In frangranti. En flagrant délit. En flag'. Voilà comment on pourrait traduire le titre original de cesecond livre du fils de Pablo Escobar, Juan Pablo. Après avoir parcouru la moitié du pays et interviewé des personnages de la pègre qui s'étaient toujours refusé à lui répondre, le fils unique du chef du cartel de Medellin partage ici avec le lecteur sa perplexité devant les découvertes de cette enquête. Dans l'idée de redécouvrir son père, Juan Pablo Escobar nous propose des révélations autour de six axes majeurs :- La puissance des paramilitaires qui ont gagné la guerre,- L'informateur américain qui l'a photographié en pleine transaction mais qui ne vécut pas assez longtemps pour le raconter,- Ce qu'il faisait le soir où ses sicarios (tueurs à gages) ont exécuté le ministre de la Justice,- Les confessions de William Rodriguez, l'homme qui n'a pas choisi d'être l'héritier du cartel de Cali,- Ce qu'il s'est passé quand il a capturé les guerilleros du M-19, sur le point de le kidnapper,- L'autoroute par laquelle circulaient la drogue et l'argent de Pablo Escobar, entre Miami, New York et Los Angeles.

Ce que mon père ne m'a jamais dit

Une mise en lumière incontournable pour découvrir la face la plus sombre du monde de Pablo Escobar, le plus grand narcotraficant du monde. In frangranti. En flagrant délit. En flag'. Voilà comment on pourrait traduire le titre original dece second livre du fils de Pablo Escobar, Juan Pablo. Après avoir parcouru la moitié du pays et interviewé des personnages de la pègre qui s'étaient toujours refusé à lui répondre, le fils unique du chef du cartel de Medellin partage ici avec le lecteur sa perplexité devant les découvertes de cette enquête. Dans l'idée de redécouvrir son père, Juan Pablo Escobar nous propose des révélations autour de sixaxes majeurs :. La puissance des paramilitaires qui ont gagné laguerre, . L'informateur américain qui l'a photographié en pleine transaction mais qui ne vécut pas assez longtemps pour le raconter, . Ce qu'il faisait le soir où ses sicarios (tueurs à gages) ont exécuté le ministre de la Justice, . Les confessions de William Rodriguez, l'homme qui n'a pas choisi d'être l'héritier du cartel de Cali, . Ce qu'il s'est passé quand il a capturé les guerilleros du M-19, sur le point de le kidnapper, . L'autoroute par laquelle circulaient la drogue et l'argent de Pablo Escobar, entre Miami, New York et Los Angeles.

Pablo Escobar - ce que mon père ne m'a jamais raconté

Une mise en lumière incontournable pour découvrir la face la plus sombre du monde de Pablo Escobar, le plus grand narcotraficant du monde.In frangranti. En flagrant délit. En flag'. Voilà comment on pourrait traduire le titre original de ce second livre du fils de Pablo Escobar, Juan Pablo. Après avoir parcouru la moitié du pays et interviewé des personnages de la pègre qui s'étaient toujours refusé à lui répondre, le fils unique du chef du cartel de Medellin partage ici avec le lecteur sa perplexité devant les découvertes de cette enquête. Dans l'idée de redécouvrir son père, Juan Pablo Escobar nous propose des révélations autour de six axes majeurs :- La puissance des paramilitaires qui ont gagné la guerre,- L'informateur américain qui l'a photographié en pleine transaction mais qui ne vécut pas assez longtemps pour le raconter,- Ce qu'il faisait le soir où ses sicarios (tueurs à gages) ont exécuté le ministre de la Justice,- Les confessions de William Rodriguez, l'homme qui n'a pas choisi d'être l'héritier du cartel de Cali,- Ce qu'il s'est passé quand il a capturé les guerilleros du M-19, sur le point de le kidnapper,- L'autoroute par laquelle circulaient la drogue et l'argent de Pablo Escobar, entre Miami, New York et Los Angeles.

Si certains pensaient que tout avait été dit sur Pablo Escobar, le plus grand trafiquant de drogue de tous les temps, c'était compter sans son fils qui, plus de vingt ans après une chasse à l'homme qui a marqué l'Histoire, nous livre enfin sa vérité. Découvrez le portrait et l'intimité d'un homme tout en contradiction : généreux, père de famille aimant, mais aussi capable d'une violence et d'une cruauté inouïes, il rut tantôt célébré comme un Robin des Bois, tantôt craint comme le chef impitoyable du Cartel de Medellín. Libéré de toute peine et rancoeur, Escobar Junior n'est pas en quête de rédemption. Il partage simplement son regard éclairé sur les conséquences de la violence, afin d'y mettre un terme définitif.

