Travailler en tant que publicité et producteur vous prépare dans le sens où vous savez ce que vous devez faire pour faire un film. Mais rien ne vous prépare à votre premier film.

Je pense que lorsque vous faites quelque chose qui n'est pas dans un flux et que les gens n'ont pas de façon automatique de consommer, comme si vous n'aviez pas une grande star, ou une chanson à succès ou de l'argent marketing, vous devez trouver un moyen de sensibiliser le public de votre film.

Fondamentalement, j'ai toujours voulu avoir un cinéma d'art. Un cinéma où nous pouvons montrer des films qui ne sont pas nécessairement les offres actuelles sur le circuit et les films qui ne sont pas commerciaux.

Après mes 12 ans, mes parents ont déménagé à Bangalore tandis que j'ai déménagé à Mumbai pour étudier l'économie au Sophia College. Contrairement à d'autres filles qui ont réussi à échapper au couvre-feu et organisé les glissades pour sortir de l'université, nous allions à l'université et nous nous intéressions aux universitaires.

Bien que j'adorais Delhi, Mumbai était dans mes veines et je me sentais connecté à cette ville et j'ai dû revenir.

Si en tant que cinéaste, je prends un sujet très radical, qui pourrait ne pas obtenir un public la première semaine, les multiplexes n'accepteraient pas de le laisser jouer sur leurs écrans.

Quand je suis allé à Jamia, je pensais que je voulais être un directeur de la photographie ou un photographe parce que j'aimais raconter des histoires en photos, mais mes professeurs ont expliqué que si vous voulez raconter vos propres histoires, c'est ce qu'un réalisateur fait.

En fait, je ne regarde pas beaucoup de films, mais quand je le fais, j'aime le cinéma expérimental, avant-gardiste, européen et mondial. C'est le langage du cinéma vers lequel je suis attiré. Je ne regarde pas beaucoup d'Hollywood ou de Bollywood.

J'étais ce snob d'école de cinéma classique qui pensait que le cinéma grand public était synonyme de mauvais cinéma.

Il m'a fallu un bon deux et demi à trois ans pour écrire «dhobi ghat» et, surtout, en être satisfait.

Je ne regarde même pas beaucoup de films énormes. Je ne vais pas au cinéma chaque week-end. Je regarde le cinéma sélectif et je veux faire mon genre de films.

Je suis né à Bangalore mais j'ai grandi à Kolkata et j'ai lu, écrit et parle bengali.

Je vais regarder les soi-disant films traditionnels pour différentes raisons. J'aime certainement ces films s'ils me donnent quelque chose de nouveau à rechercher.

Nous voulons le succès du box-office, les éloges de la critique, les récompenses et tout le reste. Mais je pense que lorsque le public aime un film, cette appréciation est beaucoup plus épanouissante, beaucoup plus satisfaisante que n'importe quel prix.

C'est un long processus pour moi car je ne peux pas écrire un script plus rapidement.

J'ai eu une introduction très tardive aux films. Nous n'avons pas regardé beaucoup de films en grandissant à Kolkata.

Nous étions une famille de la classe moyenne, mais nous avions accès à toutes les bonnes choses de la vie, que ce soit des livres ou des accès à un club. J'étais extraverti et j'ai fait beaucoup d'élocution, de chant et de théâtre.

J'ai toujours voulu avoir un centre culturel où les gens peuvent en quelque sorte avoir une communauté d'artistes et de personnes partageant les mêmes idées partageant leur travail.

Je pense que chaque mère fait ce qui est le mieux pour son enfant parce que c'est une telle joie et une expérience d'apprentissage quotidienne.

Dhobi Ghat 'est le seul script que j'ai réellement terminé et que j'étais convaincu de vouloir diriger.

Le box-office dans un film d'arthouse sera toujours petit. Nous devons faire face à cela et surmonter cela.

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