'Brilliant' SUNDAY TIMES'Compelling and unnerving' SPECTATOR**A NEW STATESMAN Book of the Year 2023**This first collection of stories by Lawrence Osborne perfectly showcases his talent for tension, atmosphere - and characters out of their depthA naïve young linguist sent to the forests of Irian Jaya is manipulated into betraying her mission by a ruthless and disturbed pastor. A deaf girl hired as a maid by a wealthy New York couple turns the tables on her obliviously abusive employers and answers blackmail with blackmail. A psychiatrist treating a girl in rural England becomes ensnared in a love affair that threatens to destroy her career; while a young couple on holiday in Oman accidentally witness a killing, which leads to their being hunted as well. An entomologist at a remote hotel in the Andamans survives a tsunami and uses a dead body to further her study of ants. Collected here for the first time, Lawrence Osborne's stories, like his novels - 'elaborate and intricately plotted dances macabres' (The Times) - feel like nightmares set against calmly and meticulously observed backgrounds. With their nods to Daphne du Maurier and Roald Dahl, these nine long-form stories explore characters lost in the shadowed borders between the mundane, the fantastical and the violence of the natural world.

Burning Angel and Other Stories

En 1944, à l'hôpital de Laon, Jamie, un soldat anglais, rencontre Ania, une petite Polonaise de quinze ans, dont la jambe a été brisée par un éclat d'obus. Ania est seule au monde. Ainsi commence l'histoire d'une fascination. Le couple formé par l'ancien soldat et la jeune fille entreprend une errance à travers l'Europe. C'est une vie précaire, difficile parce que l'argent manque, parce que Jamie a peur qu'on lui prenne l'adolescente : un médecin suisse, le docteur Kessler, devient une sorte de rival. Mais surtout Ania est un personnage ambigu, dont l'érotisme se nimbe de poésie, dont le mystère débouche sur la folie. Les images violentes et baroques de ce roman créent un univers riche et poétique. Sur les thèmes du sang, de la mort, des limites de la possession, du mutisme de l'enfance, se révèle un talent tout à fait original.

Ania Malina

Le Cambodge prend vie de facon splendide dans ce page-turner.  The IndependentRobert Grieve, jeune enseignant britannique, s'offre un superbe voyage en Asie. Plus son sejour s'ecoule, plus il realise a quel point sa petite vie monotone est navrante.Tout bascule lorsqu'il franchit la frontiere thailandaise pour rejoindre le Cambodge. Il n'a quasiment plus un sous en poche, et decide de tenter sa chance au casino: c'est le jackpot. Mais aussi un declencheur pour tout simplement disparaitre et changer de vie a jamais.Son gain va cependant entrainer une reaction en chaine d'evenements tres compliques car la mafia locale l'a vu sortir du casino les poches pleines de billets. Entre un Americain charmeur, un coffre rempli d'heroine, un escroc chauffeur de taxi et la fille d'un riche medecin, tout semble soudain fait pour changer l'existence de Robert pour toujours.Une saison au Cambodge est un jeu du chat et de la souris talentueux evoquant les cauchemars de Patricia Highsmith, ou les personnalites sont floues, l'avidite surpasse la bonte et le karma est sans pitie. Empli de rebondissements hitchcockiens et empreint de la chaleur moite et de la superstition omnipresente de la jungle cambodgienne magnifiquement decrite, ce roman admirable confirme la reputation de Lawrence Osborne comme l'un des meilleurs ecrivains anglais contemporains.Une saison au Cambodge est son second roman apres Terminus Oasis (Calmann-Levy, 2016).

