A Magazine of Science Fiction and Fantasy ISSUE 47: November 2020Lezli Robyn, EditorMartin Shoemaker, Assistant EditorTaylor Morris, CopyeditorShahid Mahmud, Publisher Stories by: Andrea Stewart, Nancy Kress, Michael Swanwick, J. Scott Coatsworth, Mike Resnick & Jean-Claude Dunyach, Barb Galler-Smith, Joe Haldeman, Dantzel Cherry, by John Haas, Jack McDevitt, Larry Hodges Serialization: Midnight at the Well of Souls by Jack L. Chalker Columns by: Gregory Benford, L. Penelope Recommended Books: Richard Chwedyk Galaxy's Edge is a bi-monthly magazine published by Phoenix Pick, the science fiction and fantasy imprint of Arc Manor, an award winning independent press based in Maryland. Each issue of the magazine has a mix of new and old stories, a serialization of a novel, columns by L. Penelope and Gregory Benford, and book recommendations by Richard Chwydyk.

Galaxy’s Edge Magazine: Issue 47 November 2020 - Galaxy's Edge, #47

A Magazine of Science Fiction and Fantasy ISSUE 32: May 2018Mike Resnick, EditorTaylor Morris, CopyeditorShahid Mahmud, PublisherStories: Effie Seiberg, Alex Shvartsman, Kristine Kathryn Rusch, Laurence Raphael Brothers, Karlo Yeager Rodríguez, Gardner Dozois, Walter Dinjos, Leah Cypess, Kij Johnson, Brian K. Lowe, Brian Trent,  Joe Haldeman, Barry N. MalzbergSerialization: Daughter of Elysium by Joan SlonczewskiColumns by: Robert J. Sawyer, Gregory BenfordRecommended Books: Bill Fawcett and Jody Lynn NyeInterview: Joy Ward interviews Catherine AsaroGalaxy's Edge is a Hugo-nominated bi-monthly magazine published by Phoenix Pick, the science fiction and fantasy imprint of Arc Manor, an award winning independent press based in Maryland. Each issue of the magazine has a mix of new and old stories, a serialization of a novel, columns by Robert J. Sawyer and Gregory Benford, book recommendations by Bill Fawcett and Jody Lynn Nye and an interview conducted by Joy Ward.

Galaxy’s Edge Magazine: Issue 32, May 2018 - Galaxy's Edge, #32

La guerre éternelle Imaginez une guerre si vaste que l'écho des batailles peut mettre plusieurs siècles à parvenir aux oreilles de ceux qui les ont ordonnées... enfin, de leurs descendants, en tout cas. Pour le soldat Mandella, membre de l'une des unités d'élite chargées de combattre les Taurans, le problème est inverse : lorsqu'il revient sur Terre après plusieurs mois de campagne, des décennies se sont écoulées. Comment continuer à vivre, quand tout ce pour quoi on s'est battu n'existe plus?

La Guerre éternelle

Signez et re-signez là pour 1 141 ans ! Le soldat William Mandella, après un entraînement plutôt extrême, part au front, très loin, défier un ennemi, les Taurans, dont on ne connaît quasiment rien. Mais aller faire la guerre à l’autre bout de la galaxie, c'est se confronter au temps. Pour celui qui voyage à une vitesse proche de celle de la lumière, le temps passe lentement, très lentement, alors qu’il défile pour le reste de l'humanité. Et tandis qu’il nous raconte vie militaire et combats, sur un ton d’ironie et de causticité, l’humanité change. À chacun de ses retours sur la planète mère, William Mandella en découvre les modifications, et perd peu à peu tous ses repères. Alors autant continuer le combat. Jusqu’au jour de la démobilisation, qui sera plein de surprises. Space opera militaire, La Guerre éternelle est un passionnant roman aux forts accents pacifistes.

