Sarah Thornhill est la fille cadette de William Thornhill, ancien bagnard devenu propriétaire terrien le long du fleuve Hawkesbury, des terres hantées par le souvenir de leurs anciens occupants aborigènes méprisés et massacrés. William s'est remarié avec une femme ambitieuse et bornée. Mais Sarah mène une vie heureuse près de ce père qu'elle aime. Elle est amoureuse du beau Jack qui l'aime aussi. Pourquoi donc tous s'obstinent-ils à empêcher cet amour ? Quel secret peut bien cacher un père par ailleurs si généreux et attentif ?

Elle devra chercher des réponses dans un passé que tous s'appliquent à dissimuler et par-delà les mers, en Nouvelle-Zélande, où son frère a disparu en laissant une fillette à demi maorie que William Thornhill est bien décidé à considérer comme faisant partie de la famille, au grand dam de sa femme.

S'inspirant de l'histoire de sa famille, Kate Grenville crée des personnages attachants et un récit passionnant, elle nous montre aussi que les vérités les plus fortes peuvent avoir besoin de détours pour se manifester au grand jour.

Sarah Thornhill

With an introduction by Evie WyldThe Idea of Perfection by Kate Grenville is a funny and touching romance between two people who've given up on love. Set in the eccentric little backwater of Karakarook, New South Wales, pop. 1374, it tells the story of Douglas Cheeseman, a gawky engineer with jug-handle ears, and Harley Savage, a woman altogether too big and too abrupt for comfort. Harley is in Karakarook to foster 'Heritage', and Douglas is there to pull down the quaint old Bent Bridge. From day one, they're on a collision course. But out of this unpromising conjunction of opposites, something unexpected happens: sometimes even better than perfection.

The Idea of Perfection - Picador Classic

William Thornhill, un ancien bagnard jeté hors de son pays, a refait sa vie en Australie du Sud, le long du fleuve Hawkesbury, sur des terres hantées par le souvenir d'anciens occupants aborigènes méprisés et massacrés. Malgré son acariâtre belle-mère, sa fille Sarah mène une vie heureuse auprès de lui. Jusqu'au jour où elle s'éprend de Jack, un jeune métis. Ses proches s'opposent farouchement à cette union. Mais comment comprendre la réaction d'un père habituellement si généreux et attentif ? Quel lourd secret peut-il cacher ?

Sarah Thornhill - Occasion

Sarah Thornhill est la fille cadette de William Thornhill, ancien bagnard devenu propriétaire terrien le long du fleuve Hawkesbury, des terres hantées par le souvenir de leurs anciens occupants aborigènes méprisés et massacrés. William s'est remarié avec une femme ambitieuse et bornée. Mais Sarah mène une vie heureuse près de ce père qu'elle aime. Elle est amoureuse du beau Jack qui l'aime aussi. Pourquoi donc tous s'obstinent-ils à empêcher cet amour ? Quel secret peut bien cacher un père par ailleurs si généreux et attentif ? Elle devra chercher des réponses dans un passé que tous s'appliquent à dissimuler et par-delà les mers, en Nouvelle-Zélande, où son frère a disparu en laissant une fillette à demi maorie que William Thornhill est bien décidé à considérer comme faisant partie de la famille, au grand dam de sa femme. S'inspirant de l'histoire de sa famille, Kate Grenville crée des personnages attachants et un récit passionnant, elle nous montre aussi que les vérités les plus fortes peuvent avoir besoin de détours pour se manifester au grand jour.

Daniel Rooke est un enfant exceptionnellement doué. Ses maîtres l'envoient étudier à l'Académie navale de Portsmouth où il se trouve embarrassé par son origine trop modeste et son intelligence trop vive. Son horizon s'élargit quand il découvre la navigation et l'astronomie. 
L'Astronome royal, qui a repéré en lui un esprit hors norme, l'envoie en expédition scientifique pour étudier le retour d'une comète qui ne sera visible que de l'hémisphère Sud. Il navigue donc vers la Nouvelle-Galles du Sud en compagnie de prisonniers anglais condamnés à vivre dans une colonie pénitentiaire.
Le lieutenant Rooke s'installe à l'écart du camp pour y mener ses observations. Il prend petit à petit conscience de la présence des aborigènes, qui apparaissent et disparaissent, l'observent de loin ou pénètrent dans sa cabane par curiosité. Pendant ce temps le manque de nourriture fait monter la tension entre les nouveaux venus et les premiers occupants.
Le lieutenant se lie d'amitié avec un groupe d'aborigènes et, en particulier, une jeune fille en qui il reconnaît sa propre soif de connaissance et dont il tombe amoureux. Elle lui apprend à parler sa langue. Il découvre la nature immense, il découvre la solitude, il découvre les Australiens et leur culture, il découvre avec exaltation qu'il peut employer son intelligence à la constitution de la connaissance de la langue de ce pays inconnu, jusqu'au jour où on lui demande de prendre parti dans un conflit sanglant. 
Ce roman est - librement - inspiré du journal de William Dawes, un officier anglais arrivé en Australie en 1888 avec la première vague de bagnards anglais.

