New York Times BestsellerIn this candid autobiography, Syracuse head coach and long time college basketball fixture Jim Boeheim reflects on his life, his teachers, and the game he loves. Jim Boeheim walked onto the Syracuse campus as a freshman in 1963 .

Bleeding Orange - Fifty Years of Blind Referees, Screaming Fans, Beasts of the East, and Syracuse Basketball

James Arthur « Jim » Boeheim, né le 17 novembre 1944 à Lyons, dans l'État de New York, est un joueur et entraîneur américain de basket-ball. Il évolue durant sa carrière au poste de meneur.

Nous gardons le tireur. Beaucoup de gars tirent bien derrière la ligne des 3 points. Nous gardons où se trouve le tireur, pas où se trouve la ligne.

Si nous pouvons perdre 12 matchs chaque année et aller au Final Four chaque année, je vais le prendre. Je préfère faire ça plutôt que gagner 30 et ne pas aller au Final Four.

Malheureusement, dans notre entreprise, il s'agit du tournoi lorsque vous êtes une bonne équipe.

Je déteste perdre plus que je n'aime gagner.

Les grands buteurs ont tendance à penser qu'ils peuvent marquer contre n'importe qui.

J'ai toujours eu l'impression d'être entraîneur de l'université et j'étais entraîneur de collège pour Syracuse. C'était juste la bonne chose.

Si vous êtes analytique, vous devez être franc. C'est par définition. Vous ne pouvez pas analyser quelque chose et ne pas être franc à ce sujet. Que préférez-vous entendre si ce n'est pas la vérité?

C'est toujours important lorsque vous jouez dans un tournoi qu'ils ont un terrain de basket et une arène.

Je suis venu pour la première fois au jardin quand j'étais étudiant en deuxième année à l'université. Le vieux jardin vieux.

C'est le basket-ball universitaire et il y a une certaine incertitude. En tant qu'entraîneur adjoint, vous faites le meilleur travail possible pour gagner.

Il devrait y avoir une certaine civilité lorsqu'il s'agit d'être président des États-Unis.

Je suis heureux que nous ayons remporté beaucoup de jeux. Je n'y pense pas. Je ne sais pas.

Je parle de tout. Je ne suis pas réticent.

Je pense que nous pouvons bénéficier d'être dans l'ACC. C'est une grande ligue de basket-ball. Si quoi que ce soit, cela aide notre recrutement.

Si je pouvais embaucher un entraîneur dans ce pays et que je pourrais obtenir Tony Bennett, il n'y aurait personne à la deuxième place. Personne.

Si vous pouvez avoir des ennuis pour soutenir un ami que vous connaissez depuis près de 50 ans, je ne veux pas vivre dans ce pays.

Collège, notre travail consiste à amener les gars à s'améliorer. Travaillez dur, améliorez-vous et soyez en position, donc lorsque votre temps vient, vous pouvez jouer dans la NBA.

Ils ne travaillent pas avec vous pour s'améliorer dans la NBA. Soit vous êtes prêt, soit vous êtes sorti et vous allez à la G-League ou en Europe.

Nous voulons que chaque gars obtienne son diplôme et nous travaillons très dur là-dessus.

Je serais choqué si Tom Izzo quittait le Michigan State.

Vous devez comprendre, chaque enfant du basket-ball universitaire, si vous leur demandez où ils veulent jouer à un jeu, dans la NBA ou le collège, ils vous diront Madison Square Garden, un énorme pourcentage.

Lorsque vous prenez le relais au Kansas, ils ont toujours gagné, vous devez donc gagner.

Klay Thompson se démarque. C'est juste un enfant dur.

Vous devez avoir de grands joueurs et de grands entraîneurs qui travaillent avec vous.

Le championnat national de Syracuse en 2003 sera toujours la marque des hautes eaux pour moi. C'était mon alma mater, mon équipe, mes joueurs, nos fans. Cela reste la meilleure expérience de ma vie de basket-ball.

Quand vous ne pouvez pas être fidèle à vos amis, je n'aime pas ce monde.

Vous ne jouez pas aux gars supplémentaires juste pour les jouer. Vous les jouez parce qu'ils peuvent vous aider d'une manière ou d'une autre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jim_Boeheim

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