The nature and essence of economic theory

Can Capitalism Survive?: Creative Destruction and the Future of the Global Economy

Joseph Aloys Schumpeter reste l'une des figures les plus marquantes de la théorie économique du 20e siècle. Sa pensée semble aujourd'hui faire l'objet d'un réel regain d'intérêt, comme le montrent les références nombreuses à cet auteur dès qu'il s'agit d'évoquer des problèmes liés à la croissance, aux cycles ou encore aux innovations technologiques. Mais un constat s'impose : L'héritage de Schumpeter repose à l'heure actuelle exclusivement sur la dimension réelle de sa théorie, à savoir, sur le rôle de l'innovation et de l'entrepreneur. En revanche, sa contribution à l'analyse monétaire demeure plutôt méconnue. Pourtant, une lecture attentive de son oeuvre tend à faire ressortir l'intérêt que l'économiste portait à la monnaie et montre à quel point sa réflexion sur l'évolution capitaliste était indissociable de cet élément. Ainsi, Schumpeter a consacré une part non négligeable de sa carrière à la rédaction d'un traité sur la monnaie, demeuré inachevé, mais ayant fait l'objet d'une publication posthume partielle en allemand, en 1970, sous le titre Das Wesen des Geldes. Grâce à la traduction française que nous proposons aujourd'hui dans une version complète, nous espérons "rééquilibrer" l'héritage intellectuel de Schumpeter et faire découvrir un aspect négligé, mais pourtant stimulant de sa pensée, eu égard aux idées originales et novatrices qu'elle contient. En effet, loin d'être une simple curiosité de son oeuvre, ce livre renferme la tentative la plus tenace de construire une analyse de l'économie dont le point de départ est l'institution monétaire. Selon Schumpeter, la monnaie est avant tout une "comptabilité sociale", qui enregistre et organise les activités économiques et dont les éléments les plus significatifs sont les banques et le crédit. Ainsi entendue, la monnaie est l'hypothèse institutionnelle minimale qu'il faut poser pour comprendre le fonctionnement d'une économie en perpétuel changement.

Théorie de la monnaie et de la banque - Tome 2, Théorie Appliquée

Joseph Aloys Schumpeter reste l'une des figures les plus marquantes de la théorie économique du 20ème siècle. Sa pensée semble aujourd'hui faire l'objet d'un réel regain d'intérêt, comme le montrent les références nombreuses à cet auteur dès qu'il s'agit d'évoquer des problèmes liés à la croissance, aux cycles ou encore aux innovations technologiques. Mais un constat s'impose : L'héritage de Schumpeter repose à l'heure actuelle exclusivement sur la dimension réelle de sa théorie, à savoir, sur le rôle de l'innovation et de l'entrepreneur. En revanche, sa contribution à l'analyse monétaire demeure plutôt méconnue.
Pourtant, une lecture attentive de son œuvre tend à faire ressortir l'intérêt que l'économiste portait à la monnaie et montre à quel point sa réflexion sur l'évolution capitaliste était indissociable de cet élément. Ainsi, Schumpeter a consacré une part non négligeable de sa carrière à la rédaction d'un traité sur la monnaie, demeuré inachevé, mais ayant fait l'objet d'une publication posthume partielle en allemand, en 1970, sous le titre Das Wesen des Geldes. Grâce à la traduction française que nous proposons aujourd'hui dans une version complète, nous espérons " rééquilibrer " l'héritage intellectuel de Schumpeter et faire découvrir un aspect négligé, mais pourtant stimulant de sa pensée, eu égard aux idées originales et novatrices qu'elle contient. En effet, loin d'être une simple curiosité de son œuvre, ce livre renferme la tentative la plus tenace de construire une analyse de l'économie dont le point de départ est l'institution monétaire. Selon Schumpeter, la monnaie est avant tout une " comptabilité sociale ", qui enregistre et organise les activités économiques et dont les éléments les plus significatifs sont les banques et le crédit. Ainsi entendue, la monnaie est l'hypothèse institutionnelle minimale qu'il faut poser pour comprendre le fonctionnement d'une économie en perpétuel changement.

Joseph Aloys Schumpeter reste l'une des figures les plus marquantes de la théorie économique du 20e siècle. Sa pensée semble aujourd'hui faire l'objet d'un réel regain d'intérêt, comme le montrent les références nombreuses à cet auteur dès qu'il s'agit d'évoquer des problèmes liés à la croissance, aux cycles ou encore aux innovations technologiques. Mais un constat s'impose : L'héritage de Schumpeter repose à l'heure actuelle exclusivement sur la dimension réelle de sa théorie, à savoir, sur le rôle de l'innovation et de l'entrepreneur. En revanche, sa contribution à l'analyse monétaire demeure plutôt méconnue. Pourtant, une lecture attentive de son ouvre tend à faire ressortir l'intérêt que l'économiste portait à la monnaie et montre à quel point sa réflexion sur l'évolution capitaliste était indissociable de cet élément. Ainsi, Schumpeter a consacré une part non négligeable de sa carrière à la rédaction d'un traité sur la monnaie, demeuré inachevé, mais ayant fait l'objet d'une publication posthume partielle en allemand, en 1970, sous le titre Das Wesen des Geldes. Grâce à la traduction française que nous proposons aujourd'hui dans une version complète, nous espérons " rééquilibrer " l'héritage intellectuel de Schumpeter et faire découvrir un aspect négligé, mais pourtant stimulant de sa pensée, eu égard aux idées originales et novatrices qu'elle contient. En effet, loin d'être une simple curiosité de son œuvre, ce livre renferme la tentative la plus tenace de construire une analyse de l'économie dont le point de départ est l'institution monétaire. Selon Schumpeter, la monnaie est avant tout une " comptabilité sociale ", qui enregistre et organise les activités économiques et dont les éléments les plus significatifs sont les banques et le crédit. Ainsi entendue, la monnaie est l'hypothèse institutionnelle minimale qu'il faut poser pour comprendre le fonctionnement d'une économie en perpétuel changement.

