Avec neuf photos supplémentaires, un format plus grand et une chronologie élargie et mise à jour, cette nouvelle édition révisée de Walking the High Line de Joel Sternfeld documente la voie ferrée de fret surélevée envahie par la végétation au-dessus du West Side de New York, avant d'être transformée en parc public High Line en 2009.

Joel sternfeld walking the high line (new edition 2020)

American prospects

Joel Sternfeld, Rome after Rome

Landscape after Ruskin - Redefining the Sublime

Landscape of Longing

Joel Sternfeld (né le 30 juin 1944 à New York) est un photographe américain travaillant principalement à la chambre photographique.
Son livre American Prospects (publié en 1987 et réédité en 2003) lui a valu une reconnaissance internationale.

La photographie a toujours été capable de manipulation. Encore plus subtil et plus invite est le fait que chaque fois que vous mettez un cadre au monde, c'est une interprétation. Je pouvais obtenir mon appareil photo et le pointer de deux personnes et ne pas le pointer au troisième sans-abri à droite du cadre, ou ne pas inclure le meurtre qui se déroule à gauche du cadre. Vous prenez 35 degrés sur 360 degrés et appelez cela une photo. Il y a un nombre infini de façons de le faire: les photographies ont toujours été rédigées.

Certaines des personnes qui manipulent maintenant des photos, comme Andreas Gursky, font l'argument - à juste titre - que les photographies «droites» des années 40 et 50 n'étaient pas une telle chose. Ansell Adams giflait un filtre rouge sur son objectif, puis passait trois jours à brûler et à esquiver dans la pièce sombre, faisant ses imprimés. C'est une manipulation. Même les photographies de Henri Cartier-Bresson, avec tout le respect de lui, sont notoirement brûlées et esquivées.

Certaines personnes considèrent que l'utopie dérive de la nature. Pour certaines personnes, l'utopie est la ville.

Avec une photographie, vous vous retrouvez avec les mêmes modes d'interprétation que vous avec un livre. Vous demandez: «Que savons-nous de l'auteur et de leurs antécédents? Qu'est-ce que je sais du sujet?

Aucune photo individuelle n'explique rien. C'est ce qui fait de la photographie un support merveilleux et problématique. C'est le travail du photographe d'obtenir ce support pour dire ce dont vous avez besoin pour dire. Parce que la photographie a une certaine vraisemblance, elle a gagné une monnaie aussi véridique - mais les photographies ont toujours été des mensonges convaincants.

J'ai adoré la High Line quand ce n'était que la mienne, quand j'étais la seule personne là-haut, et j'avais un parc privé à New York. J'ai dû prendre rendez-vous pour le voir ... je me promenais. J'étais tout seul.

Je pouvais obtenir mon appareil photo et le pointer de deux personnes et ne pas le pointer au troisième sans-abri à droite du cadre, ou ne pas inclure le meurtre qui se déroule à gauche du cadre.

Vous prenez 35 degrés sur 360 degrés et appelez cela une photo. Aucune photo individuelle n'explique rien. C'est ce qui fait de la photographie un support merveilleux et problématique.

Le noir et blanc est abstrait; La couleur ne l'est pas. En regardant une photo en noir et blanc, vous regardez déjà un monde étrange.

Même les photographies de Henri Cartier-Bresson, avec tout le respect de lui, sont notoirement brûlées et esquivées.

Lorsque vous avez l'unité, je pense que cela est à la portée ou à la puissance de l'œuvre.

L'imprimé numérique devient l'apparence de notre temps, et cela fait commencer l'impression C à un type de tinype.

En regardant une photo en noir et blanc, vous regardez déjà un monde étrange.

Pour moi, c'était une sorte de suicide de carrière de travailler en couleur, mais je l'ai fait parce que je me suis perçu dès le début pour être intéressé par la saisonnalité - le changement des saisons - c'est ce que j'ai profondément aimé.

Un photographe doit choisir une palette comme les peintres choisissent la leur.

La photographie a toujours été capable de manipulation.

Pour moi, c'était une sorte de suicide en carrière de travailler en couleur, mais je l'ai fait parce que je me suis perçu dès le début de son début pour la saisonnalité - le changement des saisons - c'est ce que j'ai profondément aimé.

Le travail du photographe couleur est de fournir un certain niveau d'abstraction qui peut éliminer l'image du quotidien.

Personne ne peut dire combien de temps le processus d'extinction humaine pourrait prendre, mais au fur et à mesure qu'il se déroule, le même ordre mondial prévaudra qui prévalera toujours: les nations riches trouveront des moyens de se protéger et de se rendre à l'aise, tandis que les nations pauvres et les pauvres de la planète souffrira.

Tout mon travail concernait des idées d'utopie et de dystopie. Je pense que c'est ce qui suscite l'intérêt de l'Amérique. C'est beaucoup de choses à la fois. C'est une société tellement compliquée.

J'ai grandi à Belle Harbor, qui est à New York, mais il a le sens le plus puissant de la nature et des saisons. Ce n'était même pas la plage et l'eau. J'ai juste rêvé de tout ce qui avait à voir avec la nature. J'ai lu sur Thoreau.

Aucune photo individuelle n'explique rien. C’est ce qui fait de la photographie un médium si merveilleux et problématique.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joel_Sternfeld

Ses oeuvres

Ses derniers livres