Une guerre qui n'en finit jamais.
Jusque-là, personne n'avait jamais vu les Taurans, ni su à quoi ils ressemblaient, ni même connu leurs véritables intentions. Mais une fusée terrienne fut détruite par les ennemis extraterrestres, c'est du moins ce qu'annonça la télévision. Aussitôt, politiciens et généraux décrétèrent qu'il fallait en finir une fois pour toutes avec cette menace intolérable. Cela commença avec la Grande Conscription de 2009 et la constitution d'un corps expéditionnaire d'élite. C'est ainsi que Marygay Potter et William Mandella furent embringués dans une guerre qui allait durer plus de mille ans...

Un classique de la bande dessinée de science-fiction.
Fruit de l'expérience de Joe Haldeman, combattant au Viêt-nam, La Guerre éternelle, le roman The Forever War, 1974, obtint le Prix Hugo et le Prix Nebula, les deux plus hautes distinctions de la science-fiction anglo-saxonne. Son adaptation en bande dessinée par Marvano, en trois volumes, parus en 1988 et 1989, devint l'un des fleurons de la collection "Aire Libre" et de la bande dessinée de science-fiction. Enrichie d'illustrations inédites et d'une interview croisée de Marvano et Haldeman, cette édition intégrale devrait consacrer La Guerre éternelle comme l'une des références incontournables de la bande dessinée contemporaine.

La guerre éternelle : Intégrale Tomes 1 à 3

Des êtres multiformes et télépathes anéantissent avec une violence inouïe les membres d'une expédition de routine chargée d'explorer une planète jugée sans danger. On ignore tout de leurs mobiles, aucune communication avec eux n'est possible. Or tout porte à croire qu'ils se préparent à envahir la Terre.Dernier espoir de l'humanité : établir le contact avec eux par le truchement d'un petit animal extraterrestre récemment découvert sur une autre planète ; un animal ayant la particularité d'établir un lien psychique entre les deux êtres qui le touchent en même temps.Mais la compréhension peut-elle naître entre deux races orgueilleuses que tout semble opposer ?

Pontesprit

Lorsque John Baird, universitaire spécialiste d'Hemingway, rencontre par hasard le faussaire Castle, une idée apparemment judicieuse leur vient à l'esprit : pourquoi ne pas recréer de toutes pièces les manuscrits de jeunesse que l'auteur du Vieil homme et la mer a perdus en 1922, avant de les publier ? Un moyen pour Baird de se payer la tête de ses collègues et néanmoins amis, gonflés de suffisance.Les deux compères dénichent une vieille Corona d'un modèle identique à la machine à écrire qu'utilisait l'écrivain. Et le projet suit son cours, jusqu'à ce que Baird soit assassiné par un être étrange doté de facultés surhumaines.Petit détail : cet inconnu est le sosie parfait d'Hemingway...

Le vieil homme et son double

Captain James T. Kirk and the crew of the Enterprise face a foe of incredible power and intelligence--a nightmare image from humanity's past. Reissue.

Le monde sans fin (Star Trek #21)

J'ai toujours apprécié le calme, et l'éternité à laquelle je fais face n'est pas plus affreuse que l'éternité du calme qui a précédé ma naissance.

[Spielberg et moi] avions un désaccord sur ce que Dieu était ... Il pensait que Dieu était Stephen Spielberg, mais cette pensée ne m'est jamais venue à l'esprit.

Voyager n'importe où dans le monde implique un risque. Vous pouvez toujours choisir de passer votre vie à se recroqueviller sous votre lit.

On ne peut pas prendre de décisions de commandement simplement en évaluant la situation tactique et en allant de l'avant avec n'importe quelle ligne de conduite fera le plus de mal à l'ennemi avec un minimum de décès et de dégâts à vos propres hommes et matériaux. La guerre moderne est devenue très complexe, surtout au cours du siècle dernier. Les guerres ne sont pas gagnées par une simple série de batailles gagnées, mais par une interrelation complexe parmi la victoire militaire, les pressions économiques, les manœuvres logistiques, l'accès à l'information ennemi, les postures politiques - les addosens, littéralement des dizaines de facteurs.

