Il y avait des moments où mon immaturité m'a empêché d'être tout ce que je voulais être.

L'une des raisons pour lesquelles j'apprécie un peu plus le basket-ball universitaire est en raison de l'orientation de son équipe par opposition à l'orientation individuelle.

Je ne suis pas autant un fan de la NBA que peut-être il y a 10 ou 15 ans, ou certainement comme je l'étais quand j'étais joueur. Il est devenu plus axé sur le divertissement et moins concentré sur la pureté du jeu.

Je ne peux pas dire qu'il y avait une chose en particulier qui m'a aidé à me préparer à la vie au-delà du basket-ball, à l'exception de l'exposition au collège et à ce laboratoire, qui nous permet d'apprendre qui et ce que nous sommes, et pour utiliser ces connaissances en réalité vie.

Parfois, si vous parlez des ordures, vous finissez par éliminer les ordures.

Je crains que les jeunes, trop souvent, abdiquent leurs responsabilités d'apprentissage et d'adaptation et de le donner à des personnes qui n'ont pas toujours leur intérêt à cœur.

Je voudrais qu'on se souvienne de quelqu'un comme quelqu'un qui a persévéré, qui à bien des égards a surmonté, qui a reconnu l'importance de redonner, en particulier à notre jeunesse, et comme quelqu'un qui a essayé de se remettre et de catapulter la prochaine génération au-delà de lui.

Je savais, malgré jouer dans la NBA, que je devrais me préparer pour une autre carrière ou une autre vocation lorsque mes jours de jeu étaient terminés, afin de maintenir la pertinence. Je ne voulais pas devenir connu pour ce que je faisais.

Ma mère et mon père ont souligné l'éducation et nous nous sommes toujours assurés que nous avions un endroit pour étudier et des livres à lire.

On m'a toujours appris que le basket-ball est un jeu d'équipe et supérieur à la somme de ses pièces.

Obtenir une éducation bien équilibrée et développer un amour de l'apprentissage qui, espérons-le, continuera de durer ma vie m'a certainement aidé à comprendre ce qui me vient dans ce monde et à m'adapter.

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