Karl Hess
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@karlHess
Je suis entièrement opposé à tout pouvoir institutionnel. Je préfère un monde de quartiers dans lesquels toute organisation sociale est volontaire et les modes de vie sont établis dans de petits groupes consentants. Ces groupes pouvaient coopérer avec d'autres groupes comme ils le jugent bon. Mais toute coopération serait sur une base volontaire. Comme l'a dit Proudhon anarchiste français. «La liberté [n'est] pas la fille mais la mère de l'ordre.
@karlHess
Je suis entièrement opposé à tout pouvoir institutionnel. Je préfère un monde de quartiers dans lesquels toute organisation sociale est volontaire et les modes de vie sont établis dans de petits groupes consentants. Ces groupes pouvaient coopérer avec d'autres groupes comme ils le jugent bon. Mais toute coopération serait sur une base volontaire. Comme l'a dit Proudhon anarchiste français. «La liberté [n'est] pas la fille mais la mère de l'ordre.
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Personne n'est aussi grand ou sage ou parfait pour être le maître d'une autre personne. Professeur, peut-être. Setter d'un bon exemple, peut-être. Génie, peut-être. Mais maître, non.
@karlHess
Le capitalisme de laissez-faire, ou anarchocapitalisme, est simplement la forme économique de l'éthique libertaire. Le capitalisme de laissez-faire englobe la notion selon laquelle les hommes devraient échanger des biens et services, sans réglementation, uniquement sur la base de la valeur de la valeur. Il reconnaît la charité et les entreprises communautaires comme des versions volontaires de cette même éthique. Un tel système serait le troc droit, à l'exception du besoin largement ressenti d'une division du travail dans lequel les hommes acceptent volontairement des jetons de valeur tels que les espèces et le crédit. Sur le plan économique, ce système est l'anarchie, et fièrement ainsi.
@karlHess
Le libertarisme est rejeté par la gauche moderne - qui prêche l'individualisme mais pratique le collectivisme. Le capitalisme est rejeté par la droite moderne qui prêche l'entreprise mais pratique le protectionnisme.
@karlHess
Pour les gens aimants, travailleurs et créatifs pour éliminer le joug du pouvoir, il est nécessaire d'abolir le pouvoir lui-même, pas seulement pour rendre le joug confortable. Là où certains ont du pouvoir, d'autres ne le font pas et les deux classes persistent. Une société libre est l'endroit où tous ont la puissance et la responsabilité de leur propre vie, de leur pouvoir et de leur raison de respecter la vie des autres. Il s'agit également d'une société sans cours, d'une société d'êtres humains, pas de dirigeants et de gouverné.
@karlHess
Mon propre intérêt est la responsabilité des gens d'être responsables de leur propre vie et, avec leurs voisins, de leur espace public et de leurs actions. Pour chanter leurs propres chansons. Pour faire leurs propres inventions ... pour construire et pas seulement à envier. Pour éclairer cette bougie qui est tellement meilleure que de maudire l'obscurité. Être autant que la condition humaine peut soutenir, plutôt que d'être seulement ce qu'un système peut permettre.
@karlHess
Les programmes gouvernementaux visent à obtenir de l'argent pour les pauvres. Notre espoir était que les connaissances seraient à long terme plus utiles, fourniraient plus d'argent et finiraient par frapper les causes du système de la pauvreté. Le gouvernement estime que la pauvreté n'est qu'un manque d'argent. Nous avons ressenti et continué à ressentir que la pauvreté est en fait un manque de compétences, et un manque d'estime de soi qui vient de pouvoir prendre une partie de sa vie entre ses propres mains et travailler avec les autres pour les faire partager Goals sociaux.
@karlHess
Nous avons l'illusion de la liberté que parce que si peu essaient de l'exercer. Essayez-le un jour. Essayez de sauver votre maison de la foule de l'autoroute, ou de travailler un métier sans l'approbation des hommes de main, ou d'ouvrir une petite entreprise sans permis, ou de développer une récolte sans quota, ou d'éduquer votre enfant comme vous le souhaitez à, ou à ne pas avoir d'enfant. Nous avons tous la liberté d'un ballon flottant dans une usine d'épingles.
