Jon Ronson
Jon Ronson, né le 10 mai 1967 à Cardiff, est un journaliste et écrivain gallois, ayant travaillé pour le quotidien The Guardian, la chaine Channel 4 et la radio BBC Radio 4, et dont les publications incluent le best-seller Les Chèvres du Pentagone (The Men Who Stare at Goats), adapté au cinéma en 2009 par Grant Heslov.
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@jonRonson
Soudain, la folie était partout, et j'étais déterminé à découvrir l'impact qu'elle avait sur la façon dont la société évolue. J'ai toujours cru que la société était une chose fondamentalement rationnelle, mais que se passe-t-elle si ce n'est pas le cas? Et s'il est construit sur la folie?
@jonRonson
Je suis l'opposé neurologique d'un psychopathe, en ce sens que je me sens anxieux presque tout le temps. Cela doit être génial de ne pas se sentir constamment comme si vous avez quelqu'un vivant dans votre visage, vous tirant avec un mini-taser.
@jonRonson
Sans avoir l'air trop prétentieux, j'étais en quelque sorte un esclave du récit. Lorsque le récit se casse, je dois aller là où cela me prend. J'ai dû aller au bosémien bosmien. C'était la fin évidente du livre.
@jonRonson
Je ne suis pas ce que vous appelleriez un type de personne intrépide.
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Twitter voulait devenir un système judiciaire plus égalitaire, mais il est plutôt devenu draconien.
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Je ne pense pas que "Okja" aurait été fait si Netflix ne l'avait pas fait. Pour moi, c'est beaucoup plus important que de savoir si quelqu'un le regarde sur un grand écran ou un téléphone. Parce que cela n'aurait tout simplement pas existé autrement.
@jonRonson
Il y avait une sorte d'infini dans la fiction que j'ai trouvé en quelque sorte ... déconcertant. Je me souviens avoir eu ces pensées vraiment paniquées, comme: «Je peux faire dire à cette personne quoi que ce soit. Je pourrais le faire faire n'importe quoi! Je pourrais mettre un jetpack sur son dos et le tirer dans l'espace! Je n'aime pas ce sentiment de ne pas avoir de règles.
@jonRonson
Ma paranoïa ne se termine jamais, mais je n'ai pas été paranoïaque d'être espionné sur mes forces sombres depuis un certain temps maintenant.
@jonRonson
Bedlam: Une institution avec une histoire si redoutable qu'elle a donné son nom à un synonyme de chaos et de pandémonium.
@jonRonson
Sans avoir l'air trop prétentieux, j'étais en quelque sorte un esclave du récit. Lorsque le récit se casse, je dois aller là où cela me prend. J'ai dû aller au bosémien bosmien. C'était la fin évidente du livre.