Théorie de la monnaie et de la banque - Tome 1, l'essence de la monnaie

Les progrès économiques, dans la société capitaliste, signifient les troubles.

Le capitalisme inévitablement et en raison de la logique même de sa civilisation crée, éduque et subventionne un intérêt direct pour les troubles sociaux.

Il est, après tout, le bon sens de réaliser que, mais pour le fait que la vie économique est un processus de changement interne incessant, le cycle économique, tel que nous le savons, n'existerait pas.

Au cœur du capitalisme se trouve la destruction créative.

Matériaux ou un nouveau débouché pour les produits, en réorganisant une industrie et ainsi de suite.

Les politiciens sont comme de mauvais cavaliers qui sont si préoccupés de rester en selle qu'ils ne peuvent pas se soucier de leur position.

Le problème avec la Russie n'est pas qu'elle est socialiste mais qu'elle est la Russie.

Notre pauvreté ne nous sera ramenée dans toute sa mesure qu'après la guerre.

Le capitalisme est son procès devant les juges qui ont la peine de mort dans leurs poches. Ils vont le passer, quelle que soit la défense qu'ils peuvent entendre; Le seul succès victorieux peut éventuellement produire est un changement dans l'acte d'accusation.

Le profit est le paiement que vous recevez lorsque vous profitez du changement.

La démocratie est une méthode politique, c'est-à-dire un certain type d'arrangement institutionnel pour arriver à des décisions politiques - législatives et administratives - et donc incapables d'être une fin en soi.

La réalisation capitaliste ne consiste généralement pas à fournir plus de bas en soie pour les reines, mais à les amener à la portée des filles d'usine en échange d'un effort constant.

L'accès au dividende national n'est ordinairement accordé qu'à la condition d'un service productif rendu antérieurement ou d'un produit vendu antérieurement. Cette condition n'est, dans ce cas, pas encore remplie. Il ne sera rempli qu'après la réussite des nouvelles combinaisons. Ce crédit affectera donc entre-temps le niveau des prix.

Le bulletin de vote est plus fort que les balles.

La bourse est un mauvais substitut du Saint Graal.

Le processus capitaliste façonne les choses et les âmes du socialisme.

D'une part, prédire l'avènement des grandes entreprises considérait les conditions de la journée de Marx une réussite en soi.

Nous planifions toujours trop et pensons toujours trop peu.

Le capitalisme survit? - J'ai essayé de montrer qu'une forme socialiste de la société émergera inévitablement d'une décomposition tout aussi inévitable de la société capitaliste.

L'esprit d'un peuple, de son niveau culturel, de sa structure sociale, des actes que sa politique peut préparer - tout cela et plus est écrit dans son histoire fiscale, dépouillé de toutes les phrases. Celui qui sait écouter son message ici discerne le tonnerre de l'histoire du monde plus clairement que partout ailleurs.

Il est tout à fait possible que les générations futures examinent les arguments sur l'infériorité du plan socialiste en examinant l'argument d'Adam Smith sur les sociétés d'actions conjointes qui, également, étaient tout simplement fausses.

Le métal de la théorie économique est dans les pages de Marx immergée dans une telle richesse de phrases fumantes qu'elle acquérir une température non naturellement la sienne.

En fait, l'économie capitaliste n'est pas et ne peut pas être stationnaire. Il ne s'agit pas non plus simplement d'une expansion régulière. Elle est sans cesse révolutionnée de l'intérieur par de nouvelles entreprises, c'est-à-dire par l'intrusion de nouvelles marchandises ou de nouvelles méthodes de production ou de nouvelles opportunités commerciales dans la structure industrielle telle qu'elle existe à tout moment.

Il est cependant toujours important de se rappeler que la capacité de voir les choses dans leur perspective correcte peut être, et est souvent divorcée de la capacité de raisonner correctement et vice versa. C'est pourquoi un homme peut être un très bon théoricien et pourtant parler non-sens absolu.

La première chose qu'un homme fera pour ses idéaux est de mentir.

Je sais qu'il ne suffit pas de se souvenir des livres et des théories. On ne fait pas de différence à moins que ce ne soit une différence dans la vie des gens.

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