A stunning collection of work from beloved poet John Ashbery, his first posthumous book Renowned for his inventive mind, ambitious play with language, and dexterity with a wide range of tones and styles, John Ashbery has been a major artistic figure in the cultural life of our time. Parallel Movement of the Hands gathers unpublished, book-length projects and long poems written between 1993 and 2007, along with one (as yet) undated work, to showcase Ashbery's diverse and multifaceted artistic obsessions and sources, from children's literature, cliffhanger cinema reels, silent films, and classical music variations by Beethoven's pupil Carl Czerny to the history of early photography. Ashbery even provides a fresh and humorous take on a well-worn parable from the Gospel of Matthew. These works demonstrate that while producing and publishing the shorter, discrete poems often associated with his late career, Ashbery continued to practice the long-form, project-based writing that has long been an important element of his oeuvre. Edited and introduced by Ashbery's former assistant poet Emily Skillings and including a preface by acclaimed poet and novelist Ben Lerner, this compelling and varied collection offers new insights into the process and creative interests of a poet whose work continues to influence generations of artists and poets with its signature intertextuality, openness, and simultaneity. A landmark publication of never-before-seen works, this book will enlighten scholars as well as new readers of one of America's most prominent and celebrated poets.

Parallel Movement of the Hands - Five Unfinished Longer Works

Il s´agit ici d´une édition critique de l´Autoportrait dans un miroir convexe qui révèle John Ashbery au grand public en 1975 : le livre reçoit simultanément les trois plus prestigieux prix littéraires américains, le Pulitzer Prize for Poetry, le National Book Award for Poetry et le National Book Critics Circle Award for Poetry. L´Autoportrait dans un miroir convexe tire son nom d´un long poème, méditation métaphysique de l´auteur sur l´autoportrait réalisé en 1524 par le peintre italien Parmigianino. Il s´agit, comme dans les autres poèmes du livre, d´une partie de cache-cache du poète avec ses images, ses ombres et ses formes. Ce jeu sérieux et drôle mène parfois, au détour d´un vers, au sourire mélancolique du poète qui invite le lecteur à se regarder lui aussi dans le miroir du poème. Cette nouvelle traduction est suivie d´essais d´écrivains et universitaires qui ont côtoyé John Ashbery et ont contribué à le faire connaître en France.

Autoportrait dans un miroir convexe

A crackling, moving new collection from one of America's greatest living poets. In over twenty-six original books, the poems of John Ashbery have long served as signposts guiding us through the delights, woes, hypocrisies, and uncertainties of living in the modern world. With language harvested from everyday speech, fragments of pop culture, objects and figures borrowed from art and literature, his work makes light out of darkness, playing with tone and style to show how even the seemingly frivolous stuff of existence can be employed to express the deepest levels of feeling. Commotion of the Birds showcases once again Ashbery's mastery of a staggering range of voices and his singular lyric agility: wry, frank, contemplative, resigned, bemused, and ecstatic. The poet in this new collection is at once removed from and immersed in the terrain of his examination. Disarmingly conversational, he invites the reader to join him in looking out onto the future with humor, curiosity, and insight. The lines of these poems achieve a low-humming, thrilling point of vibration, a jostling of feathers before flight.

Commotion of the Birds - New Poems

A bold, striking new collection of poems from one of America's most influential and inventive poets. With more than twenty poetry collections to his name, John Ashbery is one of our most agile, philosophically complex, and visionary poets. In Breezeway, Ashbery's powers of observation are at their most astute; his insight at its most penetrating. Demonstrating his extraordinary command of language and his ability to move fluidly and elegantly between wide-ranging thoughts and ideas-from the irreverent and slyly humorous to the tender, the sad, and the heartbreaking-Ashbery shows that he is a virtuoso fluent in diverse styles and tones of language, from the chatty and whimsical to the lyrical and urbane. Filled with allusions to literature and art, as well as to the absurdities and delights of the everyday world around us, Ashbery's poems are haunting, surprising, hilarious, and knowing all at once, the work of a master craftsman with a keen understanding of the age in which he lives and writes, an age whose fears and fragmentation he conjures and critiques with humor, pathos, and a provocative wit. Vital and imaginative, Ashbery's poems not only touch on the "big questions" and crises of life in the twenty-first century, but also delicately capture the small moments between and among people. Imaginative, linguistically dazzling, and artistically ambitious, Breezeway is John Ashbery's sharpest and most arresting collection yet.

Breezeway - New Poems

Un recueil comprenant des poèmes comme At North farm, Merci de ne pas coopérer, Les puristes objecteront, Quoi que ce soit, où que vous soyez, ou encore Vague, par le représentant de l'Ecole de New York des poètes.

Vague

Trois poèmes se présente comme une sorte de longue méditation. Sur la jeunesse et le temps perdu, sur l'observation du déroulement incessant de la conscience tandis même qu'elle se déroule, sur le désir et la nécessité aussi d'une espèce de révolution intérieure, et la matérialisation dans les mots de ses fugaces mais puissantes apparitions. Effectivement fugaces, vite balayées par les jours, mais repoussant aussitôt telle la queue du lézard. Tout l'ouvrage semble ainsi composé de ces spirales qui, à partir de leur centre, de leur origine, tournent sur elles-mêmes, sortent d'elles-mêmes plutôt, se développent, grandissent, s'épuisent, se perdent, soufflent un peu, se retournent, se découvrent en fait sans importance vraiment particulière, ainsi que le font presque toutes les lucidités chauffées à blanc, et alors soudain rebondissent sur un nouveau point d'appui, un nouveau centre, une nouvelle origine, car il s'agit obstinément de vivre, de bouger, de se déplacer, pour reprendre à l'instant un autre mouvement, une autre danse. Quête sans fin mais terriblement tonique. Poète et critique d'art, John Ashbery est un des auteurs américains dont l'influence a été très importante aux États-Unis dans les années 1970. Encore aujourd'hui, son oeuvre est largement controversée, et dès la sortie de Three Poems, la critique montra un visage extraordinairement large et varié, allant d' « un indéniable chef d'oeuvre » à l'incompréhension la plus totale.

