Qu'est-ce que la dette publique ? D'où vient l'inflation ? Le profit est-il source de progrès ? Le chômage est-il un mal nécessaire ? L'Etat nuit-il à l'investissement ? Mystérieuse et confuse, l'économie est trop souvent mise hors de la portée du citoyen ordinaire, qui n'en fait pas moins les frais de ses crises. Seuls les experts semblent autorisés à répondre à des questions dont dépend pourtant l'avenir de tous. Cette nouvelle édition du Petit cours d'autodéfense en économie arrive à point nommé pour rompre ce déséquilibre. Entièrement mis à jour, bonifié d'une solide réflexion sur les inégalités, l'ouvrage offre des synthèses claires et simples, appuyées sur l'analyse de situations concrètes. Stanford montre ici que dès qu'on a démystifié les rouages du capitalisme, tous peuvent le comprendre.

Petit cours d'autodéfense en économie - L'abc du capitalisme

Qu'est-ce que la dette publique? D'où vient l'inflation? Le profit est-il source de progrès? Le chômage est-il un mal nécessaire?? L'État nuit-il à l'investissement? Mystérieuse et confuse, l'économie est trop souvent mise hors de la portée du citoyen ordinaire, qui n'en fait pas moins les frais de ses crises. Seuls les experts semblent autorisés à répondre à des questions dont dépend pourtant l'avenir de tous.

Cette nouvelle édition du "Petit cours d'autodéfense en économie" arrive à point nommé pour rompre ce déséquilibre. Entièrement mis à jour, bonifié d'une solide réflexion sur les inégalités, l'ouvrage offre des synthèses claires et simples, appuyées sur l'analyse de situations concrètes. Stanford montre ici que dès qu'on a démystifié les rouages du capitalisme, tous peuvent le comprendre.

Qu'est-ce que la dette publique? D'où vient l'inflation? Le profit est-il source de progrès? Le chômage est-il un mal nécessaire ? L'État nuit-il à l'investissement? Mystérieuse et confuse, l'économie est trop souvent mise hors de la portée du citoyen ordinaire, qui n'en fait pas moins les frais de ses crises. Seuls les experts semblent autorisés à répondre à des questions dont dépend pourtant l'avenir de tous.

Cette nouvelle édition du "Petit cours d'autodéfense en économie" arrive à point nommé pour rompre ce déséquilibre. Entièrement mis à jour, bonifié d'une solide réflexion sur les inégalités, l'ouvrage offre des synthèses claires et simples, appuyées sur l'analyse de situations concrètes. Stanford montre ici que dès qu'on a démystifié les rouages du capitalisme, tous peuvent le comprendre.

Petit cours d'autodéfense en économie

Avec les sociétés conjointes, les investisseurs peuvent placer des paris sur le succès de nombreuses entreprises, sans avoir à jouer un rôle de gestion central dans l'une d'entre elles. Cela permet aux investisseurs de diversifier leurs avoirs financiers. Cela leur permet également de capturer des bénéfices sur leurs investissements, sans avoir à s'impliquer dans les activités sales et gênantes de gérer réellement une entreprise.

Le problème n'est pas une rareté; Le problème est le pouvoir.

Cette relation est le fondement de l'argument, avancé par certains syndicalistes et défenseurs du travail, que les salaires élevés peuvent en fait être "bons pour les affaires". Le précédent établi par Henry Ford en 1914, qui a offert aux travailleurs 5,00 $ par jour (un salaire très élevé à l'époque) afin qu'ils puissent se permettre d'acheter les mêmes voitures qu'ils fabriquaient, est souvent invoquée.

Les employeurs recherchent le pouvoir de pomper les travailleurs dont les performances sont jugées inférieures à se débarrasser de ces travailleurs particuliers, mais plus important encore pour motiver et discipliner le reste de la main-d'œuvre.