Pablo Escobar: mon père

Ce que la série Narcos ne vous a pas dit...Entre la myriade de livres écrits, et la série déjà culte " Narcos ", nous pensions que tout avait déjà été dit sur l'ascension fulgurante et la descente aux enfers de Pablo Escobar, le plus grand trafiquant de stupéfiants de tous les temps. Mais ces versions ont toujours été racontées d'un point de vu extérieur, incapables de dévoiler la véritable intimité du personnage, occultant bien souvent une partie de la vérité. Aujourd'hui, vingt ans après une chasse à l'homme acharnée, son fils lève le voile sur un des personnages les plus marquants du vingtième siècle. Découvrez le portrait d'un homme tout en contradiction, généreux avec les autres, père de famille aimant, et également capable d'actes d'une violence et d'une cruauté inouïe. À travers les yeux de son fils, plongez dans l'univers intérieur d'un homme célébré par certains comme un Robin des Bois à la main généreuse, et craint par d'autres comme le chef impitoyable de la plus grande mafia de l'histoire de l'humanité. À la mort d'Escobar, son fils, encore adolescent, jura de le venger. Mais Escobar Junior réalisa vite qu'il s'agissait pour cela de suivre les traces de son père – quelque chose qu'aucun des deux n'avaient jamais souhaité. Une fois le coeur apaisé, il décida de dénoncer l'héritage de Pablo Escobar. Il ne s'agit pas là de l'histoire d'un fils en quête de rédemption, mais de son regard éclairé sur les conséquences de la violence, et sa tentative d'y mettre un terme.Fils de Pablo Escobar, le chef du Cartel de Medellin, Juan Pablo Escobar est architecte, conférencier, écrivain, et un farouche partisan de la politique antidrogue. Il a été au centre d'un documentaire récompensé aux oscars, appelé " Les pêchés de mon père " et vit aujourd'hui en Argentine.

Pablo Escobar, mon père

Je n'aimais pas les actions de [Pablo Escobar] parce que je ne pensais pas qu'il était juste d'avoir des bombes placées de manière non discriminatoire dans tout le pays.

Malheureusement, de désactiver un cartel entier s'est également avéré être une tâche difficile pour mon père et avec tous les ennemis qu'il avait, encore plus.

Je n'ai pas commencé à parler de la paix quand mon père est mort et je n'ai pas commencé à le critiquer à ce moment-là - je l'ai fait quand je l'ai eu devant moi, j'étais l'un de ses plus durs critificateurs et je n'ai jamais applaudi sa violence.

Les photos qui ont été envoyées affichent mon père dans des endroits du monde comme le métro à Barcelone ou dans le centre-ville de Los Angeles, je ne peux pas comprendre la quantité de publicité qui a été donnée à mon père en plus du message qui est répandu à cause de ce.

Je pense que ces discussions avec mon père ont même donné le label de pacifiste, en particulier avec mon père, et il le mentionne quand il se rend en prison à La Catedral lorsqu'il consacre son action à son fils pacifiste de 14 ans.

Je savais que quelque chose n'allait pas ce jour-là, il a fait les erreurs [Pablo Escobar] ne s'était jamais engagé au cours des 10 dernières années en tant qu'homme le plus recherché du monde en une journée. Il n'a jamais utilisé le téléphone, il n'a fait que le jour où il a été tué.

Ma sœur, ma mère et moi sommes de grands amis. Nous avons toujours apprécié notre famille immédiate énormément, quelque chose que nous avons appris de mon père.

Je suis surpris que beaucoup de gens ne tiennent pas compte du fait que la fin de presque tous les trafiquants de drogue finit par être le cimetière ou la cellule de la prison, nous ne connaissons aucun cas où un trafiquant de drogue a "retraité"

Si je payais pour afficher des images de mon père [comme le fait Netflix] aux États-Unis, je suis sûr que je ferais face à des sanctions légales et je serais même tué pour le faire. Et Netflix reçoit des applaudissements au lieu de critiques pour cela.

Je suis un homme libre mais seulement partiellement par rapport aux autres personnes de la société. Pourquoi est-ce que je dis "partiellement gratuit"? Parce qu'il n'y a qu'un seul pays dans le monde qui me refuse l'entrée à cause de qui était mon père et c'est les États-Unis.