Le lieutenant

Albion Gidley Singer appears an entirely proper man: husband, father, pillar of the community. But he is a hollow man, and within him are frightened and frighteningly dark places from which spring loathing and fear of female flesh. And the kind of violence that might call itself love. Dark Places tells the story of this man - two parts monster to one part buffoon - and of his growing obsession. As the horror mounts, we gain a terrifying glimpse of the male ego's dark side, and of the destruction it can wreak upon itself and others. Yet at the same time Kate Grenville keeps alive the reader's sympathy for this doomed figure. This is a novel that fearlessly confronts the aspects of ourselves from which we normally recoil.

Dark Places

William Thornhill, batelier illettré au sang chaud mais au grand coeur, vole une
cargaison de bois. Il est banni en Nouvelle-Galles du Sud en 1806. Comme
beaucoup de condamnés, il est amnistié après quelques années et s'installe au
bord du fleuve Hawkesbury. Peut-être le gouverneur lui fait-il cadeau de cette
terre, ou peut-être la prend-il simplement - l'Hawkesbury marque la limite des
terres habitées à cette époque et n'obéit pas aux règles normales. Quoi qu'il
en soit, il acquiert cette terre, ses premiers hectares au bord de l'eau. Tout
semble le destiner à devenir riche. Il n'y a qu'un seul problème : cette terre
appartient déjà à quelqu'un. Elle fait partie du territoire des Darug depuis
environ quarante mille ans. Ils n'ont pas construit de barrières, de routes ni
de maisons mais ils vivent sur cette terre et de cette terre, aussi clairement
que Thornhill avait l'intention de le faire. Ils ne vont pas abandonner leur
terre sans se battre. Les lances sont certes des armes primitives, mais les
colons savent bien qu'elles peuvent tuer aussi sûrement qu'une balle de
mousquet. Quand il comprend tout cela, Thornhill se trouve devant un choix
impossible. Certains de ses voisins - Smasher Sullivan, Sagitty Birtles -
considèrent les Darug comme à peine humains, comme des sauvages ayant aussi peu
de droits sur leur terre que des chiens. Quand les Darug refusent d'être
chassés, ces colons n'ont aucun scrupule à leur tirer dessus ou à les
empoisonner. D'autres voisins font un choix différent et trouvent moyen de
coexister avec les Darug. Blackwood a créé une famille parmi eux. Mrs Herring
``leur donne tout ce qu'ils demandent''. L'hostilité entre blancs et noirs
monte petit à petit. Pour finir, un groupe de colons décide de sortir régler
leur compte aux Darug une fois pour toutes. Thornhill se joindra-t-il à eux ?
La décision qu'il prend détermine le reste de sa vie. Le Fleuve secret plonge
le lecteur dans l'expérience des limites. Qu'est-ce que cela fait - moment
après moment, jour après jour - de se trouver dans cette situation ? Le récit
ne juge pas les personnages ni leurs actes, il invite seulement le lecteur à se
poser la question de savoir ce qu'il aurait fait dans le même cas. Le Fleuve
secret a gagné le Prix de littérature du Commonwealth (the Commonwealth Prize
for Literature) ; le prix Christina Stead pour la fiction (the Christina Stead
Prize for Fiction) (the NSW Premier's Prize); the Community Relations
Commission Prize; the Booksellers' Choice Award; the Fellowship of Australian
Writers Prize and the Publishing Industry Book of the Year Award. Kate
Grenville est l'un des auteurs les plus aimés en Australie, elle vit à Sydney.
Ses oeuvres de fiction ont remporté de nombreux prix tant en Australie qu'au
niveau international. Le Fleuve secret s'est vendu à plus de 250 000
exemplaires et a figuré parmi les finalistes du Man Booker Prize en Angleterre.

Le fleuve secret

Lilian's story

Je n'écrirais jamais une phrase qui n'avait pas un joli rythme, ou du moins je ne le laisserais pas pour être publié comme ça. Il me semble que la prose ne doit pas être prosaïque.

Rien ne m'intéressait beaucoup que de jouer avec la langue et de raconter des histoires et de faire quelque chose avec les merveilles du monde qui m'entoure.

J'adore écrire de la fiction - vous pouvez prendre ce que vous voulez d'un endroit et quitter le reste.

Une culture produit des idées qui sont explorées, qui intéressent cette culture à ce moment-là. Et je pense que l'une des choses qu'un écrivain peut faire est de prendre ces idées et d'aller un peu plus loin avec elles.