La croissance peut également impliquer la production de services au lieu de biens. En particulier, une expansion majeure des services publics et bienveillants (comme la garde d'enfants, l'éducation, les soins aux personnes âgées et d'autres programmes affirmant la vie) générerait d'énormes augmentations du PIB et des revenus, sans pratiquement aucun impact sur l'environnement.

Outre leur travail et leur production, les ménages remplissent d'autres fonctions économiques importantes. La plupart des CONSOMMATIONS se produisent au sein du ménage. … Dans les économies capitalistes développées, les dépenses de consommation privée représentent la moitié ou plus du PIB.

Essayez ceci: dites plusieurs fois les mots "globaux, globaux, mondiaux" à haute voix, aussi vite que possible. Vous vous retrouverez à ressembler à une dinde ("Gobble, Gobble, Gobble").

Les systèmes économiques viennent et les systèmes économiques vont. Aucun système économique ne dure éternellement. Le capitalisme ne devrait pas durer éternellement non plus.

Nous savons que l'investissement provoque une croissance. Mais il est également vrai que la croissance provoque des investissements.

En effet, si des planificateurs centraux communistes auraient pu organiser l'économie avec autant de détails, de précision et de flexibilité en tant que Toyota ou Wal-Mart moderne, le communisme existerait probablement encore.

Kalecki a donc prédit avec précision le demi-tour économique et politique qui s'est produit avec l'avènement du néolibéralisme. Kalecki a également fait valoir que les changements institutionnels fondamentaux, en particulier en ce qui concerne la fixation des salaires et d'autres aspects de la relation d'emploi, seraient essentiels si le plein emploi devait être maintenu.

Comme un comptable légiste essayant de résoudre une fraude d'entreprise, suivre la trace de l'argent autour du cercle est un bon moyen de comprendre ce qui se passe réellement au fur et à mesure que le capitalisme se déroule.

Le seul facteur qui pose un véritable défi à l'ordre actuel est la volonté des êtres humains de rejeter l'injustice et l'irrationalité de cette économie, et de défendre quelque chose de mieux. Le capitalisme ne tombera pas en compte, il doit être poussé.

La concurrence impitoyable, impitoyable, à la mort - est une caractéristique cruciale du capitalisme.

Tout le monde s'intéresse à l'économie: dans son fonctionnement, son fonctionnement et son fonctionnement et dans les intérêts desquels il fonctionne.

Le capitalisme, en revanche, existe depuis moins de 300 ans. Si toute l'histoire de Homo Sapiens a été une journée de 24 heures, alors le capitalisme existe pendant deux minutes.

Prouver que le profit est économiquement et moralement justifiable, plutôt que le résultat de l'exploitation, a été une préoccupation centrale des économistes néoclassiques.

L'économie est une science sociale, pas une science physique.

L'un des échecs flagrants du capitalisme est l'existence généralisée de la pauvreté - souvent l'extrême pauvreté. Même dans les économies avancées, de nombreuses millions de personnes endurent une terrible privation économique et sociale, malgré l'incroyable richesse tout autour d'eux.

Le revenu de dividende total déclaré en 1995 par les 9,7 millions de fiscalistes canadiens inférieurs (47% de tous ceux qui soumettent des déclarations de revenus) étaient de 310 millions de dollars. Le revenu de dividende estimé reçu par la famille Thomson en 1995, par rapport à sa part de propriété de 72% de la Thomson Corporation et sa part de propriété de 22% de la société d'Hudson's Bay était de 310 millions de dollars.

Si vous voulez que les pauvres travaillent, vous restaurez leur incitation en leur donnant moins, comme en coupant les services sociaux. Si vous voulez que des riches travaillent, vous restaurez leur incitation en leur donnant plus, comme en réduisant les impôts.

Ne faites jamais confiance à un économiste avec votre travail. Apprenez-vous sur l'économie vous-même. Et se décidez-vous sur ce qui pourrait protéger votre travail - et ce qui pourrait le détruire.

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