Does good fortune always change things for the better?The Kaplan family has just won 10 million dollars in the lottery. But haven't they always been lucky? Gwen thought so. She's carefully curated a perfect suburban existence with a loving husband and two children. For over a decade, she's been a stay-at-home mom, devoted to giving her kids the quiet, protected adolescence she didn't have. But the surprise windfall suddenly upends the family, allowing them all to dream a little bigger and catapulting them back to the city that Gwen fled years ago. As the Kaplans navigate the notoriety that the lottery brings and try to adjust to their new lives in the upper class-Seth launches a dubious start-up, Maddie falls headfirst in love at her elite prep school-a tightly held secret is unlocked. Along with the truth come long-buried memories from Gwen's troubled youth, forcing her to confront her painful past and threatening to unravel the incredibly tight bond between her and Maddie. Her meticulously constructed identity as the good wife and mother begins to crack. And when their changed circumstances place her family under threat, Gwen must wake up from her domestic slumber. For readers of Meg Wolitzer, Liane Moriarty and Zoe Whittall, Katrina Onstad's new novel explores whether our most intimate relationships can survive our most unforgivable actions. Stay Where I Can See You is a penetrating story about the pendulum swing of fortune, the ferocity of mother-daughter devotion and the stories we tell-and withhold-because of love.

Stay Where I Can See You - A Novel

Où est passé mon week-end?

Il est loin, le sacro-saint week-end dédié au repos, tout en fluidité et en spontanéité. Regardez un peu à quoi ressemble le vôtre : un enchaînement d'obligations, d'invitations à honorer, de notifications sur votre téléphone... La plupart d'entre nous travaillons bien davantage qu'il y a dix ans. Mais ce qui a réellement changé, c'est que nombre d'entre nous travaillons sept jours sur sept, sans répit pour recharger ses batteries, ni se changer les idées. Pas besoin de compte rendu d'études scientifiques pour percevoir que cette pression ne nous fait pas de bien.
La journaliste Katrina Onstad qui souffrait elle-même du blues du dimanche soir, part à la recherche, grâce à l'histoire et à la psychologie positive, de ce qui fait un week-end heureux.
Elle s'intéresse aux entreprises, aux pays et aux individus qui protègent farouchement leurs week-ends et les réservent au bonheur, aux découvertes, et surtout à la quête de sens.

Week-end paresseux, week-end heureux

Sommes-nous tous destinés à être parents ? Mieux, une femme est-elle toujours destinée à être mère ? Le désir d'enfant est-il toujours partagé ? Un premier roman surprenant d'audace, qui n'hésite pas à bousculer les idées reçues.

Au Canada, de nos jours. 

FIV, traitements hormonaux, aide à la procréation, pendant plusieurs années, James et Ana ont tout essayé pour avoir un enfant. Et puis, petit à petit, la quarantaine approchant, ils se sont résignés. James, en tout cas, a reporté son affection sur son filleul, le petit Finn, qu'il baby-sitte quand l'occasion se présente. Ana, elle, s'est rendue compte que cette course à l'enfant avait peut-être plus à voir avec la pression sociale qu'avec son propre désir profond. 
Et puis, un jour, le choc : les parents de Finn ont eu un terrible accident de voiture, le père a été tué sur le coup, la mère est dans le coma. Littéralement du jour au lendemain, James et Ana deviennent parents. 
Si James s'improvise instantanément père dévoué, les sentiments d'Ana sont eux beaucoup plus troubles. Comment créer l'intimité avec un enfant pour lequel on ne ressent rien ? Comment improviser un lien maternel quand on a renoncé à être mère soi-même ? Et comment ne pas projeter sur cet enfant ses propres blessures ? 
Pour James et Ana, le plus difficile commence : faire une place à Finn tout en préservant leur union...

La vie rêvée des gens heureux

Sommes-nous tous destinés à être parents ? Mieux, une femme est-elle toujours destinée à être mère ? Le désir d'enfant est-il toujours partagé ? Un premier roman surprenant d'audace, qui n'hésite pas à bousculer les idées reçues.Salué par une critique enthousiaste, nommé pour le Giller Prize, le Goncourt canadien, un roman mordant, audacieux, qui n'hésite pas à bousculer les idées reçues sur le couple, le rôle de la femme et l'instinct maternel.James et Ana ont passé des années à tenter l'impossible pour avoir un enfant, avant de se résigner. Alors que James reporte son affection sur Finn, son filleul de trois ans, Ana, elle, se noie dans le travail.Et puis, un jour, le choc : les parents de Finn ont un terrible accident de voiture.Du jour au lendemain, James et Ana deviennent les tuteurs du petit garçon.Si James s'improvise instantanément père dévoué, les sentiments d'Ana sont beaucoup plus ambivalents. Comment faire une place à Finn tout en préservant son couple ? Comment créer l'intimité avec cet enfant qui n'est pas le sien ? Comment concilier devoir maternel et désir d'accomplissement personnel? Les femmes ne peuvent-elles se réaliser que dans la maternité ?

J'ai parlé à beaucoup de gens de ce qui fait un bon week-end et j'ai découvert quelques fils communs: connexion humaine, jeu, interaction avec la nature, exposition à la beauté. Il est irréaliste de penser que nous allons obtenir ces 48 heures de répit, il s'agit donc de rechercher des rythmes rajeunissants.