Je pense qu'avec tous mes livres, la langue a été leur sujet autant que toute autre chose. La langue peut éliminer ou déplacer ou marquer des groupes de personnes entiers. Vous ne pouvez pas nécessairement changer la façon dont le langage est utilisé, mais si cela devient quelque chose dont vous êtes conscient ... Cela vous donne un certain pouvoir.

J'ai lu beaucoup de poésie et j'aime ce qu'il fait avec la langue. J'adore la musique aussi, et je pense qu'il n'y a probablement pas de coïncidence là-bas, que le rythme des mots est presque aussi important que les mots eux-mêmes, et quand vous pouvez faire travailler les deux ensemble, ce qui me prend généralement environ 20 ans, je me sens une énorme satisfaction.

L'idée de perfection peut être un tyran que vous devez renverser, pour gagner votre liberté.

Je suis un grand partisan de la théorie expérientiel de l'écriture.

`` The Secret River '' a commencé parce que, à l'âge de 50 ans, j'ai soudainement réalisé que je ne savais rien de la façon dont ma propre famille avait obtenu son pied en Australie.

Les livres électroniques présentent de nombreux avantages - les éditeurs n'ont pas à faire des suppositions sur le nombre de livres à imprimer, les livres ont besoin de ne jamais devenir "hors d'impression" et des livres difficiles à trouver peuvent être facilement disponibles. Jusqu'à présent, la seule limitation semble trouver un moyen pour l'écrivain d'être payé.

J'ai toujours eu un problème avec la ponctuation conventionnelle du dialogue car il me semble que je le remets trop du récit. Je veux dire, dans la vie, les choses ne s'arrêtent pas pendant que quelqu'un dit quelque chose, puis les choses recommencent; Tout se passe tout de suite.

Un gros livre est une chose difficile à gérer - je trouve que l'ordinateur permet de le garder plus facilement en ordre et de conserver les anciens brouillons (auxquels je reviens parfois) sans me noyer dans le papier.

J'ai l'impression de ... regardez, je pense que je suis une personne très ordinaire, et il me semble que des choses qui m'intéressent m'intéresseront probablement d'autres personnes. Je ne suis pas exceptionnel; Je n'ai pas de pensées exceptionnelles.

Chaque langue a sa propre vision du monde. C'est pourquoi une traduction ne peut jamais être absolument exact, et par conséquent, lorsque vous entrez dans une autre langue et que vous parlez avec ses haut-parleurs, vous devenez une personne légèrement différente; Vous apprenez un autre type de monde.

Je pense que nous perdons tous beaucoup de temps à nous mesurer contre les normes impossibles à bien des égards. Nous devons apprendre quelques choses, dont l'une étant que cette beauté physique se présente de toutes formes et tailles, y compris beaucoup à laquelle les magazines féminines n'ont jamais pensé.

Quand je suis allé à l'université du Colorado, j'ai été encouragé à écrire des choses très innovantes et expérimentales, et certaines des nouvelles de «Bearded Ladies» sont un peu expérimentales.

Je ne pense pas que l'objet physique d'un livre ait une qualité sacrée, donc en principe je pense que les livres électroniques sont super - juste une autre façon pour les histoires et les congins de se connecter.

Tout dans sa vie s'était résisté à la sensation de ses doigts contre le sien. La personne qu'il était, l'histoire qu'il portait en lui-même, chaque joie et chagrin qu'il avait jamais connue, a glissé bien comme un vêtement non pertinent. Il n'était que de la peau, parlant à une autre peau, et entre les peaux, il n'y avait pas besoin de trouver des mots.

Pendant des années, je voulais écrire sur la campagne australienne, mais, comme la plupart des Australiens, je n'en ai une connaissance des touristes. Je pensais que si je désobéissais à cette règle d'écriture de base - écrivez sur ce que vous savez - j'écrirais un livre mince et inauthentique.

L'Australie vit avec une étrange contradiction - notre image nationale de nous-mêmes est l'un des Outback, et pourtant presque tous nous vivons dans les grandes villes. Se retirer de la frange côtière et l'Australie peut ressembler à un pays étranger.

L'une des choses que j'aime dans l'écriture est la façon dont vous pouvez utiliser ce que vous savez et ce que vous avez vécu, sans écrire sur vous-même. J'ai donné beaucoup de mes expériences et perceptions à de nombreux personnages du livre, mais aucun d'entre eux n'est moi.

Les mots sont un instrument assez émoussé. Il y aura toujours un glissement entre les mots et les complexités infinies d'une pensée. En tant qu'écrivain, je trouve cela frustrant, mais en tant qu'animal social, je ne l'aurais pas autrement.

Ses oeuvres

Ses derniers livres