'Stimulating, elegant, distinctive and thought-provoking' The Sunday TimesFrom the internationally bestselling, Pulitzer Prize-winning author of Interpreter of Maladies comes an exquisitely crafted work of fiction. In these short stories Jhumpa Lahiri sets her gaze on the eternally beautiful city of Rome, illuminating the frailties of the human condition and dissecting lives lived on the margins. A man recalls a summer party that awakens an alternative version of himself. A couple haunted by a tragic loss return to seek consolation. An outsider family is pushed out of the block in which they hoped to settle. A set of steps in a Roman neighbourhood connects the daily lives of the city's myriad inhabitants. This is an evocative fresco of Rome, the most alluring character of all: contradictory, in constant transformation and a home to those who know they can't fully belong but choose it anyway. Rich with Lahiri's signature gifts, Roman Stories is a masterful work from one of the finest writers of our time. Translated from the Italian by Jhumpa Lahiri and Todd Portnowitz

Roman Stories

Effarement et exubérance, enracinement et étrangeté : dans ce nouveau roman, Jhuma Lahiri pousse l'exploration des thèmes qui sont les siens à leur limite. La femme qui se tient au centre de l'histoire est professeur, elle a quarante ans et pas d'enfants. Elle oscille entre immobilité et mouvement, entre besoin d'appartenance et refus de nouer des liens. La ville italienne qu'elle habite, et qui l'enchante, est sa confidente : les trottoirs autour de chez elle, les parcs, les ponts, les piazzas, les rues, les boutiques, les cafés... Elle a des amies femmes, des amis hommes, et puis il y a " lui ", une ombre qui la réconforte et la trouble tout à la fois... Le tour de force de ce beau roman, écrit dans une langue à la fois très simple et précise consiste à faire de cette anti-héroïne spectrale un personnage qui prend progressivement une véritable épaisseur charnelle et fictionnelle, et de ce non-roman une fiction tendue par un suspense transformant ces intrigues dérisoires en matière à un page turner d'un genre fantomatique et mystérieux. Premier roman de Jhumpa Lahiri écrit en italien, Une femme à sa fenêtre brûle du désir de passer les frontières et de forger une nouvelle langue littéraire.

Où je suis

Longues distances que celles qui séparent désormais Subhash et Udayan, frères à la ressemblance physique troublante, tous deux brillants élèves originaires d'un quartier modeste de Calcutta. Tandis que l'aîné, Subhash, introverti et respectueux des us et coutumes, choisit de poursuivre ses études aux Etats-Unis, son cadet, Udayan, exubérant et rebelle à l'ordre établi, décide de rester en Inde pour enseigner dans un lycée technique. Par-delà les océans, leur correspondance finit par s'espacer. Jusqu'au jour où Subhash reçoit un message qui va bouleverser sa vie. Tragédie moderne inspirée du mythe de l'androgyne, qui postule que chacun d'entre nous est en permanence à la recherche de sa part manquante, réflexion sur l'exil, le déracinement et l'identité, Longues distances apporte une nouvelle preuve éclatante de l'immense talent de Jhumpa Lahiri, récompensée du prix Pulitzer.

Longues distances

Pour tous ceux qui ne connaissent pas encore la très grande Jhumpa Lahiri, récompensée du prix Pulitzer et auteur à succès, c'est le moment de la découvrir avec Longues distances, son meilleur roman.Longues distances que celles qui séparent désormais Subhash et Udayan, frères à la ressemblance physique troublante, tous deux brillants élèves originaires d'un quartier modeste de Calcutta. Tandis que l'aîné, Subhash, introverti et respectueux des us et coutumes, choisit de poursuivre ses études aux États-Unis, son cadet, Udayan, exubérant et rebelle à l'ordre établi, décide de rester en Inde pour enseigner dans un lycée technique. Par-delà les océans, leur correspondance finit par s'espacer. Jusqu'au jour ou Subhash reçoit un message qui va bouleverser sa vie.Tragédie moderne inspirée du mythe de l'androgyne, qui postule que chacun d'entre nous est en permanence à la recherche de sa part manquante, réflexion sur l'exil, le déracinement et l'identité, Longues distances apporte une nouvelle preuve éclatante de l'immense talent de Jhumpa Lahiri.« Au sein de la nouvelle génération littéraire américaine, Jhumpa Lahiri est celle que la critique porte aux nues. »Time Magazine

