Applekirk est un village rural situé dans les Marches, la région centrale d'un monde où le temps ne s'écoule pas à la même vitesse selon que l'on se trouve à l'est - où la magie est très puissante et où vivent les dieux - ou à l'ouest - où la magie est totalement absente. 

C'est la fin de l'été, et la vie s'écoule paisiblement pour les villageois. Mais le manoir va être mis sens dessus dessous par le retour de Hanethe, qui fut autrefois la maîtresse des lieux. Partie en Orient, elle y est restée quelques dizaines d'années. Mais, plus à l'ouest, à Applekirk, plusieurs générations se sont succédé. Ayant provoqué la colère d'Agdisdis, la déesse du mariage, Hanethe la fuit. Mais Agdisdis est bien décidée à se venger. 

Subtil roman de fantasy - prix Mythopoeic -, Pierre-de-vie dresse le portrait de femmes simples et merveilleuses, d'une famille sans histoires mais singulière, confrontées à des changements qui les dépassent, dans un monde hors du commun.

Pierre-de-vie

Applekirk est un village rural situé dans les Marches, la région centrale d'un monde où le temps ne s'écoule pas à la même vitesse selon que l'on se trouve à l'est - où la magie est très puissante et où vivent les dieux - ou à l'ouest - où la magie est totalement absente. 
C'est la fin de l'été, et la vie s'écoule paisiblement pour les villageois. Mais le manoir va être mis sens dessus dessous par le retour de Hanethe, qui fut autrefois la maîtresse des lieux. Partie en Orient, elle y est restée quelques dizaines d'années. Mais, plus à l'ouest, à Applekirk, plusieurs générations se sont succédé. Ayant provoqué la colère d'Agdisdis, la déesse du mariage, Hanethe la fuit. Mais Agdisdis est bien décidée à se venger. 
Subtil roman de fantasy - prix Mythopoeic -, Pierre-de-vie dresse le portrait de femmes simples et merveilleuses, d'une famille sans histoires mais singulière, confrontées à des changements qui les dépassent, dans un monde hors du commun.

À soixante-treize ans, Sylvia Harrison est une autrice à succès ayant déjà publié plus d'une trentaine de romans. Le prochain se déroulera à Thalia, une cité qui ressemble beaucoup à Florence et qu'elle a imaginée pour la trilogie qui a lancé sa carrière. Afin de nourrir son inspiration, elle se rend en Italie et va, une nouvelle fois, faire appel à lui.

Lui ? Il apparaît dans presque tous ses romans. Il a été dragon, voleur, guerrier et même dieu. Il est celui grâce à qui Sylvia a créé ses personnages les plus marquants. Celui à qui elle parle en son for intérieur depuis des décennies. Celui qui l'a sauvée, qu'elle a chassé, qu'elle a accueilli de nouveau. Celui qui s'éteindra avec elle, lorsqu'elle décédera. S'éteindre ? Ça, il ne peut l'accepter.

Histoire trépidante, méditation sur la réalité et la fiction, Ou ce que vous voudrez est une magnifique lettre d'amour à Florence, à la Renaissance et à la littérature.

Ou ce que vous voudrez

Applekirk est un village rural situé dans les Marches, la région centrale d'un monde où le temps ne s'écoule pas à la même vitesse selon que l'on se trouve à l'est — où la magie est très puissante et où vivent les dieux — ou à l'ouest — où la magie est totalement absente. C'est la fin de l'été, et la vie s'écoule paisiblement pour les villageois. Mais le manoir va être mis sens dessus dessous par le retour de Hanethe, qui fut autrefois la maîtresse des lieux. Partie en Orient, elle y est restée quelques dizaines d'années. Tandis que, plus à l'ouest, à Applekirk, plusieurs générations se sont succédé. Ayant provoqué la colère d'Agdisdis, la déesse du Mariage, Hanethe la fuit. Mais Agdisdis est bien décidée à se venger. Subtil roman de fantasy — prix Mythopoeic en 2010 —, Pierre-de-vie dresse le portrait d'une famille sans histoires mais singulière, de femmes simples et merveilleuses confrontées à des changements qui les dépassent, dans un monde hors du commun.

