Découvrez un extrait de ce roman triste et hilarant !

Qu'est-ce qui est pire que d'aller enterrer son père ? Réponse : passer les sept jours de deuil qui suivent enfermé avec sa propre famille de dingues... 

Qu'y a-t-il de pire que d'enterrer son père ? Réponse : passer la semaine qui suit enfermé avec sa propre famille de dingues...

Morton Foxman s'en est allé. Mais avant de mourir, il a exprimé une dernière volonté : que sa famille célèbre la Shiva'h. Sept jours de deuil, ensemble, sous le même toit. Une perspective peu réjouissante pour ce clan qui ne s'est pas retrouvé ainsi réuni depuis... depuis quand déjà ? Judd, qui nage en pleine déprime après avoir découvert sa femme en flagrant délit d'adultère, s'apprête à vivre ce qui pourrait être la pire semaine de sa vie. Il rejoint sa mère, aux talons et décolleté vertigineux ; sa sour Wendy accompagnée de ses gosses hyperactifs et de son mari continuellement scotché à son BlackBerry ; son frère aîné, Paul, atrabilaire, et sa charmante épouse, avec qui Judd a pris un peu de bons temps par le passé ; et enfin Phillip, le vilain petit canard, qui se fait aussi rare que discret sur ses activités... Des caractères diamétralement opposés contraints de cohabiter pendant sept jours et sept nuits. Les non-dits, les rancours couvent. Et chacun de prendre sur lui pour ne pas péter les plombs. Famille, je vous hais ! Heureusement, il y en a au moins un qui n'est plus là pour voir ça...

C'est ici que l'on se quitte - extrait offert

La vie vaut-elle toujours le coup d'être vécue ? Lorsqu'on s'appelle Silver, quarantenaire divorcé et ex-rock star sans le sou, qu'on est à la fois un fils et un père minable, et qu'on apprend que l'on doit se faire opérer de toute urgence, la réponse est catégorique. Pas question de passer sur le billard ! Silver a autre chose en tête : profiter du temps qu'il lui reste pour ne pas laisser à ses proches l'image d'un raté...

Une dernière chose avant de partir

La vie vaut-elle toujours le coup d'être vécue ? Lorsqu'on s'appelle Silver, quarantenaire divorcé et ex-rock star sans le sou, qu'on est à la fois un fils et un père minable, et qu'on apprend que l'on doit se faire opérer de toute urgence, la réponse est catégorique. Pas question de passer sur le billard ! Silver a autre chose en tête : profiter du temps qu'il lui reste pour ne pas laisser à ses proches l'image d'un raté...
 
 Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Christine Barbaste " Ce roman repose sur une idée scénaristique géniale. [Il] nous rappelle, avec humour et légèreté, qu'il est toujours temps de rattraper nos erreurs, de commencer à vivre pour de bon. " Patrick Williams, Elle

Drew Silver n’a pas toujours fait les bons choix. Sa gloire éphémère de batteur dans un groupe de rock – qu’un seul et unique tube a propulsé brièvement aux sommets des charts – remonte à près de dix ans. Aujourd’hui, il vit au Versailles, une résidence qui accueille des divorcés un peu paumés, comme lui. Pour gagner sa vie, il a intégré un orchestre spécialisé dans les cérémonies de mariages. Son ex-femme, Denise, est sur le point de se remarier. Et Casey, sa fille qui s’apprête à intégrer Princeton, vient de lui confier qu’elle est enceinte – et ce uniquement parce que de ses deux parents, Silver est celui qu’elle répugne le moins à décevoir.Lorsqu’il apprend que sa vie ne tient plus qu’à un fil et que seule une opération peut le sauver, Silver prend une décision radicale : il refuse l’intervention. Le peu de temps qui lui reste à vivre, il veut le consacrer à renouer avec Casey, à devenir un homme meilleur. Pendant que, sous le regard de sa famille au comble de l’exaspération, Silver bataille ferme avec cette question existentielle, chacun se démène pour recoller les morceaux de cette famille désunie, au risque de l’abîmer davantage encore…

J'avais une femme. Elle s'appelait Hailey. Aujourd'hui, elle est morte. Et je suis mort aussi. Doug a 29 ans et il est veuf. Depuis deux ans. Depuis que l'avion dans lequel voyageait Hailey a explosé en plein vol. Et depuis, Doug se noie dans l'autoapitoiement comme dans le Jack Daniel's. Jusqu'à ce que sa petite famille débarque en force. Son beau fils, Russ, en conflit avec l'humanité entière. Sa jumelle, enceinte, qui décide de s'installer chez lui. Et sa plus jeune soeur, qui s'apprête à épouser l'ex-meilleur ami de Doug... rencontré à l'enterrement de Hailey ! Sans oublier son père, qui commence à perdre la tête et lui demande régulièrement des nouvelles de sa femme, ou encore sa voisine qui s'obstine à lui susurrer des mots cochons à l'oreille... Et que dire de ses allures d'écrivain ténébreux qui lui attirent les faveurs de la gent féminine et des grands éditeurs, grâce à sa chronique hebdomadaire "Comment parler à un veuf" qui a fait de lui une star ! Qu'il le veuille ou non, plus question de se couper des autres. Pourtant, ce n'est que lorsque Russ est précipité dans les pires ennuis que Doug reprend réellement les choses en main. Et son retour à la vie ne se fera pas sans perte et fracas...