In The Namesake, Lahiri enriches the themes that made her first book an international bestseller: the immigrant experience, the clash of cultures, the conflicts of assimilation, and, most poignantly, the tangled ties between generations. Here again Lahiri displays her deft touch for the perfect detail—the fleeting moment, the turn of phrase—that opens whole worlds of emotion.The Namesake takes the Ganguli family from their tradition-bound life in Calcutta through their fraught transformation into Americans. On the heels of their arranged wedding, Ashoke and Ashima Ganguli settle together in Cambridge, Massachusetts. An engineer by training, Ashoke adapts far less warily than his wife, who resists all things American and pines for her family. When their son is born, the task of naming him betrays the vexed results of bringing old ways to the new world. Named for a Russian writer by his Indian parents in memory of a catastrophe years before, Gogol Ganguli knows only that he suffers the burden of his heritage as well as his odd, antic name. Lahiri brings great empathy to Gogol as he stumbles along the first-generation path, strewn with conflicting loyalties, comic detours, and wrenching love affairs. With penetrating insight, she reveals not only the defining power of the names and expectations bestowed upon us by our parents, but also the means by which we slowly, sometimes painfully, come to define ourselves.The New York Times has praised Lahiri as "a writer of uncommon elegance and poise." The Namesake is a fine-tuned, intimate, and deeply felt novel of identity.

Un Nom Pour Un Autre

Depuis son avènement triomphal sur le devant de la scène littéraire mondiale, le succès de Jhumpa Lahiri ne s'est jamais démenti : son premier recueil de nouvelles, L'Interprète des maladies, prix Pulitzer, a été traduit en plus de trente langues et son premier roman, Un nom pour un autre, a été plébiscité tant par le public que par la critique. Auréolé du prix Frank-O'Connor - récompense internationale la plus prestigieuse dans le domaine de la nouvelle, qui lui a été décernée à l'unanimité du jury -, Sur une terre étrangère s'est hissé dès sa sortie en tête des ventes du New York Times.
Née à Londres de parents bengalis, Jhumpa Lahiri s'est établie à New York après avoir grandi sur la côte Est des États-Unis. Indienne, Anglaise, Américaine. « Je n'ai jamais su répondre à la question : ''D'où êtes-vous ?'' », affirme l'écrivain - dont l'univers et l'itinéraire singuliers constituent une source d'inspiration d'une fécondité inépuisable. Exil et solitude, déracinement et assimilation, mystères de l'identité se trouvent à nouveau au coeur des préoccupations des héros de son troisième livre.
Alors que, dans L'Interprète des maladies, elle retraçait le parcours, souvent difficile, des premiers expatriés indiens en terre américaine, Jhumpa Lahiri choisit cette fois de s'attacher aux pas de leurs enfants. Avec un art du récit, une justesse de ton et une finesse psychologique incomparables, la nouvelliste décrit les affres de cette seconde génération de migrants, nourries de deux cultures mais en quête d'un monde perdu, confrontées en permanence au décalage entre deux civilisations et au regard de l'autre posé sur soi.

Sur une terre étrangère

Un Nom Pour Un Autre (French Edition)

À travers l'histoire d'un jeune Américain d'origine indienne rejetant le prénom bengali qu'on lui a donné, Jumpa Lahiri offre une évocation sensible du déracinement et des conflits intimes liés à la double culture.
À la naissance de leur fils, Ashoke et Ashima attendent une lettre de la grand-mère qui doit, c'est la coutume en Inde, choisir son prénom. Mais la lettre n'arrive pas à Cambridge (Massachussets). Ashoke est contraint d'improviser et choisit d'appeler son fils Gogol (auteur qu'il lisait lors d'un accident meurtrier dont il sortit miraculeusement indemne). Grandissant comme un petit Américain, Gogol refusera longtemps qu'on l'appelle par le prénom bengali dont il a finalement été doté : Nikhil. Au risque de se couper de ses racines... L'histoire de sa réconciliation avec ce nom est aussi l'histoire de l'intégration d'une famille aux États-Unis. 
Jhumpa Lahiri recueille avec une minutie pleine de tact le mal de vivre, la nostalgie ou l'espoir, les sentiments d'une famille de déracinés. La panique, secrète mais intense, d'Ashima, la mère, la première fois qu'elle entre dans un appartement américain ; les  minutes américaines  qu'elle consulte avec sa montre ; le désarroi de Gogol et de sa soeur arrivant dans leur famille, en Inde, avec laquelle ils ne partagent qu'un nom : autant d'émotions ou de moments concrets que Jhumpa Lahiri capte et interprète, se faisant témoin des souffrances, des déchirures qui habitent ses personnages. 
Après L'Interprète des maladies, recueil de nouvelles récompensé par le prix Pulitzer en 2000 et traduit en vingt-neuf langues, ce premier roman, plébiscité par la presse anglo-saxonne, était attendu.

Un nom pour un autre

Jhumpa Lahiri, née Nilanjana Sudeshna Lahiri le 11 juillet 1967 à Londres (Royaume-Uni), est une écrivaine américaine d'origine indienne.

L'idée de Noël le submerge. Il n'attend plus avec impatience les vacances; Il veut seulement être de l'autre côté de la saison. Son impatience lui fait sentir qu'il est incontestablement, enfin, un adulte.

Parfois, une grande partie de la difficulté est la question de "de quoi vais-je écrire?" Parce que le monde est si vaste.

Beaucoup de mes personnages ont du mal avec la solitude, c'est juste à dire.

