Johnny Rotten, icône de la contre-culture, est l’instigateur du mouvement punk-rock. Chanteur des Sex Pistols, on lui doit notamment « God save the Queen » et « Anarchy in the UK ». Puis, il se réinvente avec son groupe Public Image Limited et « Rise ». Éternel insoumis, il revient sur son enfance difficile, ses problèmes avec la drogue, la création des Pistols avec l’instable Sid Vicious… Des mots puissants comme des balles.

La rage est mon énergie

John Lyndon, alias Johnny Rotten, chanteur des Sex Pistols, créateur du groupe PiL, est une icône de la contre-culture, une icône de la musique, de la mode et de la politique. Ses chansons incendiaires " God save the Queen " et " Anarchy in the UK " ont fait de lui la cible des tabloïds et de mouvements anti-punks qui lui ont valu d'être molesté, jusqu'à recevoir des coups de couteau et manquer de justesse perdre un oil. L'année 1977, il l'a passée quasi reclus, alors que son impact sur toute une jeunesse révoltée prenait une place énorme. " Le Parlement a voulu me condamner pour trahison, aucune rock star n'a connu ce traitement à ma connaissance. Moi, je riais. J'étais le seul à avoir le courage de me lever et de dire ce que j'ai dit, et beaucoup de gens n'attendaient que ça. " Puis John, l'instigateur du mouvement punk rock (un terme qu'il n'a jamais approuvé), s'est libéré de tous les costumes qu'on lui a collés et s'est réinventé en créant PiL, mélange de reggae, disco, de musique africaine et de rock. Il n'est jamais là où on l'attend.

Il raconte les débuts de sa vie dans un quartier mal famé de Londres, où, tout petit, il a contracté la méningite en jouant dans des flaques d'eau contaminées par la pisse de rat. On assiste avec lui à la création des Pistols avec son ami Sid Vicious, nommé ainsi en hommage à son hamster. Il croque à sa manière très personnelle son entourage : Malcolm McLaren, Vivienne Westwood, Richard Branson, Souxsie Sioux ou Paul Weller, Nora Foster, sa femme depuis 30 ans. Il se souvient des descentes de police, de la drogue, de sa carrière d'acteur à NY avec Harvey Keitel, de ses sessions avec David Bowie et Roger Waters. Malgré tous les livres qui sont sortis sur le punk et les années 80, John Lyndon est resté un mystère. Voici ses mots, puissants comme des balles.

John Lyndon, alias Johnny Rotten, chanteur des Sex Pistols, créateur du groupe PiL, est une icône de la contre-culture, une icône de la musique, de la mode et de la politique. Ses chansons incendiaires "God save the Queen" et "Anarchy in the UK" ont fait de lui la cible des tabloïds et de mouvements anti-punks qui lui ont valu d'être molesté, jusqu'à recevoir des coups de couteau et manquer de justesse perdre un oeil. L'année 1977, il l'a passée quasi reclus, alors que son impact sur toute une jeunesse révoltée prenait une place énorme. "Le Parlement a voulu me condamner pour trahison, aucune rock star n'a connu ce traitement à ma connaissance. Moi, je riais. J'étais le seul à avoir le courage de me lever et de dire ce que j'ai dit, et beaucoup de gens n'attendaient que ça." Puis John, l'instigateur du mouvement punk rock (un terme qu'il n'a jamais approuvé), s'est libéré de tous les costumes qu'on lui a collés et s'est réinventé en créant PiL, mélange de reggae, disco, de musique africaine et de rock. Il n'est jamais là où on l'attend. Il raconte les débuts de sa vie dans un quartier mal famé de Londres, où, tout petit, il a contracté la méningite en jouant dans des flaques d'eau contaminées par la pisse de rat. On assiste avec lui à la création des Pistols avec son ami Sid Vicious, nommé ainsi en hommage à son hamster. Il croque à sa manière très personnelle son entourage : Malcolm McLaren, Vivienne Westwood, Richard Branson, Souxsie Sioux ou Paul Weller, Nora Foster, sa femme depuis 30 ans. Il se souvient des descentes de police, de la drogue, de sa carrière d'acteur à NY avec Harvey Keitel, de ses sessions avec David Bowie et Roger Waters. Malgré tous les livres qui sont sortis sur le punk et les années 80, John Lyndon est resté un mystère. Voici ses mots, puissants comme des balles.