Une saison au cambodge

On peut venir à Bangkok pour bien des raisons, un changement de sexe, une nuit d'amour avec deux prostituées, un séjour dans un palace, ou simplement pour disparaître. Pour Lawrence Osborne, ce sera la recherche d'un dentiste bon marché - et la découverte qu'on peut vivre là inconnu, sans attache, avec un dollar par jour. Une des rares villes avec Pékin à n'avoir jamais été colonisée par l'Occident, énigmatique, chaotique, immense, corrompue, d'une grâce et d'une subtilité fascinantes : une ville pour un écrivain comme lui, se dit-il, depuis toujours de nulle part. Pologne, France, Maroc, Etats-Unis, Istanbul, il avait vécu jusque-là en nomade, occupé à se chercher, plus sûrement à se perdre : ici, dans ce cratère d'une totale étrangeté, voici qu'enfin il se sent chez lui. Jours tranquilles à Bangkok tient à la fois du journal intime et du carnet de vagabondages, entre quête spirituelle et séductions de la nuit - mais après tout les transsexuels sont-ils si étrangers au bouddhisme qui professe qu'un homme a été femme, et vice versa ? Un guide qui sort de l'ordinaire, et une superbe oeuvre littéraire où s'affirme un auteur aujourd'hui comparé à Graham Greene.

Jours tranquilles à Bangkok

On peut venir à Bangkok pour bien des raisons, un changement de sexe, une nuit d'amour avec deux prostituées, un séjour dans un palace, ou simplement pour disparaître. Pour Lawrence Osborne, ce sera la recherche d'un dentiste bon marché - et la découverte qu'on peut vivre là inconnu, sans attache, avec un dollar par jour. 
Une des rares villes avec Pékin à n'avoir jamais été colonisée par l'Occident, énigmatique, chaotique, immense, corrompue, d'une grâce et d'une subtilité fascinantes : une ville pour un écrivain comme lui, se dit-il, depuis toujours de nulle part. Pologne, France, Maroc, États-Unis, Istanbul, il avait vécu jusque-là en nomade, occupé à se chercher, plus sûrement à se perdre : ici, dans ce cratère d'une totale étrangeté, voici qu'enfin il se sent chez lui. 
Jours tranquilles à Bangkok tient à la fois du journal intime et du carnet de vagabondages, entre quête spirituelle et séductions de la nuit - mais après tout les transsexuels sont-ils si étrangers au bouddhisme qui professe qu'un homme a été femme, et vice versa? Un guide qui sort de l'ordinaire, et une superbe oeuvre littéraire où s'affirme un auteur aujourd'hui comparé à Graham Greene.

Boire et déboires, en terre d'abstinence

En 1944, à l'hôpital de Laon, Jamie, un soldat anglais, rencontre Ania, une petite Polonaise de quinze ans, dont la jambe a été brisée par un éclat d'obus. Ania est seule au monde. Ainsi commence l'histoire d'une fascination.Le couple formé par l'ancien soldat et la jeune fille entreprend une errance à travers l'Europe. C'est une vie précaire, difficile parce que l'argent manque, parce que Jamie a peur qu'on lui prenne l'adolescente : un médecin suisse, le docteur Kessler, devient une sorte de rival. Mais surtout Ania est un personnage ambigu, dont l'érotisme se nimbe de poésie, dont le mystère débouche sur la folie.Les images violentes et baroques de ce roman créent un univers riche et poétique. Sur les thèmes du sang, de la mort, des limites de la possession, du mutisme de l'enfance, se révèle un talent neuf et tout à fait original.

Ania malina

Lawrence Osborne, né en 1958 à Londres, est un journaliste et un romancier britannique, auteur de romans policiers, de nouvelles et de récits de voyage.

Asa Briggs était un historien de l'histoire de la classe, il se sentait donc obligé de faire venir son chauffeur. C'est la classe anglaise qui est beaucoup plus faible maintenant.

J'ai découvert que le whisky est apprécié comme un plaisir secret raffiné dans de nombreuses villes - et il semble être populaire au Pakistan, car c'est partout dans le monde asiatique tropical, musulman ou non musulman.

De nombreux voyageurs ont des ennuis dans des endroits comme Dubaï en supposant qu'il est suffisamment occidental pour eux de boire comme ils le font. Mais ailleurs dans le monde musulman, il est assez contrôlé et le non-musulman sera dirigé sur un chemin assez étroit.

Les examens ne sont pas très difficiles. Les gens les trouvent durement parce qu'ils ne fonctionnent pas - c'est juste une question de travail. Une fois que vous commencez vraiment à le faire, c'est comme craquer les œufs. Vous n'avez pas besoin d'être intelligent. Comme tout est dans la vie, il s'agit de concentration.

