Joseph Michael "Joe" Arpaio, né le 14 juin 1932 à Springfield, est un ancien shérif du comté de Maricopa, en Arizona.
Il se surnomme lui-même « Le shérif le plus coriace d’Amérique » ou « le shérif le plus dur d'Amérique ».

Un "paradis libéral" serait un endroit où tout le monde aurait un emploi garanti, des soins de santé complets et gratuits, une éducation gratuite, de la nourriture gratuite, un logement gratuit, des vêtements gratuits, des services publics gratuits et où seuls les membres des forces de l'ordre seraient armés. Et, croyez-le ou non, une telle utopie libérale existe bel et bien. ... Elle s'appelle la prison.

Quand vous voyez un blanc à trois heures du matin sur votre rythme dans une ruelle, vous - "Qu'est-ce que ce gars fait ici?"

Je travaille sur Leno. Il est de mon pays d'origine, le Massachusetts. Et mon pays d'origine, Italie. J'ai dit: «Hé, Jay, pourquoi tu ne m'as pas dans ton émission? Peur d'être plus drôle que toi?

Je ne compte pas sur les médias. Je moyenne un discours en moyenne par jour pendant 25 ans. Les gens me connaissent parce que je suis là-bas.

Donald Trump est un leader. Il produit des résultats et est prêt à devenir difficile afin de protéger les emplois et les familles américaines.

Je ne suis pas intéressé par le vice-président. Je traîne dans l'Arizona. Je cours à nouveau pour le shérif.

Je pense toujours que les gens aiment entendre le cœur de quelqu'un et comment ils se sentent vraiment que la vieille rhétorique politique essayant de ne pas dire la mauvaise chose parce que cela ressemblerait-il, obtiendrait-il des votes, perdrait des voix.

Je ne jette pas les gens sous le bus. Quand je m'en tiens à un gars - je ne suis peut-être pas d'accord avec lui tout le temps, mais je ne le jette certainement pas sous le bus.

Certaines personnes m'appellent un chien de publicité.

Je crois que Donald Trump est le meilleur gars pour le président; Et je ne vais pas hésiter et je prends le risque. Je pourrais juste rester à la maison et ne parler aucun candidat.

Je parle juste, et je dis ce que je ressens, et pourtant, je suis un gars sympa.

Je ne me regarde pas en prenant des risques ou si cela va m'affecter politiquement.

J'adore le président Donald Trump. Il soutient les forces de l'ordre et je suis très humilié. J'ai dit publiquement, récemment, pardon ou pas de pardon, je serai avec lui jusqu'à la fin.

J'avais même l'habitude d'arrêter les véhicules à traverser des panneaux d'arrêt, même si je marchais.

Peut-être qu'aujourd'hui, vous auriez pu tirer sur n'importe qui et vous en sortir. Il y a donc plusieurs fois, j'aurais pu tuer des gens. Légalement, j'aurais pu tuer beaucoup de gens, en particulier en travaillant sous couverture.

Je préfère faire rapport à quatre millions de personnes en tant que shérif élu que par un gouverneur ou un président, donc j'aime me présenter au peuple.

Mais bon, la controverse - eh bien, ça ne m'a pas fait de mal depuis 50 ans.

Peu importe que vous soyez noir, hispanique, blanc. Ils sont tous dans le même bateau.

Je me sentirais plus à l'aise de parler aux Noirs, aux Hispaniques ou aux zones pauvres. Je me sens plus chez moi, croyez-le ou non.

Vous faites des accords en affaires et au gouvernement si vous êtes intelligent.

Non pas que j'ai jamais fait quelque chose de mal. J'étais juste agressif. C'est ainsi que je suis dans ma vie.

Mais croyez-moi, il y a beaucoup de choses que j'aimerais dire - mais je ne pense pas que le moment soit en ce moment.

Nous apprenons par nos problèmes. Nous corrigeons nos lacunes s'il y en a.

Je n'utilise pas de courrier électronique ou de messageme en arrière ou peu importe son appel.

Je suis en quelque sorte un gars à l'ancienne.

Je suis un gars de l'application des lois sur l'égalité de l'opportunité - je verrouille tout le monde.

Tout ce que j'ai fait dans les prisons - gangs de chaîne, tout - je n'ai pas changé la politique. Je l'ai fait, je me tiens à côté et je ne vais pas changer.

Je pense que [l'immigration] est toujours un problème, que ce soit 11 millions ou 2 millions. Pourquoi est-ce - pourquoi la situation a-t-elle diminué? Allons-nous dire à cause de la répression ou allons-nous dire que les emplois ne sont pas là?

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