Je ne pense pas que j'aurais écrit un roman de combat si j'avais suivi une formation militaire en temps de paix. En fait, je pense que je serais probablement resté poète et que j'aurais écrit des nouvelles de temps en temps.

Les médecins ne semblent pas se rendre compte que la plupart d'entre nous sont parfaitement satisfaits de ne pas avoir à nous visualiser comme des sacs de peau animés remplis de glop obscène.

Il n'y a pas d'écriture sur l'avenir. L'avenir ne s'est pas encore produit.

Big Money cherche ses propres sociétés, à des fins de reproduction.

Le rationalisme ne nécessite pas de «croyance», seulement de l'observation. Le monde réel et mesurable ne se soucie pas de ce que vous croyez.

On espère qu'ils ne pourront jamais utiliser des armes de contrôle mental, car nous avons tous terminé si cela se produit. Je ne veux pas que les militaires ou les politiques aient ce type de pouvoir sur ceux d'entre nous qui s'en sortent au jour le jour.

La plupart des sciences-fiction concernent des hommes blancs qui ont 25 à 30 ans, qui sont très intelligents, qui sont confrontés à un problème physique et à le résoudre.

J'ai rencontré Heinlein après que «The Forever War» ait remporté les prix Hugo et Nebula. Il m'a serré la main et a dit qu'il aimait tellement le livre, il l'avait lu trois fois.

Toute expérience est mémoire, et donc tout ce que vous écrivez vient de la mémoire, à moins que vous écriviez sur la dactylographie.

N'écrivez pas ce que vous savez. Faites quelque chose de nouveau!

Il est juste de dire que l'Amérique blanche n'aurait pas élue président afro-américain sans l'effet d'intégration de la musique noire - de Louis Armstrong au hip-hop - et au drame et à la fiction noirs, commerciaux autant que «sérieux».

Ce soir, nous allons vous montrer huit façons silencieuses de tuer un homme.

Il y a quelque chose de spécial dans l'écriture à la main, l'écriture avec un stylo plume, et il y a quelque chose de spécial dans l'écriture dans un livre, pour prendre un livre vierge et le transformer en un livre réel.

Personne ne peut échapper à la relativité einsteinienne, et aucun soldat ou vétéran ne peut échapper au traumatisme de la dislocation de la guerre.

L'art politique - pas toujours une contradiction en termes - peut détruire les institutions ou les manger.

Un bon signe qu'une armée existe depuis trop longtemps, c'est qu'il commence à devenir lourd avec des officiers.

Il faudrait vous remettre dans les années 1960 pour comprendre à quel point les soldats de la vie américaine se sentaient séparés, parce que nous savions que les étudiants et les autres manifestaient assez violemment contre ce que nous faisions.

Hemingway était un con. Je veux dire qu'il était vraiment un grand con. C'était un bon écrivain, et il a fait toutes sortes de choses que je n'aurais jamais le courage de faire, mais je ne pense pas que j'apprécierais d'être dans la même pièce avec lui. Ce n'est pas mon genre de personne.

Je pense que j'aurais été écrivain de toute façon, dans le sens où j'aurais écrit une histoire de temps en temps, ou continué à écrire de la poésie. Mais c'est l'expérience de la guerre et les deux romans que j'ai écrits sur le Viêt Nam qui m'ont vraiment permis de devenir un écrivain professionnel.

Aucune bonne action ne reste impunie. J'ai raté l'atterrissage de la lune en étant gentil avec un étranger.

Je pense que tout écrivain continue de revenir à un thème de base. Parfois, c'est autobiographique. Je suppose que c'est généralement le cas.

La relativité l'a soutenue, lui a du moins donné l'illusion d'être là… la façon dont toute réalité devient illusoire et orientée observateurs lorsque vous étudiez la relativité générale. Ou le bouddhisme. Ou être rédigé.

Je soupçonne que la guerre ne deviendra obsolète que lorsque quelque chose de pire le remplace.

Le pire conseil qu'un jeune écrivain puisse obtenir est "d'écrire ce que vous savez". L'imagination est plus importante que l'expérience.

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