John Kenneth Galbraith's classic examination of the 1929 financial collapse. Arguing that the 1929 stock market crash was precipitated by rampant speculation in the stock market, Galbraith notes that the common denominator of all speculative episodes is the belief of participants that they can become rich without work. It was Galbraith's belief that a good knowledge of what happened in 1929 was the best safeguard against its recurrence. Atlantic Monthly wrote, "Economic writings are seldom notable for their entertainment value, but this book is. Galbraith's prose has grace and wit, and he distills a good deal of sardonic fun from the whopping errors of the nation's oracles and the wondrous antics of the financial community."

The Great Crash 1929

Euphorie, spéculation, réductions d'impôts, innovations hasardeuses dans la finance d'entreprise sont les causes de la crise économique de 1929. La lecteur de cet essai classique de John Kenneth Galbraith (1908-2006) sur la "grande dépression" s'impose plus que jamais si l'on veut comprendre les grands krachs boursiers du XXe siècle et les scandales financiers de ce début de XXIe siècle.

La crise économique de 1929: Anatomie d'une catastrophe financière

Euphorie, spéculation, réductions d'impôts, innovations hasardeuses dans la finance d'entreprise sont les causes de la crise économique de 1929.
 La lecture de cet essai classique de j.  k.  galbraith (1908-2006) sur la "grande dépression" s'impose plus que jamais si l'on veut comprendre les grands krachs boursiers du xxe siècle et les scandales financiers de ce début de xxie siècle.

La crise de 1929 ; anatomie d'une catastrophe financière

Avec un mélange de scepticisme et d'humour, d'ironie et de détachement, passionné pour tout et pour tous - sauf pour lui-même -, John Kenneth Galbraith (1908-2006) raconte dans Une vie dans son siècle son exceptionnelle carrière et la faune internationale qu'elle lui a permis de croiser : de Roosevelt à Albert Speer, de Kennedy à Nehru, sans oublier de Gaulle. Ce fils de farmers de l'Ontario a vingt ans quand le spectacle de la Grande Dépression renforce à la fois son sens de l'absurde et son progressisme inné. Entré dans l'administration Roosevelt en 1934, militant dans la campagne démocrate de 1940 et directeur de l'Office des prix pendant la guerre, le voilà présent à Nuremberg où il interroge, entre autres, Goering et Ribbentrop. Professeur à Harvard, il participe aux campagnes de Stevenson et de Kennedy. Ambassadeur en Inde, il contribue, en 1962, à mettre fin au conflit sino-indien. Président de l'Americans For Democratic Action, il se lance dans les mouvements contre la guerre au Vietnam. Economiste de réputation mondiale et inventeur du concept de " technostructure ", journaliste choyé des médias, grande figure de l'intelligentsia à l'américaine, Galbraith était d'abord un homme qui veut comprendre son siècle et le faire comprendre. C'est ce parfait " honnête homme " qui transparaît à chaque page de ces Mémoires.

Une vie dans son siècle - Mémoires

« Cet essai se propose de montrer comment, en fonction des pressions financières et politiques ou des modes du moment, les systèmes économiques et politiques cultivent leur propre version de la vérité. Une version qui n'entretient aucune relation nécessaire avec le réel. » --J.K. GALBRAITHNé en 1908, John Kenneth Galbraith, économiste américain célèbre dans le monde entier, et mort en 2006, s'est attaché à décrire l'avenir des sociétés industrielles. On lui doit, entre autres, Le Capitalisme américain (1958), L'Ére de l'opulence (1961) et Le Nouvel État industriel (1967).

Les Mensonges de l'economie

Rampant speculation, record trading volumes, assets bought not because of value but because buyers believe they can sell them for more in a day or two, or an hour or two. Welcome to the late '20s. There are obvious & absolute parallels to the bull market of the late '90s, he writes in the '97 introduction. Of course, every financial bubble since '29 has been compared to the Great Crash, which is why this book has never been out of print since being a 1955 bestseller. Galbraith writes with great wit & erudition about the perilous actions of investors & curious inaction of the government. He notes that the problem wasn't a scarcity of securities to buy & sell; "the ingenuity & zeal with which companies were devised in which securities might be sold was as remarkable as anything." Those words become strikingly relevant in light of revenue-negative start-up companies coming into the market each week in the '90s, along with fragmented pieces of established companies, like real estate & bottling plants. Of course, the '20s were different from the '90s. There was no safety net below citizens, no unemployment insurance or Social Security. Today we don't have the creepy investment trusts--in which shares of companies that held some stocks & bonds were sold for several times the assets' market value. But, boy, are the similarities spooky, particularly the prevailing trend at the time toward corporate mergers & industry consolidations--not to mention all the partially informed people who imagined themselves to be financial geniuses because the shares of stock they bought kept going up.--Lou Schuler (edited)

