In 1991, Doug Tompkins abandoned his comfortable life in San Francisco and flew 6, 500 miles south to a shack in Patagonia. Instead of the Golden Gate Bridge, Tompkins stared out the window at Volcano Michinmahuida, blanketed in snow and prowled by mountain lions. Shielded by waterfalls and wilderness, the founder of such groundbreaking companies as Esprit and The North Face suddenly regretted the corporate capitalism from which he had profited from years. As a CEO he had caused much pollution and, "made things nobody needed." Now, he declared, it was time to reverse the damage to the planet, and maybe even himself. In A Wild Idea, award-winning journalist and bestselling author Jonathan Franklin tells the incredible true story of Douglas Tompkins, who became one of the primary founders of our modern conservation and land protection movement. Piloting his small plane, Tompkins explored the uninhabited lands of Patagonia and gaped at the singular beauty: active volcanoes, forests never logged, rivers never dammed-all so undisturbed, so exquisitely designed. Could he protect this wild beauty? For the ensuing quarter century, that dream- that obsession-became his life. Only in death did it become his legacy.

A Wild Idea - The True Story of Douglas Tompkins—The Greatest Conservationist (You've Never Heard Of)

The incredible true survival story of one man's record-breaking fourteen months lost at sea. On 17th November, 2012, Salvador Alvarenga left the coast of Mexico for a two-day fishing trip. A vicious storm killed his engine and the current dragged his boat out to sea. The storm picked up and carried him West, deeper into the heart of the Pacific Ocean. Alvarenga would not touch solid ground again for fourteen months. When he was washed ashore on January 30th, 2014, he had drifted over 9, 000 miles. Three dozen cruise ships and container vessels passed nearby. Not one stopped for the stranded fisherman. He considered suicide on multiple occasions - including offering himself up to a pack of circling sharks. But Alvarenga developed a method of survival that kept his body and mind intact long enough for the Pacific Ocean to spit him up onto a remote palm-studded island. Crawling ashore, he was saved by a local couple living in their own private castaway paradise. Based on dozens of hours of interviews with Alvarenga and his colleagues, search and rescue officials, the medical team that saved his life and the remote islanders who nursed him back to normality, 438 Days by Jonathan Franklin is an epic tale of survival and one man's incredible story of beating the ultimate odds.

438 Days - An Extraordinary True Story of Survival at Sea

Le 5 août dernier, 33 hommes sont partis. pour ce qui devait être leur routine quotidienne : descendre à 700 mètres sous terre pour travailler dans une mine de cuivre du sous-sol chilien. Mais ce jour-là un éboulement les a fait prisonniers. Pour eux comme pour le monde entier a commencé la plus longue histoire de survie jamais connue. Que s'est-il vraiment passé dans la mine, et notamment pendant les dix-sept premiers jours avant qu'une sonde parvienne miraculeusement à les joindre, puis pendant les longues semaines d'attente jusqu'à l'incroyable et bouleversant dénouement ? La belle histoire de solidarité et de courage rapportée par la presse est-elle la seule vérité ? Qui sont vraiment ces 33 héros, parmi lesquels quelques fortes personnalités ont vite pris les choses en main, organisant leur vie dans l'enfer ?

Enterrés vivants - La véritable histoire des 33 mineurs chiliens

Le 5 août dernier, 33 hommes sont partis pour ce qui devait être leur routine quotidienne : descendre 700 mètres sous la terre pour travailler dans les mines de cuivre du sous-sol chilien. Mais ce jour-là un éboulement les a fait prisonniers. Pour eux comme pour le monde entier a commencé la plus dramatique et la plus longue histoire de survie jamais connue. 
Que s'est-il vraiment passé dans la mine, et notamment pendant les 17 premiers jours avant qu'une sonde ne parvienne miraculeusement à les joindre, puis pendant les longues semaines d'attente jusqu'à l'incroyable et bouleversant dénouement ? La belle histoire de solidarité et de courage rapportée par la presse est-elle la seule vérité ? Au-delà des clichés, qui sont ces 33 héros, parmi lesquels quelques fortes personnalités et beaux personnages ont vite pris les choses en main organisant leur vie dans l'enfer ? 
Correspondant depuis 15 ans au Chili pour le Guardian et le Washington Post, Jonathan Franklin - grand reporter plusieurs fois couronnés pour ses articles - est le seul journaliste de la presse écrite à avoir eu un pass pour accéder aux sauveteurs et aux familles des mineurs. Il a pu ainsi être présent lors de toutes les conversations privées avec les mineurs, et s'entretenir sans cesse avec les sauveteurs, les médecins et les psychologues sur le terrain. Il était bien entendu là à la sortie de chacun de mineurs. Il est le seul à avoir recueilli la véritable histoire de cette extraordinaire aventure humaine. Une histoire beaucoup plus riche, complexe et dramatique encore que ce que tous les journaux ont pu raconter...

Enterrés vivants ; la véritable histoire des 33 mineurs chiliens

L'adoption mondiale des mineurs chiliens avait autant à voir avec l'état de la planète que le sort des hommes piégés. Chaque année, des milliers de mineurs sont piégés et meurent. Des centaines d'autres sont sauvés. La presse mondiale ne manque pas d'histoires mondiales Good-News. Les héros abondent si les journalistes et les éditeurs prennent le temps de rechercher.

