Je me souviens encore d'avoir regardé une couverture télévisée de la Convention nationale démocrate à l'été 1992 (quand il avait 17 ans) lorsque Bill Clinton a obtenu la nomination. Cela faisait certainement partie de mon intérêt croissant pour la politique.

Ayez beaucoup de respect pour la responsabilité que les journalistes doivent poser des questions difficiles, tenir l'administration responsable et défendre les citoyens des États-Unis.

La sœur cadette de ma mère est née avec le syndrome de Down. J'étais proche de ma grand-mère quand je grandissais. Je me souviens avoir parlé à ma grand-mère de la politique, et elle m'a dit qu'elle avait régulièrement voté pour les démocrates parce qu'elle savait qu'ils allaient chercher des gens comme sa fille. Cela m'a aussi fait une impression.

Si cela arrive à une situation où cela se transforme en débat, regardez, la personne dont je débat est la personne qui écrit l'histoire ou présente la diffusion. Ils ne vont pas écrire l'histoire de telle manière qu'ils montrent qu'ils ont perdu.

Mon départ en politique a été de regarder mes parents aller aux urnes le jour du scrutin. Cela m'a rappelé qu'être un citoyen et un électeur actif et engagé est essentiel au succès de notre démocratie.

Nous accueillerions cela, mais cela nécessitera un engagement de la part des Nord-Coréens à dénucléiser la péninsule coréenne et à poursuivre une relation stable avec leurs voisins. Au lieu de cela, nous avons vu beaucoup de provocations et un bafouage des normes et obligations internationales.

Nous avons marché en verrouillage avec Israël. Nous avons été côte à côte avec eux car ils ont confronté la menace nucléaire iranienne et nous continuerons de l'être. Toutes les options restent sur la table. C'est quelque chose que nous avons dit depuis le début. Cela continue d'être le cas.

Le plus grand défi d'être le secrétaire de presse est d'essayer d'être conscient de toutes les choses qui se produisent, à la fois dans le monde mais aussi ici à la maison et en politique, et en essayant d'absorber toutes ces informations aussi rapidement que possible.

Ma maman et ma grand-mère l'étaient définitivement (partisans démocrates). Ce n'était pas le sentiment que "eh bien, nous votons pour les démocrates quoi qu'il arrive", mais c'était en quelque sorte le sentiment que "les démocrates sont généralement ceux qui recherchent des travailleurs comme nous".

J'essaie de présenter le plus efficacement et de manière convaincante notre argument, d'une manière qui donne à d'autres personnes les informations dont il a besoin pour décider, sur les mérites, la sagesse du chemin que le président a préconisé.

La manière la plus fréquente que je communique avec lui Obamacis lorsque nous voyageons. Nous parlons de ce qui est dans les nouvelles, et je l'entends parler de problèmes qui sont importants pour lui.

Il y avait aussi un sentiment que s'il [Obama] ne gagnait pas dans l'Iowa, il était très peu probable qu'il puisse revenir et remporter la nomination démocrate et gagner les élections générales. C'était une sorte de pari tout ou rien. Les enjeux étaient si élevés.

Les journalistes sont toujours censés exiger plus d'accès et plus de transparence. Donc, le jour où il n'y a pas de friction entre le Corps de presse de la Maison Blanche et la Maison Blanche est le jour où quelqu'un dans le corps de presse ne fait pas son travail.

Je crois que cette responsabilité que les journalistes ont mérite de leur montrer le respect, et c'est ce que j'essaie de faire régulièrement, et j'ai été heureux que la plupart des journalistes aient également fait du respect.

Le privilège de rendez-vous, d'entrer dans le bureau ovale et d'avoir une conversation avec le président, n'est pas quelque chose que tout le monde obtient.

Je pense qu'il y a eu un certain nombre de situations dans lesquelles vous avez vu cette administration intervenir de manière significative, qui a considérablement exprimé les intérêts américains et amélioré considérablement le, euh, vous savez, la tranquillité de la communauté mondiale.

Le président et la première dame ont organisé une fête privée à la Maison Blanche ce week-end, mais étant donné la nature privée de cet événement, je n'ai pas beaucoup de détails à discuter d'ici.

Les États-Unis ont joué le rôle d'encourager les deux parties à se réunir pour essayer de résoudre enfin ce problème, et nous avons été ravis de voir les dirigeants des deux parties travailler courageusement pour le faire.

Il y avait toujours ce sens, même au début de la campagne, que si le sénateur Obama pouvait marquer cette victoire bouleversée dans l'Iowa, il y avait de fortes chances qu'il finisse par être président des États-Unis.

ne venait pas d'une famille particulièrement politique. Mes parents étaient des électeurs réguliers. Mes parents n'ont pas gagné assez d'argent pour contribuer aux campagnes, et ils n'ont pas vraiment frappé aux portes des candidats quand je grandissais.

Il y a beaucoup de gens qui sont impatients de blâmer. Je pense que nous sommes [USA] désireux d'essayer de trouver des solutions. Une chose qui aiderait serait une législation complète de réforme de l'immigration.

Nous avons soulevé des préoccupations importantes concernant la façon dont la Chine et les individus agissant au nom de l'État de Chine ont agi dans le cyberespace.

Lorsque le président m'a offert ce travail, il m'a dit que s'il y avait des situations dans lesquelles je devais lui parler ou si j'avais besoin de ses conseils ou si je devais lui poser une question, que je pouvais aller dans le bureau ovale et je pouvais demander lui.

Ce que j'essaie de me souvenir, c'est que dans la salle de briefing, ce n'est pas un débat. Je ne suis pas censé y aller et gagner un débat avec le Press Corps. Si c'est ce que j'essaie de faire, alors je vais perdre.

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