Perte et fracas

The Richard & Judy-selected author returns with a touching and hilarious new novel.

This Is Where I Leave You

Après Joe Goffman' ; les automnes de s Bush devient un best-seller d'emballement, il ne compte jamais retourner à sa petite ville natale du Connecticut et faire face à l'outrage produit par les secrets foncés que son roman autobiographique indique. Mais quand son père souffre une course représentant un danger pour la vie, retournez le Joe malheureux et non atteint, rencontre de front l'antipathie l'attendant. Parmi Bush tombent les gens du pays déterminés sur la vengeance dans cet effort frais d'étudiant en deuxième année par Tropper (le plan B) sont souris de shérif adjoint et cire de Sean d'ex-con, les deux anciens membres de l'équipe de basket de lycée, comme l'épouse de l'entraîneur de football, qui vide un lait de poule sur Joe le premier jour où il est de retour en ville. Joe croise également des chemins avec son frère plus âgé irrité, Brad ; Lucy, la mère sexy d'un ami de lycée ; et Carly, le seul femme qu'il a toujours vraiment aimé. À son meilleur, le roman illustre habilement la tendresse et les difficultés du premiers amour et amitié, explorant la conséquence de Joe' ; rapports de lycée de s avec Carly et copains Sammy et Wayne. Ventilateurs de Tom Perrotta' ; l'humeur sarcastique de s appréciera Tropper' ; évocation de s de l'attrait et d'hypocrisie de vie américaine smalltown, en particulier dans des épisodes drug-- et alcool-remplis de combustible impliquant Joe' ; s neveu de 19 ans, Jared, et un adulte, Wayne Aide-infecté. Références fréquentes de culture pop, en particulier à Bruce Springsteen, choses de mouvement d'aide le long de vivement et par novel' ; l'extrémité de s, Joe a appris à apprécier les vertus des automnes de Bush et à réaliser he' ; s non parfait lui-même. En dépit de ses charmes, cependant, ce boy-who-won' ; t-élevez-vous-vers le haut original compte trop fortement sur les lignes en boîte (" ; she' ; s prenant des mesures de mon âme par son eyes" ;) et mélodrama facile.

Le livre de Joe

Right after high school, Joe Goffman left sleepy Bush Falls, Connecticut and never looked back. Then he wrote a novel savaging everything in town, a novel that became a national bestseller and a huge hit movie. Fifteen years later, Joe is struggling to avoid the sophomore slump with his next novel when he gets a call: his father's had a stroke, so it's back to Bush Falls for the town's most famous pariah. His brother avoids him, his former classmates beat him up, and the members of the book club just hurl their copies of Bush Falls at his house. But with the help of some old friends, Joe discovers that coming home isn't all bad--and that maybe the best things in life are second chances.  Fans of Nick Hornby and Jennifer Weiner will love this book, by turns howling funny, fiercely intelligent, and achingly poignant. As evidenced by  The Book of Joe's  success in both the foreign and movie markets, Jonathan Tropper has created a compelling, incredibly resonant story.

THE BOOK OF JOE

Jonathan Tropper, né le 19 février 1970 à New York dans le Bronx (quartier de Riverdale), est un écrivain, scénariste et producteur américain.

Que j'écris un roman sur un gars pleurant la mort de son père ou si j'écris une émission sur les gens qui se tuent, vous voulez entendre des personnages parler et être drôle et plein d'esprit.

Même dans les meilleures circonstances, il y a juste quelque chose de si tragique à grandir.

Je ressens parfois l'inconfort des gens en supposant que mon travail est autobiographique.

Vous pouvez tout faire différemment dans un roman. Le héros raconte le roman; Nous sommes dans sa tête. Vous entendez tous ses processus de pensée et vous l'entendez s'appeler à son mauvais comportement. Vous n'avez pas le bénéfice de ce narrateur dans un film. Ce que vous voyez un personnage, très souvent, devient beaucoup plus important parce que vous ne l'avez pas éditorialisé pour vous.

Je suis à mon bureau avant neuf ans et je pars toute la journée. Je ne suis pas nécessairement productif toute la journée, mais vraiment, qui l'est?

Je n'ai jamais été abattu, mais c'est probablement ce que ça fait, ce deuxième de néant juste avant que la douleur ne rattrape la balle.

Il n'y a pas de fin heureuse, juste des jours heureux, des moments heureux. La seule vraie fin est la mort, et croyez-moi, personne ne meurt heureux. Et le prix de ne pas mourir est que les choses changent tout le temps, et la seule chose sur laquelle vous pouvez compter, c'est qu'il n'y a rien que vous puissiez faire à ce sujet.