Trois poèmes

Brooklyn, 5 juillet 1855 : Watt Whitman publie anonymement et à compte d'auteur la première édition de Feuilles d'herbe. La poésie américaine moderne est née. Paris, 5 juillet 2005 : 37 poètes américains + 1 poète britannique contemporains rassemblent dans les pages d'un livre commun leurs propres feuilles, célébrant à leur façon les 150 ans du recueil fondateur. A Whitman et ces poètes se joignent des traducteurs français et deux éditeurs, l'un nantais, l'autre new-yorkais, pour jeter un pont entre deux continents, deux langues, deux cultures, deux rapports aux mots et au monde.

Walt Whitman - Hom(m)age 2005/1855

Ce volume comprend des poèmes publiés dans différents recueils, entre 1957 et 1993. Il offre ainsi pour la première fois au lecteur français une vue assez large de l'une des oeuvres poétiques majeures de ce siècle, une oeuvre en constant devenir, vivante, diverse, nombreuse.

Quelqu'un que vous avez déjà vu

Quelque part, quelqu'un voyage furieusement vers vous, à une vitesse incroyable, voyageant jour et nuit.

Toute beauté, résonance, intégrité,Existe par privation ou logiqueDe position étrange.

J'ai perdu mon accent ridicule sans en acquérir un autre

L'ellipse est aussi sans but que cela, s'étendant de manière invisible dans le futur afin de réapparaître notre présent. Son flexion est son compte, le retour au point de non-retour.

Je ne regarde pas la poésie comme des œuvres fermées. Je sens qu'ils continuent tout le temps dans ma tête et je craint parfois une longueur.

Combien de personnes sont venues et sont restées un certain temps, ont prononcé un discours léger ou sombre qui est devenu une partie de vous comme la lumière derrière le brouillard et le sable filtrés et influencés par lui, jusqu'à ce qu'il ne reste aucune partie qui est sûrement vous.

Donc, je berce ce violon moyen qui connaît des showtunes oubliés, mais il est possible que la possibilité d'une déclaration libre ancrée à un refrain terne.

J'ai essayé chaque chose, seulement certains étaient immortels et gratuits.

La plupart des choses téméraires sont belles d'une manière ou d'une autre, et l'insouciance est ce qui rend l'art expérimental beau, tout comme les religions sont belles en raison des fortes possibilités qu'elles sont fondées sur rien.

Dans l'obscurité de plus en plus convaincante, les mots deviennent palpables, comme un fruit trop beau pour manger.

Il est écrit dans le livre des minustes utilisables, toutes choses ont leur centre dans leur mort.

Ce que j'aime dans la musique, c'est sa capacité à être convaincante, à porter un argument grâce à la finition, bien que les termes de l'argument restent des quantités inconnues.

Le soleil s'estompe comme la propagation de la queue d'un paon, comme si TwilightMight était lu comme un avertissement à ces solutions désespérées faciles.

L'âme n'est pas une âme, n'a pas de secret, est petite, et il ajusté parfaitement creux: sa pièce, notre moment d'attention.

Et la façon dont discontinu et intermittent, parfois entendu parler depuis des années à la fois, ont néanmoins remonté, bien que, à sa surprise soit à l'intérieur de la maison et de devenir toujours plus étroit.

L'âme s'établit. Mais jusqu'où peut-il nager à travers les yeux et revenir en toute sécurité dans son nid?

L'hiver fait ce qu'il peut pour ses enfants.

Une fois que vous avez vécu en France, vous ne voulez pas vivre ailleurs, y compris la France.

Et donc nous retournons la page. Penser à commencer. C'est tout ce qu'il y a.

La patience et la persévérance extrême sont nécessaires, mais tout le monde réussit avant d'être remis le déjeuner surprise du reste de sa vie.

Certains écarts certifiés essaient de vous dire que c'est de la poésie (c'est extraordinaire, cela a beaucoup de sens) mais faites attention ou il commencera par une notion ou autre.

Filles stupides ta tête pleine de garçons

Je pense que la poésie se déroule tout le temps à l'intérieur, un ruisseau souterrain.

Dans la soirée, le repos a un horaire, si vous pouvez découvrir ce que c'est.

Une fois un vieil homme heureux, on ne peut jamais changer le cœur des choses, et la lumière vous brûle plus difficile.

À quoi sert le passé, à quoi sert? Un sandwich mental?

J'aime les poèmes que vous pouvez contourner partout avec un marteau et il n'y a pas d'endroits creux.

Jusqu'à ce que l'infini est restée de la beauté

Beaucoup de choses sont belles doivent être jetées afin que nous puissions ressembler à une impression plus grande de nous-mêmes.

Mais toujours et parfois remettre en question les anciens modes et la nouvelle merveille, le poème, grandissant à travers le sol, debout dans des tubercules, envahissant et brisant le ritualparlor, demande enfin à être rencontré à ses propres conditions maintenant, maintenant que les négociations préliminaires sont enfin sur.

Ses oeuvres

Ses derniers livres