d'or est incroyable et c'est évidemment ce que je veux faire, mais il y a quelque chose de si spécial à avoir une petite fille qui vient de perdre la jambe du cancer et de me dire que je suis son héros.

Je ne me suis jamais considéré comme handicapé.

Pour la natation, nous n'avons pas vraiment d'intersaison.

Les Jeux paralympiques m'ont tellement donné, et je sais ce que ce sport peut faire pour un jeune enfant quand il est à son meilleur.

En 2018, je me fais vraiment mal au dos, mon bas du dos, et cela fait quelques années où nous avons finalement découvert que j'avais une vertèbre supplémentaire dans le dos.

Quand je suis triste, je me suis laissé triste, mais en même temps, j'ai trouvé des moyens de me reprendre.

Au cours des cinq dernières années, j'ai vraiment travaillé sur ma santé mentale et en voyant un thérapeute - ce qui, c'est tellement drôle parce que je pensais qu'en entrant en thérapie, j'allais tout parler de la natation, et si quoi que ce soit, je ne parlais jamais de nager .

Je suis une grande fille de vitamines. Je prends du fer parce que, surtout en tant qu'athlète féminine, je dois m'assurer que les niveaux de fer sont bons à partir.

Ça n'a jamais été juste à propos de moi. Il s'agit de mes grands-parents qui me conduisaient à la pratique de la natation. Mon père qui - un jour pour dormir - m'emmènerait à nager. Ma maman et mes sœurs qui massaient mes épaules douloureuses quand j'étais petit, il y avait tellement de gens qui ont cru en moi quand je ne croyais pas en moi.

Je pense que aux États-Unis, nous avons du mal à accepter les handicaps. C'est pourquoi je pense que c'est vraiment bien de partager et de faire savoir aux enfants que ce n'est pas un handicap, c'est une capacité. Vous avez la capacité d'inspirer les autres.

Toute ma vie, j'ai adoré prouver que les gens ont tort.

J'adore nager, mais j'aime savoir que les enfants me voient comme une inspiration.

J'adore les routines et j'aime avoir quelque chose à espérer.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jessica_Long

Ses oeuvres