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Je suis entièrement opposé à tout pouvoir institutionnel. Je préfère un monde de quartiers dans lesquels toute organisation sociale est volontaire et les modes de vie sont établis dans de petits groupes consentants. Ces groupes pouvaient coopérer avec d'autres groupes comme ils le jugent bon. Mais toute coopération serait sur une base volontaire. Comme l'a dit Proudhon anarchiste français. «La liberté [n'est] pas la fille mais la mère de l'ordre.
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Les programmes gouvernementaux visent à obtenir de l'argent pour les pauvres. Notre espoir était que les connaissances seraient à long terme plus utiles, fourniraient plus d'argent et finiraient par frapper les causes du système de la pauvreté. Le gouvernement estime que la pauvreté n'est qu'un manque d'argent. Nous avons ressenti et continué à ressentir que la pauvreté est en fait un manque de compétences, et un manque d'estime de soi qui vient de pouvoir prendre une partie de sa vie entre ses propres mains et travailler avec les autres pour les faire partager Goals sociaux.
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Le capitalisme de laissez-faire, ou anarchocapitalisme, est simplement la forme économique de l'éthique libertaire. Le capitalisme de laissez-faire englobe la notion selon laquelle les hommes devraient échanger des biens et services, sans réglementation, uniquement sur la base de la valeur de la valeur. Il reconnaît la charité et les entreprises communautaires comme des versions volontaires de cette même éthique. Un tel système serait le troc droit, à l'exception du besoin largement ressenti d'une division du travail dans lequel les hommes acceptent volontairement des jetons de valeur tels que les espèces et le crédit. Sur le plan économique, ce système est l'anarchie, et fièrement ainsi.
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Les programmes gouvernementaux visent à obtenir de l'argent pour les pauvres. Notre espoir était que les connaissances seraient à long terme plus utiles, fourniraient plus d'argent et finiraient par frapper les causes du système de la pauvreté. Le gouvernement estime que la pauvreté n'est qu'un manque d'argent. Nous avons ressenti et continué à ressentir que la pauvreté est en fait un manque de compétences, et un manque d'estime de soi qui vient de pouvoir prendre une partie de sa vie entre ses propres mains et travailler avec les autres pour les faire partager Goals sociaux.
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Nous avons l'illusion de la liberté que parce que si peu essaient de l'exercer. Essayez-le un jour. Essayez de sauver votre maison de la foule de l'autoroute, ou de travailler un métier sans l'approbation des hommes de main, ou d'ouvrir une petite entreprise sans permis, ou de développer une récolte sans quota, ou d'éduquer votre enfant comme vous le souhaitez à, ou à ne pas avoir d'enfant. Nous avons tous la liberté d'un ballon flottant dans une usine d'épingles.
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Les programmes gouvernementaux visent à obtenir de l'argent pour les pauvres. Notre espoir était que les connaissances seraient à long terme plus utiles, fourniraient plus d'argent et finiraient par frapper les causes du système de la pauvreté. Le gouvernement estime que la pauvreté n'est qu'un manque d'argent. Nous avons ressenti et continué à ressentir que la pauvreté est en fait un manque de compétences, et un manque d'estime de soi qui vient de pouvoir prendre une partie de sa vie entre ses propres mains et travailler avec les autres pour les faire partager Goals sociaux.
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Le capitalisme de laissez-faire, ou anarchocapitalisme, est simplement la forme économique de l'éthique libertaire. Le capitalisme de laissez-faire englobe la notion selon laquelle les hommes devraient échanger des biens et services, sans réglementation, uniquement sur la base de la valeur de la valeur. Il reconnaît la charité et les entreprises communautaires comme des versions volontaires de cette même éthique. Un tel système serait le troc droit, à l'exception du besoin largement ressenti d'une division du travail dans lequel les hommes acceptent volontairement des jetons de valeur tels que les espèces et le crédit. Sur le plan économique, ce système est l'anarchie, et fièrement ainsi.
