John Porcellino
@johnPorcellino
"L'attitude mentale positive" est totalement hardcore. C'est du bricolage.
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John Porcellino
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Avec mes amis, c'était toujours essentiellement des histoires vraies. C'est comme ça que j'ai toujours ressenti de faire du king-cat. C'est quelque chose qui s'est vraiment passé, que cela me fasse l'air bien ou mal, ou que quelqu'un d'autre soit beau ou mauvais. C'est ce qui s'est passé, et c'est mon travail dans la vie de l'écrire. De nos jours, j'en suis beaucoup plus consciencieux. Je ne suis pas sorti d'attaquer quelqu'un sur papier.
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Le punk rock a été la première chose que j'ai trouvée dans ma vie qui m'a fait me sentir acceptable. Ce qui m'a fait entrer dans le punk rock, c'est l'idée: "Tu vas bien comme tu es." Cela semble un peu stupide, mais vous n'avez pas à faire des excuses pour qui vous êtes ou ce que vous faites. Lorsque vous trouvez quelque chose comme le punk rock, non seulement il est acceptable de ressentir cela - vous devriez embrasser votre étrangeté. Le monde est totalement foiré, et le punk rock était un moyen de voir cela et de travailler avec sans le courir de bonbons. Cela disait: "Oui, le monde est ainsi, mais vous pouvez toujours faire quelque chose. Prenez de l'énergie à partir de cela."
John Porcellino
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À travers ma vie et mon expérience, je crois qu'obtenir une "attitude mentale positive" est vraie. Votre cerveau contient certaines voies, et si vous nourrissez ces voies avec certains types de pensées, le sang va à ces neurones et les nourrit, et ils grandissent et se développent. C'est ainsi que vous construisez des habitudes. Physiquement, je pense que c'est ainsi que fonctionne votre cerveau. Si vous avez certaines habitudes négatives et vous causant des problèmes que vous souhaitez les changer, vous pouvez réellement changer le flux sanguin et les trucs dans votre cerveau en pensant d'une manière différente.
John Porcellino
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Mes parents savaient que j'avais fait King-Cat, mais honnêtement, ma mère ne voulait pas en voir beaucoup. Elle me disait: "Je ne veux pas savoir ce qui se passe vraiment." De nos jours, quand j'ai publié un nouveau problème, ma mère dira: "Y a-t-il quelque chose là-dedans qui me mettra bouleversé?" Je dois donc m'asseoir et le dépister.
John Porcellino
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Le point était juste d'être vous-même, peu importe ce que c'était. Vous n'aviez pas à vous adapter à un certain cliché punk-rock. Créez tout ce que vous avez obligé de créer. Les gens publiaient leurs propres records, et il semblait naturel de sortir mon propre magazine. Quand j'étais très jeune, j'ai commencé à faire des magazines et des petits livres, je viens de plier de papier de dactylographie, donc quand j'ai découvert le punk rock, ça m'a vraiment époustouflé. J'ai joué dans des groupes et des trucs, mais faire mes propres zines semblait être une partie inhérente de cette scène.
John Porcellino
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Tom Hart, David Lasky, Ed Brubaker, Megan Kelso, Julie Doucet. Ces gens vivaient des bandes dessinées. Les habitants de Seattle se sont réunis chaque semaine pour dessiner et se critiquer le travail de chacun. En dehors de l'école d'art, je n'ai jamais fait ça. Quand je suis revenu de ce voyage, j'avais un sentiment physique et palpable d'être gêné. C'était la première fois que je dessinais là où je me disais: "Holy Cow, les gens vont lire ceci. Ils vont l'aimer, ou ils pourraient ne pas l'aimer. Peut-être que je devrais vraiment faire mes dessins un peu plus Solide, ou vraiment penser à ce que je fais. Peut-être que cela ne devrait pas être si bâclé. "
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