Julie est allongée sur la table d'examen d'un médecin. Elle n'a pas douze ans, elle est maigre, elle est faible. Il est 4 heures de l'après-midi et elle n'a toujours pas été autorisée à manger quoi que ce soit. À côté d'elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à coeur ouvert pour sa fille... Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant fragile qui passe plus de temps en consultations que sur les bancs de l'école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements infligés et des innombrables spécialistes interrogés... Tout simplement, parce que Julie n'est pas malade... Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration. Ma mère, mon bourreau est le récit de son enfance, volée par une mère souffrant d'un besoin maladif d'attention. Un récit sans fard. Un témoignage poignant.

Ma mère, mon bourreau

Julie Gregory a su transcender l'horreur de son enfance pour nous livrer un témoignage, souvent touché par la grâce, qui laisse place à l'espoir.  Entertainment Weekly Julie est allongée sur la table d'examen d'un médecin. Elle n'a pas 12 ans, elle est maigre, elle est faible. À côté d'elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à coeur ouvert pour sa fille...



Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant qui passe plus de temps à l'hôpital que sur les bancs de l'école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements suivis et des innombrables spécialistes consultés...



Tout simplement, parce que Julie n'est pas malade... Elle est victime du syndrome de Mu?nchhausen par procuration. Son témoignage est le récit poignant de son enfance volée par une mère souffrant d'un besoin maladif d'attention.

Ma mère, mon bourreau ; j'avais 8 ans et je me croyais malade...

A powerful and compelling memoir of growing up with a schizophrenic father, who hid his mental illness behind a charismatic larger-than-life, gluttonous personality and found logical explanations for the most bizarre ways of thinking. From the international No.1 bestselling author of Sickened.

 As a child Julie was close to her father. More friend than parent, he would belt her into their tiny car and they'd punch through yellow lights, scarf down candy bars before supper and had their own way of making fun of Julie's mother in a secret language of eye-rolling. She adored her father for his exuberance, and pitied him when he broke down in suicidal desperation. But as she neared 10, a darker side emerged: her father could switch instantly from squeaking out a tear as they harmonized to "Hey Jude" in the car, to pulling his loaded pistol on the black man that asked for change in the McDonald's drive-thru as they waited.

 The isolation that came with the family's move to the country saw the wacky, unorthodox elements of her father's denied mental illness take a back seat to paranoid fear. Her father would tell her any boy who befriended her was just pretend-acting until he could rape her, and Julie came to fear all boys and men. He fell ever deeper into paranoid delusions that his daughter was sexually active, prostituting herself, sneaking out at night to sleep with black men.

 When Julie was 14 her father attempted suicide and was placed in a locked psychiatric ward. Julie was made to testify against her father, and when he was released he became convinced she had turned on him. Julie became the target of his ever more paranoid delusions.

 Julie left home before 18 but her father's schizophrenic behaviour bled over into her own life: if she couldn't find the hairdryer, she would check for signs of entry. When it later turned up, she would wonder how the thief broke back in to return it.

 Confused, lost and damaged from years spent as the only confidante of her paranoid schizophrenic father, but determined to survive, Julie was finally able to come to terms with her father. She was her father's keeper, and always would be.

My Father’s Keeper

Les livres sont mes amis, où il est normal d'être silencieux, où vous n'êtes pas un monstre si vous ne voulez pas vous enivrer, décoller dans le parking, donner des vaches.

Quand je regarde dans le réfrigérateur, je vois des épiceries, mais je ne vois pas de nourriture. Mon estomac grogne; Mais il n'y a pas d'appétit. L'appétit et la faim sont différents. L'appétit est l'incitation mentale qui donne un coup de pied à la réponse automatique en drive afin de tendre la main, de prendre la nourriture, de la mettre dans votre bouche, de mâcher et d'avaler. J'ai appris cela dans mon premier cours de psychologie. Manger n'est pas seulement un besoin physique; Cela commence dans l'esprit, générant une faim, qui devrait ensuite déclencher le corps pour ingérer de la nourriture. Je n'ai pas d'étincelles entre ces bouchons.

Après avoir pris soin des enfants en famille d'accueil, une mère a forcé sa propre fille à les battre. Selon son récit ultérieur: maman met la mouche à moucher dans ma main et me montre comment le faire: saisissez leurs poignets et frappez la poignée en plastique sur leurs paumes de bébé rose. Elle se tient à la porte de leur chambre jusqu'à ce que je puisse craquer assez fort pour les faire crier.

Mais les souvenirs qui sont les plus lourds sont les plus faciles à rappeler.

Mais les souvenirs qui sont les plus lourds sont les plus faciles à rappeler. Ils tiennent dans leurs plis la capacité de changer sa vie, organiquement, pour toujours. Même lorsque vous les secouez, ils ont laissé des rides permanentes dans le tissu de votre âme.

Je suis fier du peu d'espace que je prends. Je vais rétrécir et rétrécir jusqu'à ce que je sois une feuille de chute sèche, avec une colonne vertébrale translucide et des veines cassantes, soufflant dans un vent raide, en haut, vers le haut dans un ciel bleu croquant.

Je commence à voir que je m'entoure de gens brisés; plus brisé que moi. Ah, oui, laissez-moi compter vos fissures. Voyons, cent, deux ... oui, vous ferez bien. Un compagnon fissuré me fait paraître plus entier, me donne quelque chose en dehors de moi pour prendre soin. Quand je suis avec des gens entiers et guéris, je ressens mes propres fissures, les briseurs, les folies de la dislocation en moi-même.

Ses oeuvres

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