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Nous avons l'illusion de la liberté que parce que si peu essaient de l'exercer. Essayez-le un jour. Essayez de sauver votre maison de la foule de l'autoroute, ou de travailler un métier sans l'approbation des hommes de main, ou d'ouvrir une petite entreprise sans permis, ou de développer une récolte sans quota, ou d'éduquer votre enfant comme vous le souhaitez à, ou à ne pas avoir d'enfant. Nous avons tous la liberté d'un ballon flottant dans une usine d'épingles.
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Dans une société de laissez-faire, il ne pouvait exister aucune institution publique avec le pouvoir de protéger avec force les gens d'eux-mêmes. D'autres personnes (criminels), oui. De lui-même, non.
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La déclaration d'indépendance est si lucide en avait peur aujourd'hui. Cela fait peur à chaque bureaucrate moderne, car il leur dit qu'il arrive un moment où nous devons cesser de prendre des commandes.
@karlHess
Un parking 7-11 a été battu est la vie.
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Le capitalisme de laissez-faire, ou anarchocapitalisme, est simplement la forme économique de l'éthique libertaire. Le capitalisme de laissez-faire englobe la notion selon laquelle les hommes devraient échanger des biens et services, sans réglementation, uniquement sur la base de la valeur de la valeur. Il reconnaît la charité et les entreprises communautaires comme des versions volontaires de cette même éthique. Un tel système serait le troc droit, à l'exception du besoin largement ressenti d'une division du travail dans lequel les hommes acceptent volontairement des jetons de valeur tels que les espèces et le crédit. Sur le plan économique, ce système est l'anarchie, et fièrement ainsi.
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Tout le monde sait que le gouvernement fédéral promet beaucoup et livre peu de choses, et paie la majeure partie de ce qu'il délivre sur les revenus des particuliers plutôt que les bénéfices des grandes sociétés.
@karlHess
La chose la plus révolutionnaire que vous puissiez faire est d'apprendre à connaître vos voisins.
@karlHess
Le capitalisme de laissez-faire, ou anarchocapitalisme, est simplement la forme économique de l'éthique libertaire. Le capitalisme de laissez-faire englobe la notion selon laquelle les hommes devraient échanger des biens et services, sans réglementation, uniquement sur la base de la valeur de la valeur. Il reconnaît la charité et les entreprises communautaires comme des versions volontaires de cette même éthique. Un tel système serait le troc droit, à l'exception du besoin largement ressenti d'une division du travail dans lequel les hommes acceptent volontairement des jetons de valeur tels que les espèces et le crédit. Sur le plan économique, ce système est l'anarchie, et fièrement ainsi.
@karlHess
Il est curieux de noter que lorsque pour des raisons de conscience, les gens refusent de tuer, ils sont souvent exemptés du service militaire actif. Mais il n'y a aucune exemption pour les personnes qui, pour des raisons de conscience, refusent de soutenir financièrement la bureaucratie qui fait réellement le meurtre. Apparemment, l'État prend de l'argent plus au sérieux que la vie.
@karlHess
Lorsque vous mettez votre foi dans le grand gouvernement, vous finissez par un apologiste pour le meurtre de masse.
@karlHess
Chaque fois que vous mettez votre foi dans le grand gouvernement pour une raison quelconque, tôt ou tard vous finissez par un apologiste pour le meurtre de masse.
@karlHess
Pour survivre, les habitants des quartiers devront se séparer.
@karlHess
Ce que j'ai appris sur le capitalisme d'entreprise, à peu près, c'est qu'il s'agit d'un acte de vol, dans l'ensemble, à travers lequel un très peu vivent très haut de l'œuvre, de l'invention et de la créativité de beaucoup d'autres. C'est le grand larcin de notre temps particulier de l'histoire, le grand larcin dans lequel un avenir de liberté qui aurait pu suivre l'effondrement du féodalisme a été volé sous notre nez par un nouveau groupe de patrons faisant les mêmes vieilles choses
@karlHess
Tous ceux qui aiment la liberté sont des ennemis de l'État.