Je fais du yoga tous les jours, un peu de sport, je prends un repas une fois par jour, mange des fruits et je bois un verre de vin. Et une fois par mois, je rassemble mes amis proches. Mais ma femme et moi n'aimons pas le luxe visible.

Il y a huit races différentes de paon. Je les ai tous.

Je ne suis peut-être pas un politicien, mais je me battrai jusqu'à la fin de ma vie pour ce en quoi je crois.

Notre politique est l'intégration européenne et euro-atlantique. Il n'y a pas de substitut à l'OTAN.

Étant donné que tout le village était pauvre, nous n'avons pas réalisé notre propre pauvreté. J'étais heureux.

J'ai été forcé de venir en politique parce que Saakashvili avait détruit l'opposition. J'avais le choix soit de quitter le pays, car il était dangereux de vivre ici, soit d'aller en politique.

Voici ma philosophie: je préfère rester en dehors des yeux du public. J'aime la liberté.

Un petit pays comme la Géorgie a peu d'influence sur les conflits qui doivent être résolus au niveau mondial.

Si vous venez en Géorgie, vous pouvez ouvrir une entreprise en une journée. Vous pouvez vous-même venir demain et établir une entreprise en une journée, et vous n'êtes pas interrompu par la paperasse.

En ce qui concerne l'intégration euro-atlantique, nous devons réaliser que nous devons normaliser les relations avec nos voisins, et en particulier avec la Russie.

Je ne reviendrai pas sur ma décision. Je n'ai pas peur de la prison, mais il y a des dangers encore pires.

J'ai décidé d'aller en politique à cause de notre gouvernement de style soviétique.

En Géorgie, les gens avaient déjà compris que le communisme ne pouvait pas survivre, et je suis venu à l'Institut de Moscou, et les gens y croyaient encore. C'étaient des gens complètement différents, et je l'ai trouvé très difficile psychologiquement.

J'ai toujours vécu selon ma conscience, et mon passé est propre.

L'Europe et l'Amérique devraient juger le leadership de la Géorgie sur la base de leurs actions, pas seulement de leurs paroles et de leurs promesses. Sinon, Saakashvili transformera la Géorgie en dictature.

Je n'ai pas aimé les réunions formelles, car ils ont enlevé ma liberté. J'aimais juste passer du temps avec mes amis, où je pouvais être moi-même et je n'avais pas besoin de mettre un masque.

Je devais choisir: soit quitter le pays, où il est devenu dangereux pour moi, soit aller à l'offensive.

J'écrivais mon doctorat. À la fin des années 1980 et gardait un œil sur ce qui se passait dans le monde. Il est devenu évident pour moi que la Russie ne pouvait pas vivre sans ordinateur. Je pense que j'ai travaillé cela un an avant quelqu'un d'autre. J'ai commencé à chercher des gens qui pourraient aider à les importer.

Une situation régionale difficile ne justifie pas la détermination d'un homme à s'accrocher au pouvoir. Il est clair pour moi que la démocratisation est un processus très compliqué.

L'Amérique a choisi la Géorgie en tant que partenaire junior. Les États-Unis estiment que Saakashvili crée une Géorgie démocratique, mais ce ne sont que des façades.

Mon capital principal n'est pas l'argent. Je me respecte; Je respecte mon pays.

Tout ce que les thérapeutes me disaient, c'était que j'étais la seule personne en bonne santé qu'ils connaissaient.

Je voudrais devenir le Premier ministre, faire le travail pendant deux ans, puis quitter et me consacrer au travail public.

Je n'ai jamais été oligarque. La définition d'un oligarque est quelqu'un qui a coopéré avec le gouvernement, et je ne l'ai jamais fait.

Je n'ai aucun plaisir à la politique; Ce n'est pas dans mon personnage.

L'économie est régie par les accords de cartel et le monopole. Le procureur général est celui qui contrôle les fonds. Il n'y a pas d'affaires gratuites en Géorgie.

Toute sécurité privée est une blague dans un pays où vous êtes contre votre propre gouvernement.

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