Bangkok est tristement célèbre en proie à des contradictions sinistres, mais c'est aussi une ville aux humeurs subtiles et déformées que le journalisme et le cinéma n'ont jusqu'à présent pas réussi à capturer.

"L'Odyssée" est un grand poème pour les réfugiés... Ulysse n'est pas entièrement un réfugié... c'est quelqu'un qui a perdu sa route. Le livre entier est une exploration de ce thème... Je le relis chaque année... Ce n'est pas aussi surprenant que ça en a l'air, car c'est un livre déchirant.

Je vais parier qu'il n'y a pas un être humain sur Terre qui ne croit pas à la chance, aussi rationnels ils prétendent être dans la vie publique. En réalité, la majeure partie de la vie humaine est la chance - et, bien sûr, son opposé plus sombre et plus répandu. Il suffit de vivre assez longtemps pour découvrir les deux.

J'ai passé la majeure partie de ma vie adulte aux États-Unis, et là la culture des célébrités a été enracinée depuis longtemps. Cela a rendu les gens presque littéralement fous, même ceux qui font une grande démonstration de la répudiation. Ces gens, comme les romanciers, qui ne peuvent plus profiter de ce statut sont condamnés à le mépriser.

Je pense que les humains sont des animaux migrateurs.

Mon bar à whisky préféré au monde est dans mon Bangkok adopté. Speakeasy japonais raffiné et secret parmi les barreaux girly de Soi 33, il s'appelle Hailiang.

À la fin du XVIIIe siècle, un jeune explorateur britannique du nom de George Bogle est devenu l'un des premiers Occidentaux à pénétrer le domaine mystérieux et reclus de Druk Yul, ou «Dragon Land».

J'ai tout contre des personnages sympathiques. Les personnages sympathiques sont généralement complètement oubliables, et nous ne nous en soucions pas vraiment. Je pense que nous aimons les méchants ... précisément parce qu'ils nous montrent ces complexités inquiétantes que je ne pense pas que les beaux personnages font.

C'est tout ce que vous faites dans la vie: vous trouvez votre perchoir, et si cela vous convient, continuez. Il n'y a rien Graham Greene à ce sujet.

J'adore le roman comme une forme, comme une aventure d'esprit et d'âme. Vraiment, j'adore les écrire; Ils consomment mes jours et mes nuits - que puis-je dire? Mais je suis aussi un étudiant passionné de cinéma: je regarde un film tous les soirs.

Je ne sais pas d'où vient cette chose à propos de mon écrivain de voyage. Cela n'a rien à voir avec moi; Je déteste les écrits de voyage. Je ne le fais pas - je le fais un peu, mais pas beaucoup. Je n'y crois pas. Je pense que c'est fini. Le monde est tellement saturé maintenant que vous n'en avez pas besoin.

J'ai lu «The Immoralist» de Gide encore et encore à l'adolescence. J'étais obsédé par ça. Il est écrit avec une telle simplicité et effrayante, et le désert, le monde colonial minable, est amené directement dans votre conscience sans être trop expliqué.

Je suppose que j'ai atteint la limite de ce que je pouvais faire avec des livres de non-fiction, peut-être parce qu'ils ne se sont jamais assez intenses - c'est une entreprise journalistique, en fin de compte, même si vous utilisez le mémoire comme une forme.

Les chaussures vous parlent beaucoup de quelqu'un. Pensez aux «étrangers dans un train». La première chose que nous voyons, ce sont les chaussures de Bruno. Nous savons tout de suite que quelque chose se passe.

L'Association des orchidées dans la culture chinoise avec des vertus telles que l'élégance, le bon goût, l'amitié et la fertilité remontent à Confucius lui-même, qui aurait un attachement particulier aux fleurs.

J'ai passé pas mal de temps dans la Pologne communiste quand j'étais jeune - ma femme était de là - et j'ai eu l'impression que l'ennui était l'une des choses qui sapaient toute cette société de l'intérieur.

Dans la scène littéraire en herbe de Bangkok, Prabda Yoon est assise au centre.

New York était très sympathique pour moi quand j'étais jeune, comme la plupart des gens. J'ai rencontré mes camarades en bras et j'ai fait la fête. C'est comme ça que ça devrait être, puis vous en avez assez.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lawrence_Osborne

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