Le centre de gravitation de ces histoires, c’est Yunior : jeune tête brûlée, aussi cœur d’artichaut qu’incorrigible désinvolte. Dans chaque histoire, une femme, des femmes – mère, épouse, maîtresse, petite amie – extraordinaires et sans cesse perdues. Et en point de mire : l’amour – l’obsessionnel, l’illicite, le léger, le fou, le périssable, l’éternel amour. Et tandis que Yunior court après les filles, les fantasme, les largue, les adore ou les maudit, ces histoires dessinent peu à peu une radiographie du cœur humain, mettant à nu sa soif infinie et sa faiblesse inexorable. Toujours la passion semble l’emporter sur l’expérience, et l’amour, même échoué, même avorté, même Sali ou raillé, reste irréductible. Déferlante langagière, bourrée d’inventions, tendre et drôle à la fois, la prose de Díaz électrise tout sur son passage. Meilleur livre 2012 du New York Times.

Guide du loser amoureux

Le centre de gravitation de ces histoires, c'est Yunior : jeune tête brûlée, aussi coeur d'artichaut qu'incorrigible désinvolte.
Dans chaque histoire, une femme, des femmes - mère, épouse, maîtresse, petite amie - extraordinaires et sans cesse perdues. Et en point de mire : l'amour - l'obsessionnel, l'illicite, le léger, le fou, le périssable, l'éternel amour.
Et tandis que Yunior court après les filles, les fantasme, les largue, les adore ou les maudit, ces histoires dessinent peu à peu une radiographie du coeur humain, mettant à nu sa soif infinie et sa faiblesse inexorable. Toujours la passion semble l'emporter sur l'expérience, et l'amour, même échoué, même avorté, même Sali ou raillé, reste irréductible.

Déferlante langagière, bourrée d'inventions, tendre et drôle à la fois, la prose de Díaz électrise tout sur son passage.

Meilleur livre 2012 du New York Times

« Peu importe en quoi vous croyez, le fukú, lui croit en vous. » Le fukú, c'est la malédiction qui frappe la famille d'Oscar, une très ancienne légende dominicaine. Oscar, lui, rêve de mondes fantastiques, s'imagine en Casanova ou Tolkien... au lieu de quoi il grandit au fond de sa classe et de son New Jersey, binoclard fou de SF, obèse et solitaire. Ses seuls superpouvoirs sont ses voyages dans l'histoire de sa famille. Nourrie des destins de ses aïeux brisés par la torture, la prison, et l'exil, la vie d'Oscar s'écrit, fulgurante et désastreuse. Et rejoint la grande Histoire, celle de la dictature de Trujillo, de la diaspora dominicaine aux états-Unis, des promesses avortées du rêve américain.    « Un roman qui se lit les cheveux dressés sur la tête, les yeux hallucinés par un style qui vous saute à la figure comme un faisceau de pétards. »  Astrid Ellard, Le Figaro Littéraire    "Traduit de l'américain  par Laurence Viallet"

La brève et merveilleuse vie d'Oscar Wao

Things have never been easy for Oscar, a sweet but disastrously overweight ghetto nerd, a New Jersey romantic who dreams of becoming the Dominican J. R. R. Tolkien and, most of all, of finding love. But he may never get what he wants, thanks to the fukú–the ancient curse that has haunted Oscar's family for generations, dooming them to prison, torture, tragic accidents, and, above all, ill-starred love. Oscar, still dreaming of his first kiss, is only its most recent victim–until the fateful summer that he decides to be its last.With dazzling energy and insight, Junot Díaz immerses us in the uproarious lives of our hero Oscar, his runaway sister Lola, and their ferocious beauty-queen mother Belicia, and in the family's epic journey from Santo Domingo to Washington Heights to New Jersey's Bergenline and back again. Rendered with uncommon warmth and humor, THE BRIEF WONDROUS LIFE OF OSCAR WAO presents an astonishing vision of the contemporary American experience and the endless human capacity to persevere–and to risk it all–in the name of love. A true literary triumph, this novel confirms Junot Díaz as one of the best and most exciting writers of our time.

