The Human Clay - Volume 5, Workers

Dans cette série photographique, Lee Friedlander rend hommage à la camionnette, un mode de transport typiquement américain. Sans fioritures dans la forme comme dans la fonction, les camionnettes sont depuis longtemps le véhicule de choix des agriculteurs et des commerçants. Le photographe, dans son idiome plein d'esprit, a observé cet objet le plus utilitaire et le plus personnel dans son cadre d'origine : le bricolage cacophonique qui est le paysage social américain.

Lee Friedlander : pickup

The saturation of our social landscape by photographs and photographers is apparent from any public point of view. Photography is arguably the most democratic of mediums, even more accessible today across culture and class than language. In some regards, this has been Lee Friedlanders most enduring subjectthe way that average citizens interact with the world by making pictures of it, as well as how those pictures and the pictures constructed for advertising or political purposes define the public space.In Lee Friedlander: The Peoples Pictures we see photographs spanning six decades, most of the geographic United States and parts of Western Europe and Asia. These pictures are uniquely Friedlander photographs: as much about whats in front of the camera as they are about the photographers lifelong redefining of the medium. Like his exploration of words, letters and numbers in the social landscape, these photographs of photographys street presence seem inevitable to Friedlanders vast visual orchestration of what our society looks like. But make no mistake, Friedlanders photographs are not objective documents, they are intentional, authored, playful, intelligent creations made through his unprecedented collaboration with time and place.Lee Friedlander (born 1934) has published more than 50 monographs since 1969, and has exhibited extensively around the world for the past five decades, including a major retrospective at the Museum of Modern Art, New York, in 2005. Friedlander lives in New York.

Lee Friedlander : the people's pictures

The Shadow knows

Friedlander first fifty

Signs

The mind and the hand - Richard Benson, William Christenberry, William Eggleston

Je soupçonne que c'est pour l'intérêt personnel que l'on regarde son environnement et soi-même. Cette recherche est personnellement née et est en effet ma raison et mon motif pour faire des photos. L'appareil photo n'est pas simplement une piscine réfléchissante et les photographies ne sont pas exactement le miroir, le miroir sur le mur qui parle avec une langue torsadée. Le témoin est né et les puzzles se réunissent au moment photographique qui est très simple et complet. Le doigt d'esprit appuie sur la sortie de la machine idiote et il arrête le temps et tient ce que ses mâchoires peuvent englober et ce que la lumière tachera.

[Garry Winogrand] était un taureau et le monde son magasin de porcelaine.

Je voulais seulement que l'oncle Vernon se tenait près de sa propre voiture (un Hudson) par une journée claire, je l'ai eu et la voiture. Ialso a obtenu un peu de la blanchisserie de tante Mary et Beau Jack, le chien, faisant pipi sur la clôture et une rangée de bégonias tubéreux en pot sur le porche et 78 arbres et un million de galets dans l'allée et plus encore. C’est un médium généreux, photographie.

Au début, ma présence sur mes photos a été fascinante et dérangeante. Mais au fil du temps et que je faisais plus partie des autres idées sur mes photos, j'ai pu ajouter un rire à ces sentiments.

... les photographies sont tellement chargées d'informations. Ils sont remarquables. Comme je l'ai dit, vous obtenez à la fois l'arbre et la forêt.

L'idée que l'instantané serait considéré comme un culte ou un mouvement est très ennuyeux pour moi et, je suis sûr, déroutant pour les autres. C'est un mot gonflé que j'ai toujours aimé. Il est probablement arrivé car il décrit un fait de base de la photographie. Dans un cliché, ou une petite partie du temps, tout ce que la caméra peut consommer en largeur et morsure et lumière est rendu dans un détail étonnant: toutes les feuilles d'un arbre, ainsi que l'arbre lui-même et tout son environnement.

Je soupçonne que c'est pour son intérêt personnel que l'on regarde son environnement et lui-même. Cette recherche est personnellement née et est en effet ma raison et mon motif pour faire des photos.

La photographie est un médium généreux.

Les photographies montrent également la façon dont la caméra voit. Ce n'est pas seulement moi ou moi ou quelqu'un d'autre. La caméra fait quelque chose de différent de notre propre réglage.

J'ai toujours voulu être photographe. J'étais fasciné par les matériaux, mais je n'ai jamais rêvé que je m'amuserais autant. J'ai imaginé quelque chose de beaucoup moins insaisissable, beaucoup plus banal.

Avec un appareil photo comme celui-là, vous ne croyez pas que vous êtes dans le secteur du chef-d'œuvre. Il suffit de pouvoir picorer le monde.

Tout ce qui ressemble à une idée est probablement quelque chose qui s'est accumulé, comme la poussière. Il semble que j'ai des idées parce que je fais des livres qui sont tous sur le même sujet. C'est simplement parce que les photos se sont empilées sur ce sujet. Enfin, je me rends compte que je m'intéresse vraiment. Les photos me font réaliser que je suis intéressé par quelque chose.

J'apporte plus au sujet qu'à mes idées à ce sujet. Je ne suis intéressé par aucune idée que j'ai eue, le sujet est si exigeant et si important.

... une intersection mystérieuse entre le hasard et l'attention qui va bien au-delà du surréalisme existentiel du "moment décisif".

L'Occident pour moi est l'endroit où se trouve le paysage.

Vous n'avez pas besoin d'aller à la recherche de photos. Le matériau est généreux. Vous sortez et les photos vous regardent.

Je me suis retiré de tout sauf le travail.

Lorsque vous prenez une photo, vous ne savez pas que ce sera ce que c'est. Peut-être que vous avez une idée mais vous ne savez pas vraiment. Il y a trop de possibilités. Une partie du jeu est le nombre de balles que vous pouvez jongler. C'est pour moi. Lorsque vous avez 12 ans, vous pouvez en jongler avec deux. Peut-être que lorsque vous avez 50 ans, vous pouvez en jongler cinq. C'est un concept intéressant pour moi: combien je peux mettre et le faire se rassembler?

L'appareil photo n'est pas simplement une piscine réfléchissante et les photographies ne sont pas exactement le miroir, le miroir sur le mur qui parle avec une langue torsadée.

Cela me fascine qu'il y a une variété de sentiments sur ce que je fais. Je ne suis pas un photographe préméditant. Je vois une photo et je le fais. Si j'avais l'occasion, je serais en train de tirer tout le temps. Vous n'avez pas à aller chercher des photos. Le matériau est généreux. Vous sortez et les photos vous regardent.

Ses oeuvres

Ses derniers livres