Le destin incroyable de Louis Zamperini, coureur olympique et vétéran de la Seconde Guerre mondiale. Bientôt au cinéma !
Louis Zamperini est né en 1917 à New York. Quand il arrive en Californie, trois ans plus tard, il ne parle que l'italien. Dans un contexte de dépression économique, peu de perspectives d'avenir s'offrent à lui. C'est son inscription dans l'équipe scolaire de course de fond qui changera sa vie à tout jamais.
 Il devient alors une gloire locale et participe aux jeux Olympiques de 1936. Mais sa chance tourne en 1941, lorsqu'il s'engage dans l'armée. Après un bombardement japonais, son avion s'abîme dans le Pacifique et il est fait prisonnier. Dans les camps de travail, il est soumis à des conditions de vie atroces mais surtout à un tortionnaire vicieux et sadique. En véritable force de la nature, il survit à toutes ces épreuves.
 A son retour aux Etats-Unis, il est considéré par ses proches comme un héros. Toutefois, son traumatisme est tel qu'il plonge dans l'alcool et la violence. Sa rédemption vient alors de sa foi et de son premier amour : la course.
 Ce livre témoigne du parcours prodigieux d'un champion pris dans la tourmente d'une période historique chaotique.

Invincible ; une histoire de survie et de rédemption

Louis Zamperini est né en 1917 à New York. Quand il arrive en Californie, trois ans plus tard, il ne parle que l'italien. Dans un contexte de dépression économique, il doit apprendre à se battre très tôt, au sens propre comme au figuré. Quand la délinquance le guette, c'est son frère qui le sauve en le présentant à l'équipe scolaire de course de fond. Cette décision change sa vie à tout jamais. De sa gloire locale aux Jeux olympiques de 1936, Louis devient un homme et un bourreau des c urs. Mais son âge d'or prend fin en 1941 lorsqu'il s'engage dans l'armée. Après un bombardement japonais, son avion s'écrase dans un atoll du Pacifique et il est fait prisonnier de guerre. Dans les camps de travail, il fait face à des conditions de vie atroces : l'humidité, la chaleur, les moustiques... Mais, en véritable force de la nature, il survit à toutes ces épreuves. A son retour aux Etats-Unis, il est considéré comme un héros par ses proches. Pourtant, son traumatisme est tel qu'il plonge dans l'alcool et la violence. Sa rédemption vient alors de son premier amour : la course. Il retrouve goût à la vie en entraînant des jeunes gens et en les poussant à dépasser ses propres exploits. Ce livre témoigne du parcours prodigieux d'un champion pris dans les tourments d'un contexte historique chaotique.

Invincible

Cela n'a fonctionné que pendant un petit moment; Le matin après avoir accepté d'aller avec Universal, un article est sorti dans les journaux du commerce d'Hollywood, et le secret était sorti.

Quand il a pensé à son histoire, ce qui a résonné avec lui maintenant n'était pas tout ce qu'il avait souffert, mais l'amour divin qu'il croyait était intervenu pour le sauver.

Les livres sur les sujets de courses de chevaux n'ont jamais bien fait, et on me dit que les éditeurs étaient venus les considérer comme la version littéraire du poison au box-office.

J'écrivais professionnellement depuis 1988.

Ma maladie est atroce et difficile à gérer. Il reprend toute votre vie et cause plus de souffrance que je ne peux le décrire.

Je pensais juste que j'étais vide et maintenant je suis rempli ... et je voulais juste continuer à être rempli.

Les livres sur les sujets de courses de chevaux n'ont jamais bien réussi, et on me dit que les éditeurs étaient venus les considérer comme la version littéraire de Box Office Poison

Je suis dans un tout nouveau monde maintenant. Je ne peux penser à rien de plus merveilleux. C'est une véritable touche de tout ce que le paradis signifie.

Je suis attiré par les sujets qui surmontent une souffrance énorme et apprennent à y faire face.