John Joseph Lydon, dit Johnny Rotten [ˈdʒɒni ˈɹɒtn̩], né à Londres le 31 janvier 1956, est un musicien anglais, chanteur du groupe punk emblématique les Sex Pistols, formé fin 1975, puis fondateur du groupe Public Image Limited (PiL) en 1978.
Par son attitude sarcastique et provocatrice, il fut un modèle pour toute une jeunesse révoltée et pour de nombreux autres groupes de rock que ses créations musicales ont beaucoup influencés.

J'ai toujours dit, je pensais que les pistolets sexuels étaient plus de la salle de musique qu'autre chose - parce que je pense que vraiment, plus de vérités sont dites dans l'humour que toute autre forme.

Le jour où je manquais d'idées, c'est le jour où j'arrête de faire des disques.

J'ai transformé l'arrogance en une forme d'art, où c'est si absurde qu'il devient de la comédie. Mais je n'ai jamais rien fait pour blesser qui que ce soit ou voler personne.

U2 - C'est un groupe qui n'aurait jamais dû exister. Il n'y a aucune expérience de vie dans aucune de leurs chansons.

Rester enfantin est un énorme état d'innocence.

J'adore les livres, et tous les meilleurs sont les gens qui analysent leurs propres émotions. Vous pouvez en apprendre.

Je n'écoute pas de la musique. Je déteste la musique.

Parfois, la chose la plus positive que vous puissiez être dans une société ennuyeuse est absolument négative.

Ne jugez pas les autres à moins que vous ne soyez prêt à être jugé!

Chaque parole que j'ai jamais écrite, je voulais dire.

Vous avez des moments de chagrin dans la vie, et si vous pouvez mettre un stylo sur papier et le capturer, c'est quelque chose de merveilleux. Je peux revoir des chansons réelles sur les morts passés, et je sais que l'émotion est aussi vraie maintenant qu'elle l'était.

J'ai l'intégrité d'un adolescent et cela ne me sera jamais volé. Je suis la vierge originale.

Les seules notes qui viennent dans une liaise

J'ai un ensemble sensible de valeurs qui me disent de ne jamais mentir.

Le punk, c'est comme regarder un miroir. J'ai déjà un miroir donc je n'ai pas besoin de la progéniture pour me rappeler à quel point je suis magnifique.

Je ne tolère pas les menteurs. Quand quelqu'un me ment, c'est vraiment, comme insupportable.

Je ne suis pas du genre à des moments pénibles aigre-pénulaires. Je viens de l'école des coups durs, "F ** King Get Away avec", c'est tout.

Je ne pense pas qu'il y ait plus de rock n 'roll - c'est une fusion des intérêts commerciaux.

Les gens ne devraient jamais se permettre d'être dictés par les médias.

Ne vous tenez pas au milieu, allez à droite ou à gauche.

Je n'aime pas les surnoms et je n'aime pas être pigeonnier. Tu sais, je suis un être humain.

Tu ne peux pas m'arrêter, je suis une rockstar.

On m'a demandé au fil des ans de compiler une liste de disques désertiques-îles. Je ne pouvais pas faire ça. Si j'étais piégé sur une île déserte, je ne pense pas que 10 chansons apportent avec moi.

Le soi-disant présumé `` art '' de la vidéo - eh bien, la vidéo a tué la star de la radio, mais la star de la vidéo a tué le musicien en direct, et cetera, et cetera, et cetera.

La musique peut décrire les émotions beaucoup plus précisément que les mots ne le peuvent jamais. Dès que j'ai réalisé cela, je savais que la musique était où je voulais être.

Il n'y a pas de mal en moi. Vraiment, je suis juste un grand enfant.

Les ragots sont un outil très dangereux. Nous devrions nous méfier plus des potins, et non des potins qu'ils essaient de vous relayer.

L'idée d'entendre, «grand concert, mec», une fois de plus, je retourne mon estomac.

Ses oeuvres

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