La Brève et Merveilleuse Vie d'Oscar Wao

Maravillosa Vida Breve De Oscar Wao, La

" Peu importe en quoi vous croyez, le fukû, lui, croit en vous. " Le fukû, c'est la malédiction qui frappe la famille d'Oscar, une très ancienne légende dominicaine. Oscar, rêve de mondes fantastiques, s'imagine en Casanova ou Tolkien, tombeur des îles et génie des lettres... au lieu de quoi il grandit et grossit au fond de sa classe et de son New Jersey, binoclard fou de SF, souffre-douleur obèse et solitaire. Et ses seuls superpouvoirs sont ses voyages dans le temps et l'Histoire : celui de sa mère, Beli, fuyant Saint-Domingue et la dictature de Trujillo, la fugue de sa soeur Lola et son retour au pays à lui. Ses pas ramenés inexorablement par le fukû, le destin, le désir, ou l'amour, à ses origines et à sa fin. Fantaisiste en diable, passe-muraille de langues et de mondes, La Brève et Merveilleuse Vie d'Oscar Wao pourrait n'être que la saga tragicomique d'une famille dominicaine aux Etats-Unis, si elle n'était pas surtout une explosion romanesque, une source intarissable et jouissive d'invention littéraire.

Things have never been easy for Oscar. A ghetto nerd living with his Dominican family in New Jersey, he's sweet but disastrously overweight. He dreams of becoming the next J.R.R. Tolkien and he keeps falling hopelessly in love. Poor Oscar may never get what he wants, thanks to the Fukú - the curse that has haunted his family for generations. With dazzling energy and insight Díaz immerses us in the tumultuous lives of Oscar; his runaway sister Lola; their beautiful mother Belicia; and in the family's uproarious journey from the Dominican Republic to the US and back. Rendered with uncommon warmth and humour, The Brief Wondrous Life of Oscar Wao is a literary triumph, that confirms Junot Díaz as one of the most exciting writers of our time

The brief wondrous life of oscar wao

" roman ? recueil de nouvelles ? ni l'un ni l'autre, mais une série de vignettes sur un jeune garçon de saint-domingue prêt à émigrer aux etats-unis, et qui composent une fresque au petit point.
 On suit le narrateur de l'enfance à l'âge presque adulte : il y a la vie dans les rues avec les copains, les petits boulots, la recherche d'herbe pour fumer le week-end.  [ .  ] junot diaz - que les critiques américains rapprochent de raymond carver - se révèle un authentique écrivain : il a un ton, une langue, qui mêle l'anglais à l'argot hispano-dominicain, qui brise la phrase et reproduit, en la magnifiant, la langue parlée dans les barrios de saint-domingue.
 Le dernier récit, consacré à l'arrivée aux etats-unis du père du narrateur, est éblouissant.  on attend avec un intérêt sincère le premier roman de junot diaz.  " christophe mercier, le point.

Los boys

Junot Díaz (né le 31 décembre 1968 à Saint-Domingue) est un écrivain américain originaire de République dominicaine.
Il vit aux États-Unis depuis son arrivée dans le New Jersey avec ses parents, à l'âge de six ans. L'œuvre de Díaz est marquée par le dualisme de l'expérience de l'immigration.
Auteur de nouvelles publiées dans divers journaux et magazines dont le New Yorker et regroupées dans le recueil Los boys édité en français dans la collection 10/18, il publie en 2007 son premier roman The Brief Wondrous Life of Oscar Wao, récompensé en 2008 par le National Book Critics Circle Award et le prix Pulitzer de la Fiction, et publié en 2009 aux éditions Plon (collection Feux Croisés) sous le titre La Brève et Merveilleuse Vie d'Oscar Wao.

Quand je suis devenu mon identité masquée, j'étais ce petit nerd incroyable, mais dans le monde réel, je devais être cet enfant dur du quartier.

Notre relation n'était pas le soleil, la lune, les étoiles, mais ce n'était pas non plus des conneries.

Vous ne pouvez pas trouver l'intimité - vous ne pouvez pas trouver la maison - lorsque vous vous cachez toujours derrière des masques. L'intimité nécessite un certain niveau de vulnérabilité. Cela nécessite un certain niveau de vous exposer votre moi fragmenté et contradictoire à quelqu'un d'autre. Vous courez le risque de vous faire rejeter et de vous blesser et de mal compris.