Je pense que les auteurs peuvent avoir du mal à voir le sujet comme leur gazon

Je suis tombé malade quand j'avais 19 ans, et j'avais été un jeune de 19 ans en très bonne santé, donc je n'ai pas grand-chose à comparer. Cela ressemble-t-il à la douleur après l'accouchement? Je ne sais pas.

Pour moi, être un écrivain n'a jamais été un choix. Je suis né un. Tout au long de mon enfance, j'ai écrit des nouvelles et les ai fourrées dans des tiroirs. J'ai écrit sur tout. Je n'ai pas fait mes devoirs pour que je puisse écrire

J'ai utilisé un téléphone portable exactement deux fois. Les choses avancent. Le monde change. Et je ne le sais pas.

Et à ce moment-là, je pense que mon expérience dans la couverture du sujet m'a aidé. Je pense que les éditeurs étaient à l'aise avec l'idée que je raconte cette histoire parce que j'avais démontré que je connaissais assez bien ce métier

... le caractère prédominant dans la détermination du potentiel.

Pour «Seabiscuit», j'ai interviewé 100 personnes que je n'ai jamais rencontrées.

Bien que ce soit vraiment difficile à faire, en même temps, j'échappe à mon corps, ce que je veux vraiment faire. Je vis la vie de quelqu'un d'autre. Je suis très intensément dans l'histoire, dans les interviews et la recherche. Je ressens des choses avec mes sujets. J'ai une liberté que je n'ai pas dans ma vie physique.

Ses livres étaient la chose la plus proche qu'il avait pour les meubles et il y vivait comme les autres hommes vivent dans des chaises faciles.

Je suis en fait en mauvaise santé en raison de la fatigue chronique et du syndrome de dysfonctionnement immunitaire, et ma capacité à travailler est considérablement diminuée en ce moment, donc je dois m'améliorer avant de pouvoir commencer un autre grand projet.

J'ai utilisé un téléphone portable exactement deux fois. Les choses avancent. Le monde change. Et je ne le sais pas

Mon travail était entièrement non-fiction.

J'avais 8 ans quand je suis allé de l'autre côté de ma maison à une foire, et ils avaient toujours une vente de livres d'occasion. Pendant un quart, j'ai acheté un livre intitulé «Come on Seabiscuit». J'ai adoré ce livre. Ça est resté avec moi toutes ces années

Honnêtement, je m'attendais à obtenir une réception froide à cause de mon sujet. Mais quand les éditeurs ont regardé l'histoire que je devais raconter et que ce n'était pas du tout une histoire paroissiale, ils y réchauffaient vraiment

Le mercredi suivant, j'ai choisi d'aller avec Random House.

Il est facile de parler à un cheval si vous comprenez sa langue. Les chevaux restent les mêmes dès leur naissance jusqu'au jour de leur mort. Ils ne sont changés que par la façon dont les gens les traitent.

Je pense que si j'avais écrit de la fiction, où l'œuvre dépend entièrement de la créativité de l'écrivain et des directions potentielles que le récit pourrait prendre est infinie, je pourrais avoir congelé.

Chaque jour après le déjeuner, lorsque j'écrivais mon premier livre, je grignote un carré de chocolat fin et méditait sur tout ce qui était entré dans sa création: le soleil et la pluie qui se sont renversés sur la plante de cacao, le sol qui l'a nourri, le Les mains qui ont cueilli les haricots, et ainsi de suite. Mon goût du chocolat est devenu une leçon sur l'interconnexion des choses et les bénédictions infinies pour lesquelles je suis reconnaissant.

En termes d'écriture sur les chevaux, je suis tombé en arrière. J'avais l'intention d'obtenir un doctorat, de devenir professeur et d'écrire sur l'histoire, mais je suis tombé malade il y a 14 ans quand j'avais 19 ans.

Je suis en fait en mauvaise santé en raison de la fatigue chronique et du syndrome de dysfonctionnement immunitaire, et ma capacité à travailler est considérablement diminuée en ce moment, donc je dois m'améliorer avant de pouvoir commencer un autre grand projet

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