Katherine Moennig, dite Kate Moennig, est une actrice américaine née le 29 décembre 1977 à Philadelphie.

Il est très intéressant de voir comment la vie imite l'art, et l'art imite la vie; Je trouve que chaque fois que je lis des scènes d'une certaine ampleur, je me dis: «Oh, j'ai l'impression d'avoir vécu cela», ou «je fais l'expérience» ou «je pourrais commencer à en faire l'expérience bientôt».

Je suis ici pour jouer à différents personnages.

Si vous êtes androgyne, c'est à quoi vous ressemblez.

Ce que je trouve très attirant, ce que je trouve sexuel, ce sont des gens qui ne sont pas excusés pour qui ils sont et à l'aise avec eux-mêmes. Et je pense qu'avec ces deux choses, l'énergie sexuelle sort parce que vous ne plane pas ou ne vous censure pas, vous êtes juste qui vous êtes. Et être qui vous êtes est une qualité très attrayante chez une personne.

Mon meilleur ami en grandissant a vraiment mis le bug dans mon oreille à propos de jouer. Nous avons créé cette heure d'improvisation d'une heure et demie lorsque nous avions 10 ou 11 ans et l'avons interprété à la bibliothèque. Nous avons si bien joué les uns les autres et avons passé le meilleur moment à le faire et la partie la plus drôle était que nous avons fini par avoir des maisons, d'autres personnes l'ont aussi adoré.

J'aime les histoires qui ne sont pas normales, la vie quotidienne. Je ne les cherche pas personnellement, mais ils me trouvent.

Je suis allé à une école de pré-filles où tout le monde est allé à Harvard ou à Yale, et je n'avais aucun intérêt à le faire. Je pense qu'ils pensaient que j'étais sous drogue. Il y avait une école voisine des garçons, donc nous nous réunissons et faisons des choses stupides. C'était votre éducation catholique américaine typique.

Je ne crains pas l'engagement et les gens de mon monde se rapprochent trop.

Appelons un chat un chat: Quand les gens me regardent, ils disent: «Oh, c'est l'androgyne. Je vais vous dire quel type de personnage je ne serais jamais offert là-bas: la femme fatale. Ou la colline hétérosexuelle blanche et hétérosexuelle.

J'ai aimé la façon dont mon personnage, Shane, a été présenté pour la première fois. Vous vous êtes présenté à travers cette action sexuelle, et je pensais que c'était tellement cool et résume en quelque sorte ce qu'elle aime et qui elle est, dans une certaine mesure. C'est un être sexuel complet et la grande chose est qu'elle ne s'excuse pas pour cela. C'est juste qui elle est. Nous voyons rarement les femmes pouvoir le faire à la télévision.

Je n'ai pas de hanches et j'ai l'impression que mon corps est comme un adolescent. Mais je peux avoir les cheveux longs, me maquiller, porter une robe et faire exactement le contraire.

La scène est une question d'imperfections et de travail avec eux, que ce soit de vous ou du public.

Je m'attends à ce que ce ne soit pas une route facile une fois que «le mot l» est terminé, mais je vais tout faire en mon pouvoir pendant mon temps libre pour faire d'autres choses qui montrent un autre côté de moi.

Je ne suis pas ravi d'avoir un tampon. Quand vous voyez des gens se pencher dans leur jean très bas, je me dis: "Oh ... c'est ce que j'ai."

En termes de «Ray Donovan», l'histoire est si riche, les acteurs sont si fantastiques, l'écriture est impeccable. Et c'est une si belle narration avec des personnages complexes.

J'ai vu de près ce qui peut arriver lorsque les acteurs parlent publiquement de leurs relations: leur vie personnelle est démantelée. C'est un jeu de show-business, et c'est un jeu que je ne jouerai pas.

Je ne suis pas ravi d'avoir un tampon. Quand vous voyez des gens se pencher dans leur jean très bas, je me dis: 'Oh ... c'est ce que j'ai.

Les personnages que j'ai joués que les gens ont remarqués comprenaient un croisement et un transsexuel.

Je suis allé dans ce salon de tatouage dans l'East Village et j'ai eu un contour d'un violon dans le bas du dos. Ils les appellent maintenant.

Je dois dire qu'une partie de moi était un peu terrifiée d'être considérée comme Shane de «The l Word». J'étais très conscient de faire quelque chose qui me permettait de claire ou de me diriger dans une direction différente.

Je ne pense pas que je ressemble à un garçon, mais je ne pense pas que l'androgynie soit une si mauvaise chose.

Je pense que ma comparaison avec Shane serait solitaire. J'ai toujours eu l'impression qu'elle n'avait pas peur d'être seule. Elle aime ça. Je peux comprendre cela.

Vous êtes toujours attiré par quelqu'un dont vous voulez apprendre.

Mon plus grand défi est la confiance, et croire vraiment que la confiance, en laissant les choses se produire personnellement et professionnellement et en faisant confiance à moi-même. Mais je m'améliore.

Quand quelqu'un se rapproche d'un personnage à lequel il joue à la télévision, il est très difficile de briser ce moule et de faire autre chose.

J'étais 100% garçon manqué. J'avais les plus grandes grosses roues.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Katherine_Moennig

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