Quand un grand artiste attire mon attention, je le poursuit. Si je ne le fais pas, quelqu'un d'autre le fera, vous savez ce que je dis?

Ma galerie représente beaucoup d'artistes figuratifs.

Le bon jazz a été une grande partie de ma vie en ce qui concerne mon intérêt pour la musique, et ... c'est un peu bizarre maintenant avec la musique, la façon dont la technologie est, avec le téléchargement et les iPods et la distribution électronique, et son genre de - vous manquez quelque chose, je pense.

Personne n'a vraiment besoin d'une peinture. C'est quelque chose pour lequel vous créez de la valeur d'une manière que vous ne faites pas avec une entreprise. C'est un acte de foi collective ce que vaut un objet. Le maintien de ce système de valeurs fait partie de ce qu'un concessionnaire fait, non seulement de faire une transaction, mais de s'assurer que l'art important est important.

J'ai une bonne mémoire visuelle. Je suis bon avec les visages, mais les noms - j'ai beaucoup de problèmes; Je n'arrive pas à me souvenir des gens. Les gens pensent que je suis impoli. En tant que commentaire secondaire, vous savez, je ne suis pas impoli: je suis juste un peu vide.

Certaines personnes achètent de l'art parce qu'ils sont convaincus que ce sera une bonne valeur de magasin, et c'est une sorte de phénomène récent.

Je crois à la popularisation de l'art. Mais quand vous y arrivez, c'est un peu un monde élitiste. Pas seulement élitiste économiquement - combien de personnes lisent la poésie?

Sortez Damien Hirst de l'histoire de l'art contemporain, et il y a un vide incroyable. Les grands artistes, comme les gens formidables, ont des seconds actes.

J'ai eu des gens me dire: "Eh bien, comment puis-je commencer à collecter des œuvres d'art?" Eh bien, vous commencez par acheter. Achetez ce que vous aimez, achetez ce que vous pouvez vous permettre - et je ne dis pas cela parce que je suis un revendeur. Vous ne pouvez pas être si paralysé de savoir où vous continuez à dire: "Je dois en savoir plus." La meilleure façon d'apprendre est de rentrer chez elle et de mettre quelque chose sur le mur. Ensuite, vous avez un investissement. Ensuite, vous vivez avec. Ensuite, vous êtes dans le jeu.

Je pense que le fonctionnement en tant que chef d'entreprise peut être un obstacle à un véritable dialogue avec l'artiste. Je pense que les artistes ont besoin de bons avocats et comptables, car ils ont affaire à de l'argent sérieux. Mais un artiste qui se tient derrière un manager? C'est un peu différent. Je pense que cela peut être un mauvais tampon.

Je ne pense pas que vous puissiez dire à quelqu'un comment il devrait collecter. Je pense qu'il s'agit simplement d'être excité par l'art. À la fin de la journée, certaines personnes l'obtiennent. Ils ne l'obtiennent pas tous de la même manière ou obtiennent les mêmes artistes, mais c'est un voyage qui les excite.

J'étais toujours très concentré sur la façon dont les gens s'habillaient.

Le soi-disant "marché secondaire" a également été toujours quelque chose avec lequel je suis à l'aise. Je ne suis pas un concessionnaire qui tourne le nez à cette partie de l'entreprise. Je suis un marchand d'art - ma principale responsabilité est de représenter l'artiste.

Physiquement, cela devient impossible pour moi de voyager autant. Je veux soutenir mes artistes en me présentant à leurs ouvertures, mais je ne peux pas toujours être à Hong Kong une minute et Genève la suivante.

Le soleil ne se couche jamais sur ma galerie.

Naturellement, la liquidité est un facteur important sur n'importe quel marché qui semble être beaucoup d'argent dans le monde, et il y a beaucoup d'argent discrétionnaire.

Professionnellement, ce qui arrive en premier, c'est représenter l'artiste. Qu'ils soient vivants ou morts.

Je joue dur. Donc les trucs critiques ne me surprennent pas ou ne me dérange pas.

Vous arrivez à un point où vous ne pouvez vraiment pas gérer plus d'artistes, car la représentation d'artistes prend beaucoup de temps.

Je n'ai jamais été sur une planche, mais je suis juste allé à la planche pour le jazz au Lincoln Center. Je suis très content de ça.

Honnêtement, j'ai grandi dans des circonstances assez modestes. Nous étions une famille de classe moyenne.

Je n'ai jamais vraiment suivi un cours d'art approprié à l'université. Je viens de commencer à lire des magazines artistiques et à aller aux galeries. J'y étais vraiment attiré.

Je ne suis pas dans le secteur des produits de luxe. Je vends des objets uniques. J'aimerais être dans des produits de luxe parce que je pouvais simplement appeler l'usine et dire: «J'ai besoin de 10 000 autres». Mais je ne peux pas - parce que ce n'est pas de l'art, c'est autre chose.

Je n'ai jamais été ce qu'ils appellent un «pur galeriste». Je trouve cela quelque peu prétentieux, honnêtement - je suis un marchand d'art. J'aime montrer de grands artistes de notre temps, mais j'aime aussi les affirmations. Et je pense qu'ils se renforcent mutuellement.

Pour moi, la collecte est en quelque sorte une extension naturelle d'être un marchand d'art, car si vous ne voulez pas collecter l'artiste, alors vous ne devriez probablement pas les représenter.

Je ne sais pas ce que signifie «fidèle».

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