Un podium est toujours possible si vous êtes au bon endroit au bon moment.

La chose cruciale pour moi, c'est que je m'en tiens à mon travail.

J'ai mon petit entourage de avec qui je voyage, des amis et des gens qui m'aident plus techniquement sur la piste. De toute évidence, mes ingénieurs avec qui je travaille en étroite collaboration, nous sommes tous dans le navire ensemble.

Lorsque des opportunités se présentent, vous devez les saisir.

Je pense que la Formule 1 est - il y a beaucoup de différences de piste à la piste, de niveaux de poignée, de composé de pneus, vous devez donc toujours appuyer sur le bouton de réinitialisation et travailler à nouveau à partir de zéro.

Je me sens mieux à chaque course; Il s'agit simplement de rester dedans et de continuer à pousser à apprendre, et je ne doute pas que cela vienne.

Williams a une longue histoire de jeunes conducteurs pour nourrir leurs carrières F1.

Je n'ai jamais vraiment regardé la Formule, comme c'était l'objectif à long terme. J'ai évidemment rêvé, et mes aspirations étaient de se rendre à la Formule 1, mais j'ai vraiment commencé à y penser en Formule 3 à 16, 17 ans, et j'ai vu que c'était juste devant moi.

J'ai gagné F4 et j'ai gagné F3 - F3 par, je crois, la plus grande marge de l'histoire et comme l'un des plus jeunes pilotes de l'histoire. Je souligne juste des faits. Je ne me vante pas ou quoi que ce soit.

J'ai appris un montant énorme. J'ai acquis beaucoup d'expérience en compétition au plus haut niveau avec les meilleurs pilotes du monde en F1.

Si la voiture est capable de terminer huitième, alors je veux tirer le meilleur parti de la voiture et la mettre huitième. Si la voiture est seulement capable de terminer 13e pour commencer l'année, alors ce doit être notre objectif.

J'ai remporté des championnats et des courses et gagné ma super-licence pour accéder à la Formule un. Bien sûr, j'ai eu la chance d'être dans la position dans laquelle je me trouvais, mais en même temps, j'ai livré.

J'ai eu la chance d'avoir eu un bon soutien financier.

Je montre aux gens de quoi je suis fait, et si les gens ne veulent pas accepter cela et faire face aux faits, je ne peux pas aider ça.

Vous voulez vous concentrer sur les fans et sur l'énergie positive que vous recevez d'eux.

J'ai un petit entourage de personnes en qui j'ai confiance. J'apprécie leur opinion sur ma carrière. Et je m'en tiens à ces voix. Le reste est juste un bruit de fond.

En tant que conducteur, vous devez accepter que certaines années sont plus difficiles que d'autres. Cela fait partie du jeu.

Je n'écoute plus vraiment Jacques Villeneuve.

C'était incroyable: participer à ma ville natale dans un Grand Prix que je regardais à l'âge de trois ans. C'était massif et un rêve devenu réalité.

Ne vous méprenez pas: j'ai eu beaucoup de fortune, pour venir d'où je viens, pour pouvoir déménager en Europe, faire de la course. Mais j'ai eu cette fortune derrière moi. Je l'ai attrapé avec les deux mains et j'en ai profité.

Je me concentre sur ce que je fais. J'apprécie mon séjour en Formule 1; J'apprécie l'expérience.

Mon travail reste le même, peu importe qui est de l'autre côté du garage.

J'ai gagné la Formule quatre. Je suis allé en Nouvelle-Zélande et j'ai remporté la série Toyota Racing. J'ai remporté le championnat d'Europe F3 en 2016.

Je viens de l'argent. Je ne vais pas nier cela.

L'argent ne peut pas acheter de victoires.

Je vais travailler sur mes faiblesses et m'appuyer sur mes forces.

J'adore la Grèce. C'est vraiment cool en été.

Ses oeuvres