Personne ne veut bercer sa propre vie. Mais, d'un autre côté, lorsque votre vie est secouée, elle vous offre un certain niveau d'honnêteté émotionnelle. Cela vous libère pour être qui vous êtes vraiment.

Vous êtes terrifié d'être seul. Tout ce que vous faites maintenant sera motivé par cette peur. Vous devez cesser de vous soucier de retrouver l'amour. Il viendra quand il arrivera. Soyez à l'aise pour être seul. Cela vous donnera le pouvoir.

L'avenir n'est tout simplement pas ce qu'il était

Je pense que l'un de mes meilleurs cadeaux en tant qu'écrivain est l'empathie.

Le destin nous a déjà avertis de l'emballer. Nous ne l'avons pas entendu à temps.

Le pardon a son confort, mais il ne peut jamais vous rendre ce que vous avez perdu.

... Vous vous rendez compte que vous ne vous comprenez pas mieux que vous ne comprenez que quelqu'un d'autre.

Vous devez regarder ce que vous avez juste devant vous, à ce que cela pourrait être, et arrêter de le mesurer contre ce que vous avez perdu. Je sais que c'est sage et vrai, tout comme je sais que personne ne peut le faire.

Nous n'arrêtons pas d'aimer les gens simplement parce que nous les détestons, mais nous n'arrêtons pas non plus de les détester.

Je suis d'abord romancier, et j'ai écrit un tas de livres, et tout ce que j'écris, je trouve que les gens sont plus intéressants quand il y a un élément d'humour.

Vous ne pouvez jamais détester totalement quelqu'un qui vous a chanté pour dormir comme ça, n'est-ce pas? Qui vous a calmé et a atténué vos peurs. Vous pouvez vous sentir en colère et trahi, mais une partie de vous les aimera toujours pour être là les nuits effrayantes, pour vous avoir donné un endroit pour courir à l'endroit où vos cauchemars ne pouvaient pas suivre, le seul endroit où vous pourriez descendre enfin dans le sommeil Sachant, au moins pour le moment, que vous étiez complètement en sécurité.

Il est difficile d'imaginer qu'elle se sentait perdue, mais il est impossible de connaître les gens de vos parents avant d'être vos parents.

Dans n'importe quel spectacle sérialisé, vous allez avoir des lignes qui vous guident tout au long de la saison, et vous allez avoir des arcs individuels qui se résolvent dans un ordre plus court.

Il y a des gens qui n'attendent pas ce qui vient ensuite. Ils décident de ce qui devrait venir et ils vont y arriver.

Des collégiens tapageurs et houblonnés nous dépassent dans un flou sans fin et bruyant comme s'ils étaient produits en masse ou serrés dans un tube - les gars secouant dans leurs t-shirts et shorts de cargaison, les filles en jean à faible émission et les tongs et les tongs , boutons et seins et tatouages et rouge à lèvres et jambes et sangles de soutien-gorge, et cigarettes; Un mélange coloré et sexy. Je me sens vieux et fatigué et je veux juste être à nouveau, je veux être jeune et stupide, rempli d'angoisse et d'attitude et de luxure effrénée. Puis-je avoir une do-over, s'il vous plaît? Je jure que Dieu, je vais faire un vrai coup cette fois.

Vous avez perdu votre femme, Douglas. Mes chagrins pour vous, c'est vraiment le cas. Mais je perds mon mari tous les jours, encore une fois. Et je ne peux même pas pleurer.

Je suis généralement quelqu'un qui espère le meilleur. Ce n'est pas ce que l'on doit faire dans ma ligne de travail [scénarisation], mais c'est ce que je fais.

Soyez à l'aise pour être seul. Cela vous donnera le pouvoir.

Nous sommes tous des clichés, tous des scripts qui ont été écrits et joués bien avant de décrocher le rôle.

C'est vrai. Quelque part en nous, nous sommes tous les âges que nous avons jamais été. Nous sommes les 3 ans qui ont été morts par le chien. Nous sommes âgés de 6 ans que notre mère a perdu la trace du centre commercial. Nous sommes les 10 ans qui sont chatouillés jusqu'à ce que nous mouillons notre pantalon. Nous sommes l'enfant timide de 13 ans avec des zits. Nous sommes le jeune de 16 ans, personne n'a demandé au bal, etc. Nous nous promenons dans le corps des adultes jusqu'à ce que quelqu'un appuie sur le bouton droit et invoque un de ces enfants.

Il y a une satisfaction que j'obtiens en écrivant de la fiction que je n'obtiendrai jamais de scénarisation.

À ce stade de ma vie, je ne cherche aucune fin heureuse. Je cherche juste à commencer les choses.

L'amour a fait de nous des partenaires dans le narcissisme, et nous avons parlé sans ce que nous étions proches, à quel point notre connexion était parfaite, comme nous étions les premières personnes de l'histoire à bien comprendre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Tropper

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