'Things I will never forget: my name, my made-up birthday.The dark of the Hospital at night. My mother's face, when she was young. Things other people will forget: where they come from, how old they are, the faces of the people they love. The right words for bowl and sunshine.What is a beginning and what  is an end'.

Find Me

Souvent, les contrastes donnent vie à l'art: le grain de peinture sur une toile sombre; La corde raide marche entre l'humour et la tragédie.

J'adore Javier Marias; J'adore son roman «Tomorrow in the Battle Think On Me».

Les enfants se racontent des histoires, s'engagent dans l'auto-illusion et la fantaisie, mais ces récits évoluent plus que calcifiés - et avec cette malléabilité, vient à la fois la liberté et le danger.

Le sens du jeu est important lorsque j'écris, et donc jouer avec, disons, une routine magique peut ressembler à un jeu, du moins au début.

Je pense que lorsqu'un écrivain tombe sur le continuum réalisme / non-réalisme a beaucoup à voir avec leur vue, comme dans «C'est ainsi que je vois le monde». Et il semble que ma vue soit décalée et un peu étrange, mais je viens naturellement; Je ne pousse pas consciemment vers un point particulier sur le continuum.

J'ai eu une expérience quelque peu typique dans la mesure où de nombreux écrivains contemporains auxquels j'ai été exposé tôt étaient blancs et souvent masculins.

Quand j'étais à l'école supérieure, mon mari et moi avions l'habitude de nous asseoir pour un couple à Harvard Square, donc nous avons ces souvenirs incroyables de Great Cambridge Summers.

Dans la fiction, nous ne sommes pas liés par la convention sociale, donc les choses que la mystifie et le dérangement sont autorisées à remonter à la surface.

Holy Cow - Tout ce qui concerne l'écriture d'un roman est difficile pour moi.

Peu de temps après avoir regardé «le passager», j'ai écrit les premières lignes de «l'île de la jeunesse», qui concerne des sœurs jumelles qui échangent des identités et se sont retrouvées dans le monde souterrain de Miami.

Si nous pouvons penser à un endroit, la physicalité d'un endroit, en tant que sorte de «matériel», je dirais que le paysage de la Floride en particulier était particulièrement important lors de l'écriture «de l'île».

L'anxiété et le doute sont parmi mes plus grandes difficultés en tant qu'écrivain.

En tant que genre, la meilleure horreur pose des questions humaines centrales - à qui pouvez-vous faire confiance? Quel est le coût de nos secrets? Quelle est notre relation avec l'histoire? À quoi sommes-nous aveugles? Quels maux se cachent sous la surface fluide de soi? - par des dislocations radicales.

Il y a le moi public que nous présentons au monde extérieur. Il y a le moi privé, qui prend peut-être plus de temps pour accéder. Mais finalement, ce qui m'intéresse le plus en tant qu'écrivain, c'est à quelques crans sous le moi privé.

Quand je suis absorbé par une œuvre de fiction, le temps et le lieu fondent, comme si je me suis éloigné de ma réalité habituelle et que j'ai été absorbé par un autre.

J'adore créer des mystères, mais je suis terrible pour les résoudre.

Dans une certaine mesure, je pense que la mémoire auto-narrativante et sélective est des compétences de survie essentielles.

J'ai vraiment besoin de tellement de temps pour vraiment faire des progrès sur un roman qui me nécessite de disparaître du monde en quelque sorte.

Je pense que, à bien des égards, si vous supprimez vraiment certains des romans les plus convaincants, à bien des égards, ce sont des histoires détective.

Je prends une vision assez vaste de l'artisanat, c'est-à-dire que je ne vois pas l'artisanat comme une simple technique - c'est aussi un processus; sujet; idées et sentiments; visions et rêves; les mots qui sont abattus et les mots évités.

En août 2008, j'ai déménagé avec l'homme qui deviendrait mon mari de Boston à une cabine dans la Caroline du Nord rurale.

En tant que lecteur, j'apprécie un monde qui se sent instable et aussi viscéral, habitable, donc c'est une qualité que j'essaie d'amener à mon propre travail. De cette façon, la dislocation et la précision ont un sens total pour moi en tant qu'unité.

Parfois, nous parlons de mémoire comme s'il était ferme et fixe, mais bien sûr, la mémoire est très fluide et subjective et donc très soumise à la manipulation.

La nouvelle a été ici et est ici et sera ici aussi longtemps que nous.

Je suis un écrivain à la première personne.

Comme de nombreux lecteurs américains, j'ai été présenté pour la première fois au travail de Magda Szabo lorsque les livres de New York Review ont réédité le roman profond et obsédant du maître hongrois «The Door».

Culturellement, on s'attend souvent à ce que les femmes soient repoussées par quelque chose de trop laid, trop violent.

Il n'est pas facile de créer un roman qui érode progressivement la compréhension du lecteur du monde, de la réalité et de l'identité et du passage du temps.

Ses oeuvres