...un de ces hommes très mauvais que même le postmodernisme ne peut expliquer.

J'adore «l'autobiographie de Malcolm X.» C'était comme le seul livre noir que nous avons lu au lycée ...

Je veux juste un espace pour moi de temps en temps. Chaque fois que je suis avec vous, j'ai le sentiment que vous voulez quelque chose de moi.

Une personne ne pleure pas éternellement.

Je préfère les années 1950 où les gens étaient comme: "Je suis un suprémaciste blanc, et c'est qui je suis." Maintenant, les gens veulent brûler une croix sur votre pelouse et s'appeler non pas racistes.

Drown a toujours été un livre hybride. Il s'agit d'histoires reliées entre elles - en partie un recueil d'histoires et en partie un roman. J'ai toujours voulu que le lecteur décide à quel genre il pensait que le livre appartenait le plus - histoire, roman, ni l'un ni l'autre, les deux.

Tourné à vingt-sept fois - quel numéro dominicain.

L'art n'est pas le boosterisme, ce n'est pas de la propagande, et ce n'est pas tourné, mais ce n'est pas quelque chose que l'art fait, et il ne l'a jamais fait historiquement.

Katrina était l'une de ces choses qui arrache les vêtements du gars qui continue de dire qu'il est un saint, et en dessous, vous voyez qu'il est un monstre.

Je pense que l'un des paradoxes de l'écriture de fiction est que les gens l'apprécient, ils veulent que ce soit réel. Ils recherchent donc des connexions.

Chaque immigrant que nous avons, sans papiers ou documenté, est un futur américain. C'est juste la vérité.

Mon père était un dictateur de la petite ligue. Cela m'a vraiment affecté, son contrôle du contrôle, son impunité, son pouvoir déraisonnable arbitraire.

L'infidélité soulève des questions profondes sur l'intimité.

La migration donne un chèque en blanc pour placer tout ce que vous n'avez pas envie de traiter dans la prise de mémoire. Aucun voisin ne peut aller à l'encontre du récit du monstre de votre famille.

Les villes produisent l'amour et ne ressentent pas. Une chose étrange quand on y pense, mais peut-être approprié. Les villes ont besoin de cet amour plus que la plupart d'entre nous ne se soucient d'imaginer. Les villes, après tout, pour toute leur massivité, toutes leurs personnes, sont très vulnérables.

Ma mère a pris soin de nous jusqu'à ce que mon père se précipite, puis elle a fini par travailler dans le secteur à petit factorie du New Jersey avec beaucoup d'autres immigrants.

Comme prévu: elle, la fille de la chute, récipiendaire de son rayonnement le plus lourd, a adoré atomiquement.

La demi-vie de l'amour est pour toujours.

Même si vous ne veniez pas d'un autre pays, l'idée de comment faire une maison dans un endroit nouveau est commune à tous ceux qui vont à l'université, changeant de villes.

Le spin est «quelque chose est beau parce que nous disons que c'est beau».

Le succès, après tout, aime un témoin, mais l'échec ne peut pas exister sans un.

Personne n'aime les enfants, votre mère vous a assuré. Cela ne signifie pas que vous ne les avez pas.

Eh bien, lorsque vous regardez beaucoup de romans de science-fiction, ils posent des questions sur le pouvoir. Il y a des questions sur ce que signifie avoir le pouvoir et quelles sont les conséquences à long terme du pouvoir.

Les étudiants enseignent toutes sortes de choses, mais surtout, ils font expliciter le courage qu'il faut pour être un apprenant, le courage qu'il faut pour vous ouvrir au pouvoir transformateur de l'apprentissage réel et au courage à laquelle je suis exposé presque tous les jours au MIT et que Je suis profondément reconnaissant.

Vous ne pouvez pas être un humain sans voir.

Une princesse de Mars" n'a peut-être pas exercé la même influence colossale que Tarzan sur l'imagination mondiale, mais son influence sur des générations de lecteurs ne peut être sous-estimée.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Junot_D%C3%ADaz

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