John Havlicek
@johnHavlicek
Lorsque vous passez avec l'exposition Grind et la saison régulière, votre corps est tout aussi fatigué qu'il le sera. Et puis vous êtes appelé à jouer de votre mieux en séries éliminatoires.
John Havlicek
Auteur
John Joseph Havlicek, né le 8 avril 1940 à Martins Ferry dans l'Ohio et mort le 25 avril 2019 à Jupiter en Floride, est un joueur américain de basket-ball, élu parmi les meilleurs joueurs du cinquantenaire de la NBA. Il est intronisé au Basketball Hall of Fame en 1984. Il joue pour les Celtics de Boston durant les seize années de sa carrière et remporte huit titres de champion avec eux, sous la direction de Red Auerbach, Bill Russell puis Tom Heinsohn. Son surnom, « Hondo », est inspiré par le film du même nom, rôle titre tenu par John Wayne. Durant sa carrière universitaire, il remporte un titre de champion lors du tournoi final de la NCAA 1960 avec les Buckeyes d'Ohio State dont l'un de ses coéquipiers, Jerry Lucas, est un autre membre du Hall of Fame. Havlicek devient le premier joueur à marquer plus de 1 000 points durant seize saisons consécutives. Treize fois NBA All-Star, Havlicek prend sa retraite en 1978 et son numéro 17 est immédiatement retiré au Boston Garden. Il est le meilleur joueur des Celtics de Boston au nombre de points marqués et de matchs disputés respectivement 26 395 points et 1 270 matchs. Quant à sa moyenne de 20,8 points par match, elle le situe à la troisième place des joueurs des Celtics, derrière Larry Bird, premier avec 24,3 et Paul Pierce. Il occupe la deuxième place au nombre des passes, avec 6 114 passes, derrière Bob Cousy. Il est également deuxième pour les lancers francs réussis (5 369) et tentés (6 589), largement dépassé par Paul Pierce. Son nombre de points le plaçait à la seizième place au niveau de la NBA (après la saison régulière 2018-2019). Avec 1 270 rencontres de saison régulière, il se situe en avril 2019 au 30e rang des joueurs de NBA, et 32e pour la NBA et ABA cumulées. Il est élu MVP de la finale 1974. Il est connu pour son dynamisme et son endurance. Il est redoutable pour ses adversaires et d'une grande aide pour ses coéquipiers. Richard Hamilton, des Pistons de Détroit, lui a été comparé pour des raisons similaires. C'est un joueur très assidu qui en six ans de 1966 à 1972 n'a manqué que trois matchs, en disputant 489 sur les 492 aux programmes des saisons régulières ; de plus en seize années avec les Celtics il a joué 1 270 matchs sur les 1 304 disputés par son équipe en saison régulière.
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Citations
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Le tir à 3 points aurait certainement ajouté plus à mes points de carrière, mais je ne sais pas combien. C'est l'une de ces choses sur lesquelles les gens spéculeront. Je suis juste content de ce que j'ai.
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Depuis le jour où je me suis retiré des Celtics, je me suis soumis à un programme d'exercice.
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Non, je ne travaille pas sur un programme d'endurance pendant la morte-saison.
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Tout joueur de basket professionnel devrait faire 75% de ses tentatives de lancer franc. Il n'y a aucune excuse pour qu'un PRO ne parvienne pas à maintenir ce pourcentage.
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Je ne crois pas à quiconque de se sentir désolé pour lui-même.
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Je joue au golf, au tennis ... Je ne me spécialise dans rien.
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J'ai dû changer les choses plus je vieillis. Mais mon corps a toujours pu tenir assez bien.
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J'ai préféré utiliser tout le sol et rester en mouvement et ramasser des paniers faciles et ce type de chose.
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À l'exception des cliniques, je prends à peine un basket-ball pendant la morte-saison.
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Lorsque je suis entré dans la NBA en 1962, Tom Gola et Oscar Robertson étaient les seuls avant-gardis de 6 pieds, 5 pouces ou meilleurs dans la ligue. Maintenant, ils sont un centime une douzaine.
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Quand je jouais, j'étais le type qui a couru beaucoup de choix pour me faire tirer dessus.
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Sam Jones et moi, ni l'un de nous n'étaient des gardiens, mais nous avons beaucoup joué la zone arrière ensemble parce que nous étions des basketteurs.
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Peut-être qu'un jour je retournerai sur le campus en tant qu'entraîneur adjoint.
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Je n'ai jamais quitté le sol d'entraînement sans prendre 25 lancers francs. C'est quelque chose qui ne prend pas beaucoup de temps et c'est extrêmement important.
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Je sais que la personne la plus coriace du monde à regarder est une en mouvement.
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J'essayais juste d'être une personne qui pouvait marquer en cas de besoin. J'ai probablement fini par prendre plus de photos que quiconque.
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Lorsque l'autre équipe tire 52% et que vous gagnez toujours, vous devez faire quelque chose de bien.
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Je suis sûr que j'aurais pu bien faire dans le football professionnel. Je suppose que j'aurais joué au quart-arrière ou au flanker ou peut-être le dos défensif.
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Si vous vous sentez un peu fatigué, vous pensez que votre adversaire le ressent également.
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Je ne pouvais battre personne en tête-à-tête.
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Ma carrière a été positive et je veux que ma retraite soit positive.
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J'ai joué 16 ans. Pas trop de gens jouent aussi longtemps.
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Je n'ai jamais quitté le sol d'entraînement sans prendre 25 lancers francs. C'est quelque chose qui ne prend pas beaucoup de temps et c'est extrêmement important.
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Souvent, les joueurs ne se mettent pas sur la même longueur d'onde que l'entraîneur, et j'aurais trouvé cela frustrant.
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Je n'ai aucun désir de devenir entraîneur-chef.
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Je ne me lasse jamais de courir. Mais parfois, je peux perdre le rythme sur mes photos et cela échouera. C'est un type de fatigue différent. Et parfois, je me sens en ligne au début d'un match et je dois le travailler, comme une voiture lente le matin froid qui doit être réchauffée.
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Je ne changerais pas mon époque pour rien. L'équipe est restée ensemble.
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Étant Midwesterner, ma première année à Boston a été un procès. J'ai adoré l'équipe, mais s'adapter à la vie urbaine était le plus difficile.
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Je ne me suis jamais considéré comme un tireur.