Née en 1926, Patricia Cowan finit ses jours dans une maison de retraite.
Très âgée, très confuse, elle se souvient de ses deux vies. Dans l'une de ces existences, elle a épousé Mark, avec qui elle avait partagé une liaison épistolaire et platonique, un homme qui n'a pas tardé à montrer son véritable visage. Dans son autre vie, elle a enchaîné les succès professionnels, a rencontré Béatrice et a vécu heureuse avec cette dernière pendant plusieurs décennies. Dans chacune de ces vies, elle a eu des enfants. Elle les aime tous... Mais lesquels sont ses vrais enfants : ceux de l'âge nucléaire ou ceux de l'âge du progrès ? Car Patricia ne se souvient pas seulement de ses vies distinctes, elle se souvient de deux mondes où l'Histoire a bifurqué en même temps que son histoire personnelle.

Mes vrais enfants

Une femme, deux vies, deux univers.
Née en 1926, Patricia Cowan finit ses jours dans une maison de retraite.
Très âgée, très confuse, elle se souvient de ses deux vies. Dans l'une de ces existences, elle a épousé Mark, avec qui elle avait partagé une liaison épistolaire et platonique, un homme qui n'a pas tardé à montrer son véritable visage. Dans son autre vie, elle a enchaîné les succès professionnels, a rencontré Béatrice et a vécu heureuse avec cette dernière pendant plusieurs décennies. Dans chacune de ces vies, elle a eu des enfants, différents. Elle les aime tous... Mais lesquels sont ses vrais enfants : ceux de l'âge nucléaire ou ceux de l'âge du progrès ?
Car Patricia ne se souvient pas seulement de ses vies distinctes, elle se souvient de deux mondes où l'Histoire a bifurqué en même temps que son histoire personnelle.

Mes vrais enfants ; une femme, deux vies, deux univers

Startling, unusual, and yet irresistably readable, Among Others is at once the compelling story of a young woman struggling to escape a troubled childhood, a brilliant diary of first encounters with the great novels of modern fantasy and science fiction, and a spellbinding tale of escape from ancient enchantment.Raised by a half-mad mother who dabbled in magic, Morwenna Phelps found refuge in two worlds. As a child growing up in Wales, she and her twin sister played among the spirits who made their homes in industrial ruins, but her mind found freedom and promise in the science fiction novels that were her closest companions. When her mother tries to bend the spirits to dark ends with deadly results, Mori is sent away and must try to come to terms with what has happened without falling prey to the darkness.

Morwenna

Morwenna Phelps, qui préfère qu'on l'appelle Mori, est placée par son père dans l'école privée d'Arlinghurst, où elle se remet du terrible accident qui l'a laissée handicapée et l'a privée à jamais de sa sœur jumelle, Morganna. Là, Mori pourrait dépérir, mais elle découvre le pouvoir des livres de science-fiction. Delany, Zelazny, Le Guin et Silverberg peuplent ses journées, la passionnent. Un jour, elle reçoit par la poste une photo qui la bouleverse, où sa silhouette a été brûlée. Que peut faire une adolescente de seize ans quand son pire ennemi, potentiellement mortel, est une sorcière, sa propre mère qui plus est? Elle peut chercher dans les livres le courage de combattre. Ode à la différence, journal intime d'une adolescente qui parle aux fées, Morwenna est aussi une plongée inquiétante dans le folklore gallois. Ce roman touchant et bouleversant a été récompensé par les deux plus grands prix littéraires de la science-fiction : le prix Hugo et le prix Nebula. Il a en outre reçu le British Fantasy Award.

J'avais dit que les mondes de Le Guin étaient réels parce que son peuple était si réel, et il a dit oui, mais les gens étaient si réels parce qu'ils étaient les gens que les mondes auraient produits. Si vous mettez Ged pour grandir sur Anarres ou Shevek à Earthsea, ce seraient les mêmes personnes, les antécédents ont fait les gens, ce que vous voyez bien sûr tout le temps dans la fiction traditionnelle, mais c'est rare dans SF.

Cela n'a pas d'importance. J'ai des livres, de nouveaux livres, et je peux tout supporter tant qu'il y a des livres.

Je lis le Seigneur des Anneaux. Je voulais soudain. Je le sais presque par cœur, mais je peux toujours y plonger. Je ne connais aucun autre livre qui ressemble tellement à un voyage. Quand je l'ai mis à cela, j'ai l'impression que j'attends aussi avec Pippin les échos de cette pierre dans le puits.

Je me suis assis sur le banc près des saules et à mon chignon au miel et j'ai lu Triton. Il y a des choses horribles dans le monde, c'est vrai, mais il y a aussi de grands livres. Quand je serai grand, je voudrais écrire quelque chose que quelqu'un pouvait lire assis sur un banc un jour qui n'est pas si chaud et qu'il pouvait s'asseoir et oublier totalement où il était ou à quelle heure il était pour qu'ils soient plus à l'intérieur du livre qu'à l'intérieur de leur propre tête. Je voudrais écrire comme Delany ou Heinlein ou Le Guin.