Je voudrais qu'on se souvienne de moi comme le journaliste qui a glissé de la scène en arrière à tous les spectacles interdits, que ce soit le dressing du Vatican, la salle de guerre du Pentagone ou le casier des Celtics. Certains rideaux ne devraient jamais être retirés; D'autres méritent d'être arnaqués. Le cas échéant, je veux être le dissolvant du rideau.

Se rendre à Valle Nevado est la moitié du plaisir. Une route serpentine de Santiago se lève la colonne vertébrale de la pic andine pendant une heure, puis traverse une vallée et enfin à nouveau. L'hôtel est perché sur un rocher de montagne accidenté à 3 000 mètres: aucun autre signe de développement humain n'est visible à partir de cet endroit, qui est proche de la frontière argentine.

De nombreux étrangers imaginent que la cuisine latino-américaine est épicée, mais la nourriture chilienne, dans l'ensemble, est extrêmement fade: sel, vinaigre, mayonnaise et plus de sel sont les quatre condiments de base. Le poivre noir est visiblement absent, et pas seulement à partir de la nourriture - il est également rarement disponible même sur demande.

Les végétariens sont condamnés sur la scène chilienne de la rue, mais s'ils sont disposés à ingérer de petites quantités de saindoux, ils peuvent profiter des biscuits de courge, de sel et de salin toujours populaires appelés sopaipillas.

Des militants environnementaux dans les mers rugueux de l'Antarctique ont lancé un nouvel outil dans le combat pour arrêter une opération japonaise pour tuer des centaines de baleines: les drones télécommandés.

Il n'y a rien de très exotique dans la cuisine de rue chilienne classique. Imaginez un hot-dog caché sous une explosion de mayonnaise et de ketchup. Coût? Vingt-cinq à 30 pence. Ceci est l'achèvement, une solution polyvalente au petit-déjeuner, au déjeuner ou, une fois, à la collation de tuat curieusement anglaise appréciée par les Chiliens de tous âges.

Mon père Tom était un bourreau de travail qui n'a jamais manqué un seul de mes événements sportifs pendant près de deux décennies, et a conféré en moi un sentiment de risque et d'aventure. Étant celui du milieu, j'avais plus de place pour dériver, et après l'université, j'ai quitté les États-Unis pour le Chili.

Le ski andin offre une combinaison inoubliable de climat de style plage, de superbe neige et de voyages exotiques. Il y a de nombreuses attractions. Ici, en bordure des Andes, les skieurs trouveront peu de files d'attente aux remontées mécaniques, des billets 50% moins chers qu'en France et des paysages uniques qui incluent les condors et le mont Aconcagua, le plus haut sommet en dehors de l'Himalaya.

Lorsque tout le reste échoue, je suis réconforté par le fait que lorsque je suis malade ou vieux, je ne serai jamais seul. Après tout, il faudrait être un père assez terrible sinon l'une de vos sept filles était prête à prendre soin de vous à la fin.

Aux États-Unis et dans une grande partie de l'Europe, la vente, la distribution et l'utilisation d'imprimantes compensées sont surveillées de près par des unités anti-contrefaçon. Au Pérou, cependant, l'industrie de la compensation est gratuite.

Sept filles ne faisaient jamais partie de mon plan.

En ce qui concerne le style, Valle Nevado est ce qui ne peut être décrit que comme «Hip International». Les Brésiliens, les Chiliens et les Européens font que l'endroit ressemble à un festival de musique électronique transporté dans une vallée andine reculée. D'énormes haut-parleurs relâchent de la musique lourde et lourde des basses, tandis que les promoteurs traquent les escaliers en vendant de tout, des Red Bull aux téléphones portables.

Je me sens mieux dans une paire de pantalons de moto Honda rouge en lambeaux. Je les ai emmenés à Machu Picchu, au Festival de mitrailleuses Knob Creek et dans les coulisses du Cirque du Soleil - juste la bonne touche pour vous rendre intouchable. Personne n'ose tout à fait oser, car vous êtes peut-être un coureur de motocross de classe mondiale.

Quiconque lit "33 hommes" sera amené dans un monde qui était pratiquement un cas d'école de privation sensorielle et de torture.

J'ai interviewé Hugo Chavez, Tim McVeigh et des centaines de personnages fascinants en Amérique du Sud, où j'ai vécu depuis 15 ans.

Je vis au Chili depuis 1996 et signalé au Chili depuis 1989, donc je connais la nation mieux que mon Massachusetts natif.

Au Pérou, la sensibilisation à la fausse monnaie est si élevée que les magasins de détail fournissent régulièrement aux caissier des puncheurs de trou. Lorsqu'une fausse facture est reçue, le caissier apparaît rapidement quelques trous avant de retourner vivement la facture à un client souvent surprise.

J'aurais pu être un espion de premier ordre. Les gens me confessent les secrets les plus étonnants, même lorsque je ne pêche pas ces pépites. Je dois avoir l'air digne de confiance parce que je suis assis là avec une caméra vidéo ou un magnétophone pendant que les histoires coulent.

J'ai écrit «33 hommes» dans huit semaines. Non seulement c'était une combinaison d'écriture et d'interview simultanément, mais alors que je me suis approfondi dans l'histoire des mineurs, j'ai trouvé que la clé de leur succès était la capacité de placer leur individualité sur le brûleur arrière et de faire avancer le sentiment d'un groupe collectif responsabilité.

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