Californie Whipple, douze ans, est emmenée de force de son Massachusetts natal jusqu'à l'autre bout du continent. Changeant son prénom honni en « Lucy », elle pose un regard sévère et consterné sur sa nouvelle maison : une tente plantée au milieu d'un tas de boue et de poussière, cernée par des chercheurs d'or alcooliques et incultes. Mais les tas de poussière et les grossiers personnages peuvent réserver de sacrées surprises.

La ballade de Lucy Whipple

Il faisait très froid. Une fillette d'une douzaine d'années était blottie dans le tas de fumier. Elle avait passé la nuit là. Le fumier ne sentait pas tellement plus mauvais que tout ce qu'elle avait connu jusqu'alors. Et il tenait chaud.Cette fille n'avait pas de prénom. Elle ne connaissait personne. Elle vivait de restes de nourriture qu'elle récupérait au fond des cours ou dans les porcheries juste avant qu'on ne la chasse à coups de bâton.Hé, toi ! Es-tu morte ou vivante ? Une femme se tenait debout devant elle. Elle avait le nez pointu, son regard était perçant. C'était la sage-femme du village et elle avait besoin d'une apprentie.

La fille qui voulait décrocher la lune

On l'appelle La Morveuse. Ou Cafard de fumier. Quelle importance ? Cette fille, personne ne lui connaît de nom : c'est une moins que rien, une fille de 12 ou 13 ans, qui erre toute seule sur les chemins. L'hiver, quand il fait si froid la nuit, elle s'endort, le ventre vide, dans les tas de fumier. Ça pue, le fumier, mais c'est tiède. Et tant pis si au réveil, des gamins la chassent à grands coups de pieds. Un matin pourtant, une femme vient lui parler. C'est la sage-femme du village. Il ne faut pas rêver, elle aussi la traite de cafard. Mais elle est prête à lui donner un quignon de pain, si elle devient son apprentie... Elle ne serait pas en train de se moquer d'elle, par hasard ?

La fille qui voulait décrocher la Lune

Californie Whipple, douze ans, est emmenée de force de son Massachusetts natal jusqu'à l'autre bout du continent. Changeant son prénom honni en « Lucy », elle pose un regard sévère et consterné sur sa nouvelle maison : une tente plantée au milieu d'un tas de boue et de poussière, cernée par des chercheurs d'or alcooliques et incultes. Mais les tas de poussière et les grossiers personnages peuvent réserver de sacrées surprises...

Grayling doesn't want to be a hero, but to save her mother from a dark enchantment, she seeks out the few second-string magic makers who haven't been immobilized by the spell and goes off in search of her mother's grimoire, or book of magic. Obstacles both natural and supernatural block their way, and friction within the group delays the journey. Surprising herself, Grayling finds the strength and decisiveness to move the group forward and reach her goal. Eccentric witches and wizards plus a shape-shifting mouse provide moments of high comedy, as do odd practices that date back to the Middle Ages, such as divination with cheese.

Grayling's Song

Beloved author Karen Cushman follows a young woman's progress toward her true self, this time exploring the nature of friendship and the experience of growing up Catholic in an era that is both fascinating and relevant to today's young people. Francine Green doesn't speak up much, and who can blame her? Her parents aren't interested in her opinions, the nuns at school punish girls who ask too many questions, and the House Committee on Un-American Activities is blacklisting people who express unpopular ideas. There's safety in silence. Francine would rather lose herself in a book, or in daydreams about her favorite Hollywood stars, than risk attracting attention or getting in trouble. But when outspoken, passionate Sophie Bowman transfers into Francine's class at All Saints School for Girls, Francine finds herself thinking about things that never concerned her before-free speech, the atom bomb, the existence of God, the way people treat each other. Eventually, Francine discovers that she not only has something to say, she is absolutely determined to say it.

The Loud Silence of Francine Green

Rodzina Clara Jadwiga Anastazya Brodski, a strong and stubborn Polish orphan, leaves Chicago on an orphan train, expecting to be adopted and turned into a slave-or worse, not to be adopted at all. As the train rattles westward, she  begins to develop attachments to her fellow travelers, even the frosty orphan guardian, and to accept the idea that there might be good homes for orphans-maybe even for a big, combative Polish girl. But no placement seems right for the formidable Rodzina, and she cleverly finds a way out of one unfortunate situation after another until at last she finds the family that is right for her. Like Karen Cushman's other young girl protagonists, Rodzina is trying to find her place in the world-and she does. The compelling narrative is laced with wry humor and keen observation, full of memorable characters, and a thoroughly researched Afterword.

Rodzina

Monsieur et Madame Whipple, du Massachusetts, rêvaient si fort d'aller un jour dans l'Ouest, qu'ils avaient baptisé leurs enfants Californie, Canyon, Prairie, Sierra, Promesse Dorée et Océan, et leur chien Rocheuses. Aussi quand son mari et sa fille cadette moururent de pneumonie, Maman Whipple partit seule avec ses enfants. Au bout de cinq mois de bateau, ils arrivèrent dans la baie de San Francisco. Californie appela tout de suite l'endroit " un tas de boue et d'ordures ". Elle comprit que l'or promis devait être caché par les lézards et les crottins de mules. Tandis que sa mère ouvrait sous une tente une pension de famille pour mineurs sales et dépenaillés, elle décida de changer son nom honni en " Lucy ". Et de faire tout ce qui était en son pouvoir pour vite repartir en sens inverse, vers la civilisation, ses maisons et ses bibliothèques. Ce qui était en son pouvoir n'était pas grand-chose : des tartes aux pommes, des économies, des lettres à ses grands-parents, des prières et des rêves fous. Mais une surprise l'attendait.

La ballade de Lucy Whipple - Occasion

Les esprits, comme les couches, ont besoin de changements occasionnels.

J'ai regardé la lumière tôt le matin passer et à travers les fenêtres de verre coloré, laissant des stries de rouge et de vert et de jaune sur le sol en pierre. Quand j'étais petit, j'essayais de capturer la lumière colorée. Je pensais que je pouvais le tenir dans ma main et le ramener à la maison. Maintenant, je sais que c'est comme le bonheur - c'est là ou ce n'est pas le cas, vous ne pouvez pas le tenir ou le garder.

J'ai développé une éruption cutanée sur mon corps où le tissu rugueux frotte sur ma peau. Je voulais prendre un bain, pensant que la saleté sur ma peau a aggravé les téméraires, mais la baignade a été bouleversée et est utilisée comme une table supplémentaire dans la cuisine et je ne peux pas l'avoir avant le printemps, donc je Étalez la graisse d'oie sur mon éruption cutanée. Les chiens me suivent partout.

Corpus Bones! Je déteste complètement ma vie.

Je veux refaire le monde; rien de moins ne vaut pas la peine.

Me semble que la maison est là où je suis aimé, en sécurité et nécessaire.

. . . Elle ne rêvait de rien, car elle espérait rien et ne s'attendait à rien. Il faisait aussi froid et sombre en elle que dans la nuit glaciale.

Tout comme une rivière de nuit brille avec la lumière réfléchie de la lune, vous aussi brillez avec la lumière de votre famille, de votre peuple et de votre Dieu. Vous n'êtes donc jamais loin de chez vous, jamais seul, où que vous alliez.

Il me semble que Dieu a fait une grosse erreur quand il n'a pas réussi à mettre des poignées sur les pastèques.

Je pense que parfois que les gens sont comme des oignons. À l'extérieur, lisse et entière et simple mais à l'intérieur de l'anneau sur l'anneau, complexe et profond.

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