Sur le plan sociétal, qu'arrive-t-il à la communauté lorsque les gens n'ont pas le temps de se rassembler ou de se connecter, en personne, pas seulement sur les réseaux sociaux? Ne pas avoir de congé devient un problème d'intérêt public. Cela signifie l'érosion des liens sociaux, moins de contribution civique et de participation. La solitude est en augmentation en Amérique du Nord; Nous nous retrouvons trop occupés pour une véritable connexion, priorisant le travail sur la vie.

Une étude a révélé que le bénévolat fait que les gens sentent qu'ils ont plus de temps, pas moins. Un bon week-end implique généralement plus que des loisirs passifs, comme les sports de spectateurs ou l'observation de la couronne. Ce qui est plus édifiant, ce sont des activités qui génèrent un sens ou un but.

Auparavant, les gens riches étaient la classe de loisir, et avoir du temps libre était un symbole de statut. Cela a changé maintenant: être occupé et surmené est la réalité pour de nombreux cols blancs, et il y a une sorte de monnaie perverse à cela, de l'occupation compétitive. À l'autre extrémité de l'échelle de revenu, il y a une bande de travailleurs à bas salaire qui sont sous-employés ou au chômage, avec trop de loisirs indésirables et un statut zéro pour cela. Pour les travailleurs de quart, les appareils signifient qu'ils sont accessibles d'une manière qu'ils n'étaient pas auparavant, sensible à cet appel du patron pour enregistrer plus d'heures.

Si vous êtes d'humeur pour une romance de maison d'art rougissante, vous tomberez également pour cela.

Nous savons que notre corps souffre de surmenage et de manque de loisirs: anxiété, problèmes de santé mentale - nous ne sommes pas conçus pour travailler plus de 40 heures par semaine. Nos systèmes s'usent et la qualité du travail en souffre. Après 50 heures, il s'écrase et brûle.

Le blues du dimanche a souvent frappé parce que le week-end ne faisait que faire du shopping et des tâches. Si vous pouvez éliminer certains de ces détritus domestiques les soirs de semaine, vous pourriez récupérer un certain temps pour ce qui compte. Peut-être que la lessive peut attendre lundi.

Je sais que Stephen King est sans compromis sur l'idée que les écrivains devraient pratiquer leur métier chaque jour, et cela fonctionne clairement pour lui. Personnellement, je savoure un jour de congé avec un peu d'ennui; Cela me donne de l'espace pour ressentir le monde, observer, susciter les épiphanies, ce dont j'ai besoin si je crée de la fiction. D'un autre côté, je suis un grand défenseur de la beauté et de la créativité le week-end, ce qui peut être incroyablement rajeunissant.

Nous pouvons faire un peu de blâme: la prolifération des appareils signifie que nous sommes toujours au travail, toujours sur appel, toujours disponibles. Laisser physiquement le bureau n'est plus une déclaration de travail hors travail; Votre bureau est dans votre sac ou votre poche.

Nous savons que les gens qui travaillent sans pauses se fatiguent, introduisent des erreurs, se trompent et manquent la vie. Ne vous y trompez pas: ces hamacs de salle du personnel sont conçus pour vous y garder le week-end.

Il y a quelque chose dans le week-end, même pour les personnes non religieuses, qui semble sacrée, donc une violation de ce temps sanctifié est presque une trahison, quelque chose de blasphématoire. Le sabbat est l'édit à rompre dans le travail. C'était l'appel de Dieu à l'esclave pour protéger une identité au-delà de l'ouvrier - pas de production et de consommation, juste un jour par semaine.

Du côté de l'entreprise, les dirigeants innovants commencent à se réveiller au fait que cette tendance de travail non-stop est mauvaise pour les affaires: Google Ireland a testé un programme appelé Dublin va sombre, où les employés ont retourné leurs téléphones à la fin de chaque jour de travail . Il semble qu'un changement de mer soit à venir.

De nombreux cols blancs ont la chance d'avoir des emplois de classe créative satisfaisants, ce qui est génial tant que vous êtes toujours en mesure de vous tailler des loisirs sans travail et sans travail à un moment donné. Mais il y a eu une sorte de recadrage sournois de travail en tant que jeu car le modèle de la Silicon Valley a été importé dans d'autres domaines. Maintenant, vous voyez des bureaux pour adultes qui ressemblent à des écoles maternelles et des soirées de paintball du personnel, des cultures de travail qui encouragent "nous sommes une famille ici!" fantaisie tout en empêchant les travailleurs de rentrer chez eux à une heure raisonnable pour être avec leurs familles réelles.

Maintenant, nous avons une économie de concerts où de nombreuses personnes occupent plusieurs emplois à la fois. L'ensemble du concept d'une semaine de 40 heures fait rire les gens de moins de 30 ans.

Lorsque nous n'obtenons pas cette évasion de notre travail de travail, je pense que nous ressentons son absence à un niveau profond, presque primaire. Le loisir est un moment non gratifié et inoccupé où nous devons être vraiment libres, donc se sentir mal à l'idée de manquer le week-end n'est pas seulement, "Merde, je ne suis pas arrivé au centre commercial!" C'est une perte profonde.

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