Avan était aussi religieux que le prochain jeune dragon avec sa façon de faire dans le monde - qui veut dire qu'il a exprimé de nombreuses croyances traditionnelles qu'il n'avait jamais arrêtées pour examiner, a assisté à l'église parce que cela aurait semblé étrange, rarement payé beaucoup Attention quand il était là et a trouvé la piété hors de la chaire complètement déplacée.

L'une des choses que j'ai toujours aimé dans la science-fiction est la façon dont cela vous fait penser aux choses et regarder les choses aux angles auxquels vous n'auriez jamais pensé auparavant.

Les prêts entre bibliothèques sont une merveille du monde et une gloire de civilisation.

Vous ne pouvez pas faire de magie avec des livres à moins qu'ils ne soient des copies très spéciales.

La lecture est géniale et flexible et s'adapte aux tâches et gagnant de l'argent et en construisant l'avenir et tout ce que je fais ce jour-là. Mon attitude envers la lecture est entièrement épicurien - la lecture est le plaisir et je le poursuit uniquement parce que je l'aime.

Bibliotrope ", a déclaré Hugh." Comme les tournesols sont héliotropes, ils se tournent naturellement vers le soleil. Nous nous tournons naturellement vers la librairie.

Je me soucie plus des gens dans les livres que les gens que je vois chaque jour.

La chose à propos de Tolkien, du Seigneur des Anneaux, est qu'il est parfait. C'est ce monde entier, tout ce processus d'immersion, ce voyage. Ce n'est pas, je suis presque sûr, en fait vrai, mais cela rend plus incroyable, que quelqu'un puisse tout faire. Le lire change tout.

Il y a un lever de soleil et un coucher de soleil tous les jours, et ils sont absolument gratuits. Ne manquez pas autant d'entre eux.

Si le but de la littérature est d'éclairer la nature humaine, le but de la littérature fantastique est de le faire dans une perspective plus large. Vous pouvez dire différentes choses sur ce que signifie être humain si vous pouvez comparer cela à ce que signifie être un robot, un étranger ou un elfe.

Avant d'obtenir des lunettes, je pensais que Monet était le seul peintre paysager réaliste au monde.

Vous savez, la classe est comme la magie. Il n'y a rien là-bas pour dire, il s'évapore si vous essayez de l'analyser, mais c'est réel et cela affecte la façon dont les gens se comportent et font bouger les choses.

La paix signifie quelque chose de différent de «ne pas se battre». Ce ne sont pas des défenseurs de la paix, ce sont des défenseurs «cesser de se battre». La paix est une chose active et complexe et parfois les combats font partie de ce qu'il faut pour l'obtenir.

Tolkien a compris les choses qui se produisent après la fin. Parce que c'est après la fin, c'est toute la disparition de la comté, c'est de savoir comment vivre dans le temps qui n'était pas censé se produire après le dernier stand glorieux. J'ai sauvé le monde, ou je pense que je l'ai fait, et regarde, le monde est toujours là, avec des couchers de soleil et des prêts interlibraires. Et ça ne se soucie pas de moi plus que le Shire ne se souciait de Frodon.

Les bibliothèques sont vraiment merveilleuses. Ils sont meilleurs que les librairies, même. Je veux dire que les librairies font un profit sur votre vente de livres, mais les bibliothèques sont restées là, vous prêtant des livres tranquillement hors de la bonté de leur cœur.

Toutes les fermes se ressemblent partout et tous les lieux sauvages ont leur propre beauté.

Il y a des choses horribles dans le monde, c'est vrai, mais il y a aussi de grands livres.

La classe est entièrement intangible, et la façon dont elle affecte les choses n'est pas sujette à une analyse scientifique, et elle n'est pas censée être réelle, mais elle est omniprésente et puissante. Voir; Tout comme la magie.

Je ne pense pas que je suis comme les autres. Je veux dire à un niveau fondamental profond. Ce n'est pas seulement être un demi-jumeau et lire beaucoup et voir des fées. Ce n'est pas seulement d'être dehors quand ils sont tous à l'intérieur. J'étais à l'intérieur. Je pense qu'il y a un moyen de me retirer et de regarder les choses en arrière quand ils se produisent, ce qui n'est pas normal.

Ce que vous ne pouvez pas rembourser, vous payez.

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