La Crise économique de 1929

La crise économique de 1929: anatomie d'une catastrophe financière

=Introduction to Economics. A Guide For All or almost

Tout savoir, ou presque, sur l'économie

John Kenneth Galbraith, né le 15 octobre 1908 à Iona Station (en), en Ontario (Canada), et mort le 29 avril 2006  à Cambridge (États-Unis), est un économiste américano-canadien. Il a été le conseiller économique de différents présidents des États-Unis : Franklin Delano Roosevelt, John Fitzgerald Kennedy et Lyndon B. Johnson.

Presque tous les aspects de son histoire (de la Réserve fédérale) doivent être abordés avec un mépris discriminatoire pour ce qui est couramment enseigné ou cru.

Nous devenons les serviteurs dans la pensée, comme en action de la machine que nous avons créée pour nous servir.

L'un des pouvoirs des présidents (et d'autres hauts fonctionnaires) est d'écouter leurs critiques avec juste assez de sympathie pour assurer leur silence.

En fait, la spirale à prix salarial est la contrepartie fonctionnelle du chômage. Ce dernier se produit en cas de demande insuffisante; La spirale fonctionne quand il y a trop et aussi, malheureusement, quand il y en a juste assez.

La conscience est mieux servie par un mythe.

Il y a des moments politiques où vous devez être du côté droit et perdre.

Dans un monde où à des fins pédagogiques et autres, un très grand nombre d'économistes est nécessaire, un arrangement qui décourage beaucoup d'entre eux de

Tous, intelligents et stupides, diligents et oisifs, ont été emportés par un courant de rendement accru qui, dans le cas habituel, ne devait rien du tout à leurs efforts.

Le discours de début n'est pas, je pense, une manifestation totalement satisfaisante de notre culture.

Un homme d'affaires qui lit Business Week est perdu dans la gloire. Celui qui lit Proust est marqué par la grandeur.

Il y a quelque chose de merveilleux à voir une majorité de mauvaise tête assaillie par la vérité.

C'est super d'être avec William Buckley, parce que vous n'avez pas à penser. Il prend position et vous prenez automatiquement le contraire et vous savez que vous avez raison.

En économie, la majorité est toujours erronée.

Nous convenons tous que le pessimisme est une marque d'intellect supérieur.

Les hommes ont été escroquées par d'autres hommes à plusieurs reprises. L'automne de 1929 a peut-être été la première occasion où les hommes ont réussi à grande échelle à escroquer eux-mêmes.

Le libéralisme est, je pense, résurgent. L'une des raisons est que de plus en plus de personnes sont si douloureusement conscientes de l'alternative.

Rien n'est plus portable que les riches et leur argent

Dans l'administration publique, le bon sens semble exiger que les attentes du public soient maintenues au niveau le plus bas possible afin de minimiser une éventuelle déception.

Pour le bien du progressiste, je dirai que [Robert] La Follette était pertinent, mais il était le dernier.

Dans l'économie de marché, le prix offert est compté pour produire le résultat recherché.

Si vous nourrissez suffisamment d'avoine au cheval, certains passeront pour nourrir les moineaux (se référant à l'économie "ruisseler").

La nostalgie se combine régulièrement avec la respectabilité manifeste pour donner la crédibilité à une ancienne erreur par opposition à une nouvelle vérité.

La métropole aurait dû être interrompue bien avant de devenir New York, Londres ou Tokyo.

Il n'existe aucune forme d'ironie au monde que quelqu'un ne prendra pas au premier degré.

La prévoyance des experts financiers était, comme si souvent, un mauvais guide pour l'avenir.

Même le mot dépression lui-même était le produit terminologique d'un effort pour adoucir la connotation de problèmes profonds. Au siècle dernier, le terme crise était normalement employé. Avec le temps, cependant, cela a acquis la connotation du malheur qu'il a décrit.

La guerre reste l'échec humain décisif.

Le chômage est rarement considéré comme souhaitable, sauf par ceux qui ne l'ont pas vécu.

Certaines années, comme certains poètes, et les politiciens et quelques femmes charmantes, sont distinguées pour la renommée bien au-delà du lot commun, et 1929 a clairement été une année.

Ce n'est pas le droit de l'individu d'acheter qui est protégé. C'est plutôt le droit du vendeur de gérer l'individu.

https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Kenneth_Galbraith

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