Kiara Advani (née Alia Advani le 31 juillet 1992) ,,, est une actrice indienne, qui joue dans des films Hindi. Elle fait ses débuts dans la comédie dramatique Fugly en 2014, aux côtés d'acteurs novices comme Mohit Marwah, Vijender Singh, Arfi Lamba et Jimmy Shergill. Le film, sorti le 13 juin 2014, est dirigé par Kabir Sadanand et produit par Ashvini Yardi et Alka Bhatia.

Je pense que le cinéma est le reflet de la société et tout ce qui est montré est à cause du climat dans lequel nous vivons. Il est pertinent, d'actualité et sûrement quelque part que cela a un impact sur les personnes qui peuvent se rapporter à ces circonstances.

J'ai participé à des jeux à l'école et au collège, et c'est à ce moment-là que j'ai réalisé que c'est ce que je voulais faire. Mes parents m'ont dit de terminer l'éducation, puis de faire ce qui m'intéressait. C'est ce que tous les parents disent, et je suis heureux de l'avoir fait. J'ai pris des médias de masse et de la publicité en sous-diplôme.

Ma mère connaissait Salman monsieur, alors qu'ils grandissaient ensemble à Bandra. Il disait souvent à ma mère Genievev Advani comment un jour il serait une star. Ils sont amis depuis longtemps et allaient faire du vélo ensemble.

Parfois, le sort d'un film n'est pas entre vos mains, et vous ne pouvez ramener que des expériences à la maison et ce que vous avez à apprendre pendant le voyage.

Pour moi personnellement, la forme physique est plus une question de style de vie. Il ne s'agit pas seulement de bien paraître mais aussi de faire des cascades. Pour moi, c'est une approche à 360 degrés - que ce soit en marche, la nourriture que nous mangeons, dormant à l'heure, tout se réunit pour être en forme.

C'est formidable que nous ayons des cinéastes commerciaux qui réalisent des films familiaux et comprennent bien l'esthétique, en prenant cette route. Ils savent comment faire venir les émotions sans être vulgaire. Après tout, c'est un instinct naturel.

J'ai signé mon premier film peu de temps après avoir obtenu mon diplôme universitaire. Donc, ma vraie lutte a commencé après que mon premier film n'a pas trop bien réussi. Mais je crois que l'échec ne fait que vous rendre plus fort.

Vous avez des hauts et des bas dans n'importe quel domaine, mais l'attente en vaudra toujours la peine si vous aimez votre travail.

J'aime simplement ce que je fais - j'ai hâte d'aller sur un plateau de tournage, d'être devant la caméra, d'interagir avec beaucoup de gens. J'ai la chance de vivre mon rêve.

Je ne me soucie pas du résultat parce que je sais que la seule chose que je contrôle est mon propre travail acharné. Tant que je suis honnête à ce sujet et que je m'efforce d'être la meilleure version de moi-même, je suis heureux.

"Machine" a été l'une des plus grandes décisions que j'ai prises dans ma vie - c'était la meilleure narration à ce jour. C'est un thriller typique d'Abbas-Mustan.

Je pense que la chose la plus importante dans la vie est d'être heureux. Si vous êtes heureux, cela montrera tout ce que vous faites.

Je suis très excité pour mon apparition spéciale dans «Kalank», car c'est un énorme film et c'est la première fois que je fais quelque chose dans l'espace d'époque.

Quand j'ai commencé avec «Fugly», j'étais ravi de jouer un personnage brut et énervé dans le film. Après avoir cloué l'audition, j'ai réalisé que le rôle n'était pas quelque chose avec lequel j'étais à l'aise.

Pour moi, agir est la passion, l'émotion et la création du personnage et du monde entier autour du personnage. Nous apprécions tout cela. Dormir à temps, manger sainement, vous êtes ce que votre style de vie est.

Il est très touchant que vous puissiez créer une sorte d'impact à travers un personnage.

J'adore la danse et les activités de plein air. J'aime aller au gymnase, essayer différentes routines de fitness - kickboxing, arts martiaux. J'essaie de faire un peu de tout, donc je le rend excitant pour moi et il n'y a donc pas de choc pour mon corps.

Les gens pensent que c'est une vie tellement facile, et vous allez simplement vous préparer, et quelqu'un vous coiffait et se maquille, et tout ce que vous avez à faire est de dire quelques dialogues. Mais il y a beaucoup plus derrière. Vous entrez dans un état d'esprit particulier pour entrer dans une scène; Vous devez bien faire vos émotions.

Je suis né et j'ai élevé à South Mumbai. Mon père, Jagdeep, est un homme d'affaires et un Sindhi. Ma mère est à moitié britannique et à moitié musulmane. Je suis donc un cocktail de sang mélangé. Depuis que je me souviens, je voulais être actrice.

Il est bon d'avoir une concurrence saine et d'être inspiré par les autres, car tout cela vous aide à assumer des rôles difficiles. Il y a des gens qui viennent d'horizons différents dans cette industrie. Dans mon cas, ma mère gère une école de jeu et papa est en affaires. Quand je rentre à la maison, la conversation tourne autour de cela et beaucoup plus de sujets autres que le cinéma.

En fin de compte, les films reflètent notre société. Il faudra du temps à tout le monde pour s'ouvrir à cela et l'accepter. Ils ne vont pas instantanément s'asseoir et changer leur façon de penser.

J'ai étudié à l'école de la cathédrale, où beaucoup d'enfants vont à l'étranger après la classe XII. Mais j'étais clair que je voulais être actrice, et donc, même si j'avais 92% dans mes examens du conseil d'administration, je n'ai postulé qu'au Jai Hind College pour la communication de masse et j'ai terminé et terminé mon diplôme.

Ce que j'ai réalisé, c'est que je suis le plus heureux quand je suis au travail, car je me prépare toujours quand l'occasion se présente.

Si vous êtes passionné par quelque chose, avec un travail acharné et des opportunités, vous continuerez tant que vous apprécierez ce que vous faites.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Kiara_Advani

Ses oeuvres