Au collège, je soulignais des phrases qui m'ont frappé, ce qui m'a fait regarder à partir de la page. Ils n'étaient pas nécessairement les mêmes phrases que les professeurs ont souligné, ce qui se présenterait à une explication supplémentaire lors d'un examen. Je les ai notés pour leur clarté, leur rythme, leur beauté et leur enchantement.

Je suis obligé d'échouer quand j'écris en italien, mais contrairement à mon sentiment d'échec dans le passé, cela ne me tourmente pas ou ne me grivoise pas.

J'ai deux passeports parce que je dois en avoir au moins un, et je ne sais vraiment pas comment je me définis. Et je pense qu'en vieillissant, je me sens très chanceux d'avoir, sur papier, une double nationalité.

Le récit le plus convaincant, exprimé dans des phrases avec lesquelles je n'ai aucune réaction chimique, ou une réaction défavorable, me laisse froid.

Vous savez, depuis que les critiques sont sorties et que les gens y ont réagi, j'ai réalisé que c'était dans un sens ce qui s'est passé. Mais comme je les écrivais, je ne ressentais pas une partie d'une tradition. Je pense que cela aurait été trop écrasant, dans un sens.

Ma responsabilité n'est pas de peindre un portrait flatteur; Ma responsabilité est de peindre un vrai portrait, un vrai portrait.

J'ai commencé à écrire après l'université, en écrivant lentement et secrètement.

Je pense que la chose fondamentale à propos de l'écriture de fiction est que vous écrivez ce qui vous intéresse et ce qui vous inspire. Il ne peut pas être forcé. Je ne vois pas besoin d'écrire sur autre chose ou tout autre type de monde.

Elle regarda ses lèvres former les mots, en même temps, elle les a entendus sous sa peau, sous son manteau d'hiver, si près et plein de chaleur qu'elle se sentait chaude.

Mon grand-père dit que c'est à cela que servent les livres ", a déclaré Ashoke, en utilisant l'opportunité d'ouvrir le volume entre ses mains." Pour voyager sans bouger un pouce.

La langue et l'identité sont si fondamentalement liées. Vous décollez toutes les couches en termes de ce que nous portons et de ce que nous mangeons et de toutes les choses qui nous marquent, et à la fin, ce que nous avons, ce sont nos mots.

C'étaient des choses pour lesquelles il était impossible de se préparer, mais lequel a passé une vie à regarder en arrière, à essayer d'accepter, d'interpréter, de comprendre. Des choses qui n'auraient jamais dû arriver, qui semblaient hors de propos et mal, c'était ce qui prévalait, ce qui a enduré, à la fin.

Il est facile de définir une histoire n'importe où si vous obtenez un bon guide et que vous obtenez des noms de rue de base, et quelques descriptions, mais, pour moi, oui, je suis redevable à mes voyages en Inde pour plusieurs histoires.

Si je m'arrête pour réfléchir aux fans, ou à la vente à succès, ou non, ou de bonnes critiques, ou pas de bonnes critiques, cela devient juste trop. C'est comme regarder le miroir toute la journée.

Nous sommes tous #Humans et nous fabriquons tous #mistakes. Nous # Hurt les gens même si nous ne le voulons pas.

Je rêve d'écrire un livre comme des amoureux un jour. C'est tellement libre mais si riche. C'est l'histoire intime et un chef-d'œuvre de la compression.

J'ai tendance à lire principalement la fiction du 20e siècle, la fiction du 20e, du 21e siècle en italien.

Ils vivent ici maintenant depuis plus de la moitié de leur vie, et ils ont élevé une famille ici et ont maintenant des petits-enfants ici ... c'est devenu leur maison, mais en même temps, pour mes parents, je ne pense pas non plus d'entre eux penseront toujours consciemment: «Je suis américain».

L'interprète des maladies est le titre de l'une des histoires du livre. Et la phrase elle-même était quelque chose auquel je pensais avant même d'écrire cette histoire.

La relation de mes parents avec Kolkata est si forte. En grandissant, l'absence de Kolkata était toujours présente dans nos vies.

J'adore Rome. Je suis très heureux là-bas. Je n'étais pas à New York.

L'isolement a offert sa propre forme de compagnie

Je voulais m'éloigner des choses qui marquaient mes parents comme étant différents.

Les livres me semblent tellement plus - beaucoup plus sacrés, et plus importants et essentiels qu'ils ne l'étaient quand j'étais jeune.

Je pense que mon écriture vient d'un désir de ... eh bien, c'est motivé par beaucoup de choses, mais c'est intrinsèquement une contradiction en ce que j'écris pour moi-même, et c'est un voyage très intérieur. D'un autre côté, je pense que les écrivains font ce voyage intérieur d'un désir de se connecter.

Avec «interprète», je ne savais pas que ça allait être un livre, qu'ils allaient être publiés. Je les écrivais dans le vide pour la plupart. Ils étaient mon apprenti travail. Ensuite, les histoires sont devenues un livre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jhumpa_Lahiri

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