Lenny Abrahamson est un réalisateur irlandais, né le 30 novembre 1966 à Dublin. Il est connu pour ses films tels que Frank et Room.

Dans quelque chose comme «Frank», qui est une comédie, quoique étrange et émotionnelle, vous pouvez absolument mettre des scènes supprimées, et nous l'avons fait parce qu'ils étaient juste drôles et géniaux, mais ils n'étaient pas nécessaires dans la structure globale.

Hollywood est probablement le centre le plus actif de réalisation de films au monde, mais c'est aussi un endroit très difficile pour trouver votre voix ... c'était aussi une industrie beaucoup plus civilisée en Irlande.

Il devrait toujours y avoir cette marge de manœuvre parce que si vous considérez votre personnage comme une sorte de absolument fixe, alors vous essayez simplement de trouver des acteurs pour venir faire exactement cette chose, alors vous ne travaillerez pas avec le propre ensemble d'impulsions internes de cet acteur Et qui ils sont, donc le meilleur travail est toujours un rassemblement de l'acteur et du personnage.

Je suis un peu un développeur tardif, généralement. Mais la bonne chose d'être cinéaste, c'est que vous comptez toujours comme jeune tout au long de la quarantaine.

Je suis un Irlandais inhabituel. Je suis probablement le troisième fils juif le plus célèbre d'Irlande.

Après "Adam et Paul", j'ai eu des offres d'agents américains, mais je pense que j'aurais été englouti.

Quand je tire, cela est en moyenne de 16 heures. Vous avez deux délais tous les jours - déjeuner et enveloppement.

Je n'ai jamais travaillé dans l'industrie de la télévision au Royaume-Uni, mais je suppose que c'est un monde difficile pour les réalisateurs.

Je suis un grand fan de American Vaudeville et Hollywood Slapstick de l'ère du film silencieux et les salles de musique pleine de personnages ridicules et excentriques.

Room" est un film très subtil, et les prix de réalisation ont tendance à aller aux films les plus tape-à-l'œil, mais c'est la section des réalisateurs de l'académie qui prend la décision, alors je suis très fière qu'ils aient vu quelque chose dans ce que j'ai réalisé et qu'ils aient voulu le récompenser.

L'Irlande est un bon point de départ en tant que cinéaste. Si ce que vous faites est bon, même à très petite échelle, il sera reconnu.

Le processus de prise de vue - de choisir des photos - est intuitif pour moi, et je ressens juste mon chemin vers ce qui semble juste.

Le film est tellement sur cette intensité de concentration qu'il doit toujours y avoir une certaine tension et un mouvement vers l'avant. Le roman entre dans une série de belles observations sur le monde, mais vous devez trouver l'histoire.

Je peux penser à avoir quatre ou cinq ans et ne pas vouloir s'asseoir à la table des enfants parce que je pensais que c'était dégradant. J'étais ce petit enfant ridicule.

Je pense que les gens aiment avoir leurs catégories claires. Ils veulent savoir si c'est de la fiction ou des faits, biopic ou non.

Dès que vous réalisez des films que les gens aiment, vous serez envoyé du matériel, et qui peut venir de n'importe où.

C'est ainsi que la vie est: le sens est toujours là, mais il n'y a pas de façon clairement donnée de la décoder. Le cinéma conventionnel obscurcit cela avec une réduction facile de la signification pour tracer et des personnages schématiques.

Les acteurs établis vous défieront s'ils ne sont pas d'accord avec la façon dont vous le prenez, et vous devez le discuter. Mais avec un casting plus jeune, ils sont plus susceptibles de se demander si ce qu'ils font est correct au lieu d'essayer de deviner le réalisateur. Cela aide à vous pousser.

Je suis irlandais; J'ai grandi en Irlande, et il est impossible de séparer mes antécédents de qui je suis en tant que cinéaste.

Je viens d'une famille juive intellectuelle classique, alphabétisée.

L'illusion n'est pas bonne; Mieux vaut être réaliste et vous surprendre si vous avez de la chance.

Je sais que c'est axiomatique dans l'industrie cinématographique que vous n'êtes pas censé laisser le romancier développer sa propre histoire. Eh bien, tout d'abord, c'est un peu à la romancière - parce qu'ils n'ont pas à le vendre. Mais aussi, je ne le crois pas. Il s'agit de confiance.

Je recherche une intensité de concentration. C'est un peu comme régler une chaîne de guitare. Vous resserrez et resserrez, et rien ne change vraiment jusqu'à ce que vous atteigniez cette tension, et soudain c'est là: vous avez une note.

Je prends habituellement la nuit précédente, disposant tous mes vêtements sur le sol, alors je tombe juste en eux, je nettoie mes dents, je trébuche par la porte, monte dans ma voiture et je vais partout où nous tirons. Vous prenez le petit déjeuner sur le plateau.

Je me souviens d'un Q&R que j'ai fait au Pays de Galles où il y avait cinq personnes dans l'auditorium.

En tant que petit enfant, j'avais cet énorme désir d'être considéré comme vraiment intelligent.

Il y a plus de façons de faire de la «place» mal que bien.

Le style de direction dans «Room», peut-être un peu comme «Spotlight», essaie d'être caché.

J'ai toujours senti qu'il y avait une sorte d'impulsion humaniste dans ma réflexion sur le film ainsi qu'un réel intérêt pour ses propriétés formelles et esthétiques - juste cette idée qu'elle peut vous entraîner dans une rencontre très intime avec les gens.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lenny_Abrahamson

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