Kim Jee-woon
Kim Jee-woon (en coréen : 김지운), né le 6 juillet 1964 à Séoul, est un réalisateur, scénariste et directeur de la photographie sud-coréen.
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@kimJeeWoon
Quel peut-être le facteur commun dans un film Kim Jee-woon? Je pense que ce qui relie vraiment beaucoup de mes projets ensemble, c'est qu'il y a toujours un personnage qui croit que sa vie n'est pas exactement comme il le souhaite.
@kimJeeWoon
Je pense que ma tendance lorsque je travaille est d'essayer de trouver ce qui manque dans mon projet actuel, puis de m'attaquer à tout ce que je fais ensuite.
@kimJeeWoon
The Good, the Bad, the Weird" (Le bon, le mauvais et le bizarre) est une histoire d'individus qui réalisent leurs désirs et qui vont jusqu'au bout de leur démarche.
@kimJeeWoon
Hollywood n'a jamais vraiment été l'objectif ultime pour moi.
@kimJeeWoon
Le Western est aussi américain qu'un film peut le faire - il y a la découverte d'une frontière, l'élément d'une confrontation, de la vengeance et de la détermination du meilleur tireur. Il y a une certaine masculinité dans l'Ouest qui m'a vraiment séduit, et j'ai toujours voulu faire un Western à Hollywood.
@kimJeeWoon
Quel peut-être le facteur commun dans un film Kim Jee-woon? Je pense que ce qui relie vraiment beaucoup de mes projets ensemble, c'est qu'il y a toujours un personnage qui croit que sa vie n'est pas exactement comme il le souhaite.
@kimJeeWoon
Pour entrer dans plus de détails concernant les acteurs, que ce soit de Corée ou des États-Unis, tous les acteurs savent s'ils sont aimés par le directeur. Quand ils ressentent cet amour du réalisateur, ils réagissent en donnant une excellente performance à la caméra. De plus, tout le monde sur le plateau - l'équipage, les acteurs - ils étaient conscients du message du film et de son thème général, donc ces grands problèmes n'ont jamais été discutés sur le plateau.
@kimJeeWoon
Pour entrer dans plus de détails concernant les acteurs, que ce soit de Corée ou des États-Unis, tous les acteurs savent s'ils sont aimés par le directeur. Quand ils ressentent cet amour du réalisateur, ils réagissent en donnant une excellente performance à la caméra. De plus, tout le monde sur le plateau - l'équipage, les acteurs - ils étaient conscients du message du film et de son thème général, donc ces grands problèmes n'ont jamais été discutés sur le plateau.
@kimJeeWoon
Beaucoup de gens sont très intéressés qu'un réalisateur coréen ait fait un western. Mais quand je regarde les réactions du public, je me rends compte que les points sur lesquels les gens rient sont les mêmes pour un public coréen et un public international.
@kimJeeWoon
Je suis quelqu'un qui a un objectif singulier pour faire des films: je veux raconter une histoire. Il y a certaines histoires que je veux raconter. Hollywood n'a jamais vraiment été l'objectif ultime pour moi.
@kimJeeWoon
En Corée, le réalisateur est au sommet et la puissance se déroule verticalement. Sur le plateau, j'aime trouver des idées sur place. Mais à Hollywood, si je devais trouver une certaine idée sur le plateau, l'idée devait être prise à toutes ces différentes personnes qui devaient être d'accord.
@kimJeeWoon
De toute évidence, j'ai réalisé plusieurs films en Corée, donc je suis très bien habitué et acclimaté au cinéma coréen.
@kimJeeWoon
Lionsgate et Lorenzo di Bonaventura ont vu mon film de style occidental coréen, `` The Good, The Bad, the Weird '', et j'ai probablement senti que je serais juste pour `` The Last Stand '', qui pourrait être classé comme un occidental moderne.
@kimJeeWoon
The Good, the Bad, the Weird" (Le bon, le mauvais et le bizarre) est une histoire d'individus qui réalisent leurs désirs et qui vont jusqu'au bout de leur démarche.
@kimJeeWoon
Je travaille des opposés aux opposés, d'une certaine manière. Il s'agit de trouver une chose et de faire l'autre d'un film à l'autre. Alors peut-être qu'après «j'ai vu le diable», je pourrais faire quelque chose comme «J'ai vu l'ange» ou peut-être quelque chose de chaleureux et de heureux.
@kimJeeWoon
Je préfère travailler à l'ancienne. Je suis en train de faire tout ou la plupart de ses séquences d'action pratiquement, car je pense que bien que les effets ajoutés ou le processus VFX permettent des séquences plus flashy, je pense qu'il n'a pas l'énergie que nous voyons dans les effets pratiques.
@kimJeeWoon
Les films coréens ont toujours été distribués au public international en tant que films d'arthouse.
@kimJeeWoon
Mais quand il y a eu certains moments ou scènes qui nécessitaient une nuance ou une performance très spécifique, je jouerais moi-même la scène ou la séquence et qui inspirerait les acteurs. Bien sûr, je ne peux pas vraiment exprimer des émotions devant la caméra, mais j'étais très actif en montrant une certaine action ou un blocage pour un acteur. Je participerais également à certaines cascades moi-même et à cause de cela, j'obtiendrais des ecchymoses ou des coupes sur mes genoux et mes coudes.
@kimJeeWoon
Bien sûr, «The Last Stand» a un méchant qui se rend à la frontière pour répondre à ses propres désirs, mais il s'agit davantage du personnage principal. Le shérif met un terme à ce méchant et défendant sa ville. «Le dernier stand» consiste davantage à protéger quelque chose. Sur la protection d'une valeur.
@kimJeeWoon
Après mon film 'The Tale of Two Sisters', j'ai reçu beaucoup d'offres d'Hollywood pour réaliser, mais parce que 'A Tale of Two Sisters' était un film d'horreur, j'ai reçu beaucoup de films d'horreur. Mais je n'étais pas intéressé à travailler dans le même genre, et les scripts que j'ai reçus pour des films de genres différents concernaient des projets qui étaient presque terminés.