Lorsque vous écrivez une scène où quelqu'un a peur de quelque chose que vous allez instantanément dans des décennies de cinéma de genre: l'horreur, le suspense et les thrillers. Ce sont des genres très cinématographiques, lorsque vous tirez sur un gros plan de quelqu'un et que vous pouvez voir la peur sur le visage de la personne, l'anticipation, ou une sorte d'anxiété, c'est une image très cinématographique.

Je pense que c'est la société moderne dans son ensemble, mais définitivement au Brésil, les espaces sont si bien divisés et il y a tellement de barrières, et tant de divisions, tant de lignes et tant de lignes frontalières, vous disant essentiellement que vous devriez être ici mais pas ici . C'est mon espace et c'est votre espace, et cela s'exprime très dramatiquement dans l'architecture, nous avons un concept très agressif, presque médiéval pour l'architecture, qui empêche essentiellement les gens. Vous obtenez donc des murs hauts, des clôtures et des clôtures électriques, et des divisions comme ça.

En gros, on peut tout faire dans un film. J'aurais pu placer un vaisseau spatial au milieu d'une rue. Vous pouvez faire n'importe quoi, et j'adore en parler parce que c'est tellement organique pour le processus.

Parfois, vous travaillez et vous avez envie de sortir sur la terrasse, de vous étirer, de regarder et de sentir l'air nocturne sur votre visage.

Une bonne chose à propos d'un bon livre ou d'un bon film, ou peut-être même d'une chanson, je ne suis pas un musicien mais j'aime écouter de la musique, c'est la gamme que chaque pièce est capable de vous donner. Comme «Bohemian Rhapsody» de la reine, 1975, cette chanson est si épique. Il va dans tellement d'endroits différents, c'est et de l'opéra et c'est du heavy metal, et c'est tellement fou que tout le monde. J'aime un peu les films comme ça.

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