J'irais au bureau pour rendre visite à mon père [Pablo Escobar] et peu importe qui il rencontrait, il laisse tout laisser tomber pour me recevoir dans son bureau. Dans la série, les priorités que mon père démontre sont complètement inversées et fausses.

[Notre famille aime l'image de notre père parce que la seule chose que nous avons reçue de lui, c'est de l'amour et de l'affection. Nous reconnaissons que notre père a fait d'énormes dégâts à l'extérieur du foyer, mais nous demandons la réciprocité parce que la seule chose qu'il nous a donnée au sein du foyer était l'amour.

J'étais peut-être l'une des rares personnes qui ne faisaient pas partie du groupe [Pablo Escobar] de oui-hommes parce que je n'étais pas un bénéficiaire direct de la violence que ses actions ont généré.

D'une certaine manière, mon père [Pablo Escobar] a atteint un certain degré de sincérité que je suis devenu à savoir et je dirais même apprécier parce que j'aurais préféré que mon père me traite comme ça plutôt que comme un idiot qui n'aurait jamais aucune idée sur ce qui se passait autour de nous.

En réalité, mon père [Pablo Escobar] a toujours interrompu les autres pour être avec sa famille. La priorité de mon père a toujours été la famille.

Oui, bien sûr, mon père a blessé et a causé beaucoup de dégâts, mais les deux histoires sont vraies. Il a fait des choses pour aider et détruire la Colombie, les deux sont vraies.

Quand on est aussi puissant et que l'on pense que la vie durera comme ça pour toujours, c'est simplement la chose la plus éphémère. Je ne pense pas que ces fils et filles de trafiquants de drogue contribuent à une paix durable ni à des valeurs humaines qui ajoutent à notre société. Ils transmettent le message de richesse et de pouvoir qui se fait au prix de la vie et de la santé des gens et ils incitent les jeunes à suivre ce modèle.

Il est important d'apprendre du passé et des expériences des gens, non seulement de la part de [Pablo Escobar] de mon père en tant que trafiquant de drogue, mais d'autres qui ont terminé comme il l'a fait.

J'ai constamment discuté avec mon père [Pablo Escobar] parce que je n'ai jamais aimé toute violence qu'il a créée.

Bien sûr, à cet âge [sur 7], vous avez peut-être vu des films avec des armes à feu et du crime, mais à ce moment-là, je savais aussi que quelque chose d'étrange se passait dans ma famille parce que tout a changé radicalement après le meurtre de Rodrigo Lara.

Je discuterais avec mon père [Pablo Escobar] de son attitude violente et je lui dirais d'arrêter ses voies violentes et de considérer la paix comme une alternative, surtout compte tenu des nombreux problèmes qu'il avait. Cependant, il répondrait presque immédiatement en me disant "que vous oubliez que la première bombe qui a explosé en Colombie était une tentative contre vous, votre sœur et votre mère - je n'ai pas inventé le narcoterrorisme, le narcoterrisme a été utilisé pour la première fois contre ma famille.

[Pablo Escobar] m'a toujours dit que le jour où il utiliserait le téléphone serait son dernier jour, quelque chose que j'avais très clairement compris pendant que je lui parlais.

Personne ne vous prépare à 7 ans pour que votre père vous dise qu'il est un criminel - vous êtes toujours un enfant et vous pensez jouer et vous amuser, des choses qui ont peu à voir avec la réalité. Cela vous oblige à grandir et à mûrir avant l'heure prévue.

Malheureusement, [Pablo Escobar] a fini par jeter la seule opportunité qu'il avait. Je pensais naïvement, en tant que fils et autant d'autres Colombiens, qu'il saisirait cette occasion pour faire amende honorable avec le pays.

Pour chaque pierre que [Pablo Escobar] a lancé, il obtiendrait beaucoup de choses sur lui et nous, sa famille, parce que nous étions les plus vulnérables. Dans ces types de situations extrêmes, nous avons appris les conséquences de la violence et c'est pourquoi nous n'avons pas emprunté sur le même chemin.

Tout au long de la série [Narcos], je semble plus jeune et plus jeune - je ne sais pas pourquoi cela est particulier pour Netflix, pour montrer l'évolution des enfants de Pablo Escobar de cette manière.

De toute évidence, quelque chose dont je suis reconnaissant aujourd'hui, c'est que mon père avait la force de reconnaître et de me parler de ses activités au lieu de me vendre une histoire fabriquée. Je pense que cela nous a aidés à construire une relation en fonction de la confiance.

Ce que nous vivons en Colombie, c'est la fratricide, nous nous battons et il démontre la priorité de la haine sur la paix et la réconciliation.

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